~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE?
Au lycée, j'étais une bonne élève, en général. J'avoue qu'il m'arrivait souvent de dessiner en classe et d'être quelquefois dans la lune. Du coup, mes notes chutaient, mais avec le soutient de mes parents, mes notes finissais toujours par remonter dans la moyenne. En parlant de mes parents, je m'entendais plutôt bien avec eux. À certaines occasions, le ton montait un peu trop, mais tout finissait par rentrer dans l'ordre. À cause de ma timidité, j'avais très peu d'amis. Il faut dire qu'à l'époque, j'avais peu confiance en moi.  

   ~ ES-TU HEUREUSE PRÉSENTEMENT?
Suis-je heureuse ? Cela dépend de ce qu'on entend par là. Mes parents et moi avons toujours une bonne relation, j'ai un copain aimant, drôle, intelligent, charismatique, romantique... bref, il est l'homme parfait. Il a vraiment tout à son avantage et malgré cela, je ne peux pas dire que je suis heureuse. Il me manque quelque chose ou quelqu'un, pour être honnête. Mon ami d'enfance, Emrys. Même après toutes ses années, nous partageons toujours une grande amitié. Quand il a déménagé, il y a quelques temps, c'était comme s'il était parti avec une partie de moi. Mes sentiments à son égard ont évoluer. Il n'est plus simplement mon meilleur ami à mes yeux. Et bien que cela devrait me rendre heureuse, je ne le suis pas, car c'est mon petit-ami que je devrais aimée ainsi.

   ~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS?
Le dessin étant une passion pour moi, ça serait déjà une joie immense d'être dessinatrice ou travailler dans un métier similaire. Ça serait un rêve devenu réalité. L'idée d'être mère un jour m'ai déjà venue a l'esprit, mais ce n'est pas une chose que je désire par dessus tout. Si je le suis un jour, j'aimerais être une mère exemplaire et offrir le meilleur pour mes enfants. À vrai dire, j'ignore où je serais dans dix ans, la vie est si imprévisible, mais j'espère simplement être heureuse.

PRÉNOM ET/OU PSEUDO: Caro ÂGE: 20 ans PAYS: Canada (sans blague) PRÉSENCE: Tout les jours, sauf urgence ou occasion spécial COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Via le partenariat du forum rpg apple juice AUTRE CHOSE À AJOUTER? Bonjour, bonsoir, bonne nuit et soyons amis pour la vie haha Non sérieusement, je tiens à souligner que le forum est superbe, c'est difficile de résister à l'envie de s'inscrire^^

Je suis née à Montréal, dans la belle métropole au Québec, dans le Canada. Fille unique de Joyce et Ethan Jenkins. J'ai eu une enfance comblée, même si j'aurais aimé avoir un petit frère ou une petite soeur. J'ai acquis très tôt, à environ quatre ans, une certaine passion pour le dessin. Les cahier à coloriage ne m'intéressait pas, je préférais avoir une feuille blanche, afin de pouvoir laisser libre court à mon imagination. Notre Imogen, une véritable artiste ! disait fièrement mes parents à leurs amis. Au début, c'était un peu n'importe quoi, mes dessins ressemblais à rien, mais au fil du temps, je fesais énormément de progrès. Mes parents m'ont toujours encouragé, jamais ils ont critiqué un seul de mes dessins. Vous diriez que c'est normal de la part de parents ? Peut-être, mais sachez que ce n'est pas tous les parents qui sont aussi intéressés par les envies de leur enfant.

Durant la petite section, j'étais souvent embêter par un garçon. Il s'appelait Jérémiah Emrys Stanford. Il s'amusait à me pousser dans le bac à sable, à me tirer les couettes, à me voler mes choses, à déchirer mes dessins, eta. Je le détestais comme je n'ai jamais détesté quelqu'un de ma vie. Toute cette mascarade à durer jusqu'au jour où il s'excusa devant tout le monde, pour tout ce qu'il m'avait fait. Depuis ce jour, il est mon meilleur ami. C'est étrange qu'on soit passé de la haine à l'amitié. Je crois qu'on a simplement remarqué qu'on s'entendait bien tous les deux, malgré le fait que nous étions assez différents. À l'école, j'ai toujours été une bonne élève. Pas la meilleure de ma classe, j'avais la manie de dessiner en classe. Malgré cela, j'arrivais toujours à garder une moyenne dans toutes les matières. À la grande joie de mes parents.

J'ai fréquenter quelques garçons avant de connaitre mon petit-ami Il étudiait à la même école de commerce que moi, seulement nous nous étions jamais parlé auparavant. C'est à une soirée organisée par une amie en commun qu'on a fait connaissance. Eum...enchantée, je suis Imogen. ai-je dis, complètement déstabilisée par son physique. Il avait absolument tout pour plaire, je ne pouvais pas le nier. Il avait à peine deux ans de plus que moi. Nous avons parlé très brièvement ce soir-là, car mon couvre-feu était à 22h. Le lendemain, il m'a rappelé pour qu'on se revoient. Après quelques rendez-vous, nous sortions déjà ensemble. Lui et moi discutions rarement du futur, nous vivons un jour à la fois. Certes, il m'a déjà dit qu'il aimerait fonder une famille, en me disant que nous avions encore largement le temps pour en discuter.

Ma vie a été bouleversée, quand mon meilleur ami Rys a décidé quitter Montréal, pour aller vivre en Alberta. Entre Montréal et White Oak Station, il y avait une sacré distance. Autant dire qu'il allait vivre en Chine. Tu n’as pas le droit de me laisser comme ça… lui ai-je dis, quand il m'a annoncer son départ. Je ne comprenais pas pourquoi il avait décidé soudainement de partir aussi loin. Il essaya de me rassurer comme il le pouvait, en me disant qu'il avait une chambre d'amie rien que pour moi, qu'il allait m'appeler et qu'on se reverra, mais rien ne pouvait me rendre mon sourire. Suite à son départ, je me sentais seule, désorienter et incomplète. Au cours des semaines, je me rendais compte que mes sentiments envers mon meilleur ami avait changé. J'étais amoureuse de Rys. Je n'aimais pas mon petit-ami autant que je le croyais. Sur un coup de tête, je quitta l'école de commerce, je ne supportais plus d'être séparer d'Emrys. Mon petit-ami, qui avait un emploi stable à Montréal, ne pouvait pas se permettre de partir avec moi. Si seulement il savait pourquoi je pars.

J'ignore ce qui m'attend là-bas, j'ignore si je vais lui avoir manqué autant qu'il m'a manqué et si ses sentiments ont également changer. Mais quand on aime quelqu'un, on ne devrait pas avoir à vivre aussi loin de lui.