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 Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.

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Marilhéa N. Costa

Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptySam 31 Jan - 19:04


Tomas & Mari



The past often strikes very hard, but there. Outch.


Bon sang. Il fallait que je me bouge. J'étais encore en retard, enfin j'allais finir par réussir à me faire à cette vie de grande sœur et de maman. J'avais juste besoin de changer mes habitudes d'avant. Ne plus pousser le sommeil jusqu'au maximum, ne pas profiter de ses repos pour ne rien faire , mais s'avancer dans toutes les tâches ménagères. Ma vie était bel et bien différente depuis mon retour d'Haïti. C'était flagrant. Enfin, j 'aimais bien cette nouvelle vie, il ne faut pas croire, elle était juste beaucoup plus difficile à gérer pour dire. Je me levais de mon lit et je souriais surprise par la surprise de Lynn ma sœur. Elle était debout en train de donner le bain à mon fils , donc son neveu. " Hey .." Disais-je dans un soupir de soulagement, je n'étais pas à la bourre du coup, vu qu'elle était réveillée et que mon fils barbotait déjà dans la baignoire. Bon, je le savais déjà Lynn n'avait pas fait ça juste par plaisir ou alors elle était malade. J'allais pas de suite lui demander ce qu'elle attendait de moi, car si je me trompais ,j'allais tout bonnement la braquer. " Va faire ce que tu as faire, on s'occupe l'un de l'autre. " Je souriais secouant un peu la tête, heureuse pour le coup d'avoir un début de journée avec peu de pression. Enfin, ce n'était pas pour autant que j'allais aller me coucher ou autre, non, j'allais prendre mon chocolat chaud et prendre ma douche dans la seconde salle de bain. C'était cool de vivre dans la maison de mon père, bon on avait décidé avec Lynn ensemble de remplacer la chambre de ses parents et donc de mon père et ma belle-mère en chambre pour enfant, pour qu'aucune de nous n'ait à dormir dans cet endroit qui maintenant était maintenant magnifique. On avait pris du temps pour le faire. Enfin, je finissais de laisser chauffer mon chocolat chaud finissant par aller prendre ma douche, une fois cette dernière prise, j'entendais ma sœur hurler, je faisais de gros yeux avant d'aller voir ce qui se passait. " Il est dégoutant ..." J'éclatais de rire en voyant que Jace avait fait pipi sur Lynn. En même temps, je l'avais déjà prévenu de toujours mettre quelques choses devant lui pour pas être arrosé. Une petite preuve qu'elle ne m'écoutait pas toujours pour le coup, enfin. J'étais enroulée dans ma serviette , je n'arrivais pas à retenir mon fou rire. " Arrête de rire ou je te fais un câlin." Je mordais ma lèvre soufflant un peu pour tenter de me calmer. " Va te changer, je m'occupe de ce petit monstre. " Elle souriait embrassant Jace et me laissais seul avec lui. Je prenais le temps de passer de la crème sur son corps et de l'habiller. Une fois prêt pour lui, je le mettais dans son parc pour qu'il puisse s'amuser un peu pendant que moi j'allais m'habiller. Je prenais mon chocolat dont je buvais une gorgée, il était tiède, oui, j'avais tendance à faire chauffer bien trop ce dernier, pour cela que je ne perdais jamais de temps à attendre que le micro-onde sonne pour m'avertir qu'il a fini de fonctionner. Fin prête à partir ! Habillée, mes affaires de travail, mon fils et ses affaires. Ma sœur nous suivait de près, elle prenait Jace pour l'attacher, mais j'avais la malheureuse tendance à vérifier s'il était bien attaché.

Je venais d'arriver devant la porte de la crèche et j'avais bel et bien raison, ma sœur avait quelque chose à me demander. Elle voulait sortir Samedi et j'avoue que je ne voulais pas trop, car je ne savais pas trop comment gérer mon inquiétude. Enfin, je n'allais pas non plus la tenir enfermée ? À quoi bon ? Bref, je devais abandonner mon bébé et j'avoue que pour le coup, j'avais toujours du mal à le laisser. En même temps, cela faisait que deux mois que j'avais repris le boulot, je ne pouvais pas me permettre un grand congé maternité .. J’avais des factures à payer. J'avais de l'argent que mon père nous avait laissé à sa mort, mais je voulais en garder pour les études de Lynn et peut être un peu pour Jace. Enfin. J'embrassais mon bébé et j'entendais la voix de la nourrice qu'il préférait ici. " Il sera là ce soir, je le jure. " Je me relevais faisant une petite moue, je voulais pas le laisser, mais j'avais une opération que je devais travailler avec mon équipe, car on allait séparer des siamois d'à peine trois mois.. Une lourde opération. Enfin, je laissais la crèche refermant la porte, mais loin de me douter que je serais nez à nez avec lui. Tomas. Sérieusement ? Je me retrouvais tout con pour le coup, mon regard s'était inévitablement plongé dans le sien. Je fronçais un peu les sourcils avant de sourire. " Tomas. " Bravo, mari' , tu connais son prénom et tu sais le prononcer .. Une médaille s'il vous plait.

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Tomas L. Miller

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyVen 6 Fév - 0:51


Tomas & Mari

 

The past often strikes very hard, but there. Outch.


 
Faire ses bagages pour finalement partir dans une autre ville ou un autre pays, Tomas il connait ça. Outre le fait qu’il soit parti travailler deux ans à Haïti pour aider après les graves problèmes qu’il y a eu la bas, il a aussi fait le tour du Canada ces derniers temps. Son dernier voyage ou du moins déménagement c’est ici qu’il a atterris. A vrai dire il n’a même pas eu le temps de défaire ses cartons qu’il se trouve déjà là, à l’hôpital pour commencer à travailler ici. Il aurait pu se prendre quelques jours pour se poser mais rester là à ne rien faire alors qu’il peut exercer son métier qui se trouve aussi être sa passion : la médecine. A quoi bon retarder son premier jour alors que ses derniers mois il n’a fait que trainer après deux années assez dures psychologiquement au niveau de la vie à Haïti de voir toute cette pauvreté et ces souffrances. Ce fut donc aussitôt arrivé en ville qu’il se leva de bon matin. Même durant ses quelques mois de repos alors qu’il n’avait pas d’obligation il se levait quand même tôt alors ce n’est heureusement pas une habitude qu’il a perdu. Il du quand même prendre une bonne douche pour se réveiller ainsi qu’un café noir sans le moindre sucre pour le rester éveiller. Il ne veut pas non plus avoir une tête de zombie dès le premier jour. Encore si ça arrive lors de ses gardes il a des excuses mais aujourd’hui alors qu’il doit donner une bonne impression de lui, s’il arrive dans cet état forcément on ne pourra pas dire que la première impression est toujours la bonne. Arrivant pile à l’heure, même avec cinq minutes d’avance, même si ce n’était pas vraiment l’heure à laquelle on l’attendait puisqu’il ne devait commencer que le lendemain matin mais au moins il pourra se familiariser dans son hôpital qu’il ne connait pas encore. Que ce soit l’hopital en lui-même, l’organisation ou encore même le personnel. D’ailleurs il du répéter à plusieurs reprises son identité pour qu’on puisse savoir ce qu’il faisait là « Docteur Miller quelle surprise je ne m’attendais pas à vous voir aujourd’hui, on ne vous attendait pas avant demain ! » Oui il le sait très bien pas besoin de le lui dire mais bon, c’est un drogué au travail et à la sensation de sauver des vies. Est-ce qu’on peut réellement lui reprocher ? Non de toute évidence, surtout que là il n’est pas là pour avoir toutes les responsabilités et traiter des patients dès maintenant mais bel et bien pour se faire à son nouveau poste même si de toute évidence le métier c’est à peu près le même d’un hôpital à un autre. On n’a pas de recette miracle pour soigner d’un cancer d’une ville à une autre. Mais bon, faut quand même qu’il ne soit pas novice ici trop longtemps sinon il risque d’être moins performant qu’en temps normal. C’est donc pour cela qu’il fut envoyé auprès de l’une de ses futures collègues, une docteur Costa. Après l’avoir cherché à quelques reprises, il demanda à ses infirmières si elles l’ont vu quelque part et ce fut finalement l’une d’elle qui lui conseilla d’aller voir à la crèche si elle n’y est pas pour déposer son fils. Il aurait pu rester là en attendant qu’elle revienne même si de toute évidence il ne sait pas quelle tête elle a donc il serait capable de la voir passer devant lui sans même se rendre compte de son identité. C’est donc pour cette raison entre autre, aussi parce qu’il voulait montrer sa motivation et donc faire bonne figure, qu’il se rendit à la crèche à la recherche de Dr Costa. C’est quand même curieux, il dit son nom depuis tout à l’heure à tout le monde pouvant être susceptible de savoir qui elle est et jamais ô grand jamais il n’a envisagé à son ex qui non seulement s’appelle Costa mais en prime fait aussi le même travail. Il a pris ça comme une coïncidence, comme si c’était un nom que beaucoup de médecin porte mais à aucun moment il n’aurait pu imaginer que celle qu’il cherche depuis tout à l’heure ça serait elle. Pourtant ce fut bel et bien elle dont il manqua limite de lui rentrer dedans. « Mari… » Lui aussi il sait dire son surnom, ils ne risquent pas de s’en sortir. Riant finalement de cette coïncidence de malade de la croiser ici par hasard, il finit par dire « Qu’est-ce que tu fais là ? » Si elle lui avait dire vivre ici il s’en serait souvenu de tête au moins non ? Finalement pas besoin qu’elle réponde, il n’a pas de doute sur le fait que c’est elle chez qui on l’a envoyé pour qu’elle lui fasse visiter et lui fasse le topo de pas mal de chose. « On m’a dit de venir te voir pour que tu me fasses visiter entre autre. Cette coïncidence de malade ! » Dit-il en se grattant le crane, toujours un rire sur les lèvres. Oui coïncidence… il est tellement surpris qu’il n’a même pas pris la peine d’analyser le lieu où ils se trouvent.

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Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyDim 8 Fév - 14:21


Tomas & Mari

 

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Le train-train quotidien que je vivais actuellement n'était en rien facile. Je n'étais pas encore habitué à gérer tout cela de la bonne manière. Je ne m'attendais pas à être enceinte, je pensais juste avoir ramené un petit virus d'Haïti une sorte de petit souvenir qui était plus vu comme un parasite qu'autre chose pour le coup. Enfin, c'était mon fils en fin de compte. Jace et Lynn étaient devenus mes priorités tout en gardant en tête mon travail. Je n'avais pas prévu de devoir jouer la grande sœur/maman et encore moins d'être maman. J'aurais pu avorter ou autre, mais je n'aurais jamais eu le courage de prendre une vie, après tout, tous les jours j'en sauvais alors pourquoi vouloir tuer la chair de ma chair ? Ça serait largement ridicule. Enfin, pour le coup, j'avais de la chance j'avais une sœur qui m'aidait, pourtant ce n'était pas forcément gagné pour le coup. Elle était en pleine crise d'adolescence. Enfin, j'avais hérité d'elle à la mort de notre père et de sa mère, on était trois logiquement, mais mes sœurs avaient décidé de retourner à leur vie, l'une d'elle n'avait même pas prévenu tandis que l'autre n'avait pas le choix. Enfin, j'avais modifié ma vie pour Lynn ne sachant pas que les changements n'étaient pas encore terminés, vu que j'étais enceinte de Tomas. Ça m'apprendra à ne pas faire attention. Pour une fois, je n'avais pas quelques minutes de retard, grâce à l'aide de Lynn justement, même si pour le coup, la jeune femme avait quelque chose à me demander sortir un samedi soir. Rien de plus normal, pour une demoiselle de dix-huit ans, mais je n'arrivais pas, j'avais peur qu'il lui arrive un truc, et souvent je restais éveillée à l'attendre au lieu de me reposer pour pouvoir être en forme le lendemain. Enfin, peut être que je ne gérais pas bien mon inquiétude et tout, mais je ne pouvais pas la punir juste pour ça pas vrai? Dommage. Enfin, pour le moment je tentais de me séparer de mon fils, c'était toujours un peu plus dur, je n’aimais pas le laisser, mais je n'avais pas le choix. J’embrassais sa joue, le laissant aux nurses qui devaient s'en occuper. J’avais une longue journée qui m'attendait en plus aujourd’hui. Une bonne journée bien chargée avec une grosse opération, je ne m'attendais juste pas que la vie daigne m'amener tomas pour le coup. Je m'étais retrouvée toute con pour le coup, d'être face à lui. Je ne savais pas quoi dire et la preuve en était que j'avais simplement laissé son prénom transpercer mes lèvres. Je me trouvais pitoyable, mais pour le coup, j'étais assez paumée. Je le regardais et il finissait par dire mon surnom. J'étais bête au point de sourire et de laisser ce dernier s'évanouir dans les airs, car je me rappelais que derrière moi ce tenait la crèche où était mon fils ... notre fils. La merde. En vrai, il foutait quoi là ? Lorsque la question me traversa l'esprit, j'eus la surprise de l'entendre de la bouche de Tomas. " C'est vrai que là, je ne suis pas en blouse, mais je bosse ici... Mais toi tu fais quoi ici ? " Il était vrai que je n'étais pas censée vivre ici, mais il n'était pas au courant du fait que mon père était mort et que j'avais la garde de ma petite sœur. " Ouai, une drôle de coïncidence. " Donc il allait bosser ici ? Mais ça ne m'arrangeait en rien pour le coup, j'allais faire comment ? Je me retrouvais dans la panade, je ne lui avais pas dit pour Jace et je le sentais j'allais m'en mordre les doigts à présent. Je mordais ma lèvre. " On se mets en tenu, à moins que tu ne sois là que pour visiter et non bosser de suite ? " J'étais encore dans ma robe noire, et il me fallait ma blouse pour le coup. Tant qu'on pouvait s'éloigner de la crèche cela m'arrangerait amplement pour le coup. Je ne voulais pas qu'il l'apprenne comme ça, mais il était sûr que maintenant, j'étais obligée de lui dire. Je ne savais pas comment cela allait se passer, mais en fin de compte, il allait rester longtemps dans les parages ou pas ? Je fronçais les sourcils à cette question venant de traverser mon esprit. " Sinon, tu es là pour longtemps ? " Demandais je en lui offrant un sourire sincère et timide à la fois, je ne voulais pas qu'il pense que je voulais qu'il reparte, même si cela arrangerait ma vie... même si cela me faisait passer pour une femme vraiment méchante de lui cacher sa paternité. Je plongeais mon regard sur lui, quand une infirmière me salua, j'avais eu peur d'entendre une question sur mon fils, cette dernière était assez bavarde, gentille, mais un peu trop curieuse.


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Tomas L. Miller

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyDim 22 Fév - 2:17


Tomas & Mari

 

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Se trouvant comme figé sous la surprise de la voir là ici, que ce soit devant la crèche, dans cet hôpital ou même dans cette ville, il ne s’y attendait tellement pas. Elle a compté pour lui, vraiment même si depuis il est quand même passé à autre chose. Deux ans ça ne s’oublie pas même s’ils ont quand même fait en sorte que ce soit le cas pour que ce soit plus simple pour tous les deux. Ça lui a fait bizarre mais l’eau est passée sous les ponts depuis mais bon, ça serait mentir que de dire que la voit là dans le même hôpital qu’elle par le pur fruit du hasard ça lui fait quand même extrêmement bizarre. On lui aurait dit qu’elle se trouvait ici, il aurait ri au nez de la personne lui annonçant ici. Pourtant, il n’y a pas à se moquer c’est la réalité même s’il a besoin de se prendre une bonne tarte dans la figure pour se rendre compte que c’est la réalité mais non, il ne dort pas. « Ils ne m’ont pas gardé ma place là où j’ai fait mon internat, j’y suis pas retourné juste après notre départ d’Haïti du coup ils m’ont transféré ici ! » Enfin c’est la version courte, il ne va pas lui raconté sa vie là tout de suite à peine retrouvés et en plein milieu d’un couloir alors qu’il est à peine arrivé. Il n’a pas non plus envie qu’on le prenne pour un pur boulet. « Tu es ici depuis combien de temps ? Tu ne vivais pas ailleurs ? A… » Où exactement il ne se souvient plus très bien, il a comme un trou de mémoire mais si ça aurait été ici, il s’en serait quand même souvenu, ça aurait fait tilt dans son cerveau. Ce n’est pas comme s’ils avaient décidé de se revoir ensuite mais bon quand même, il l’aurait quand même su non ? Faut dire que même si c’était rare qu’ils abordent le sujet, ils ont quand même parlé de leurs vies en dehors d’Haïti. « Ouais… Je ne m’attendais vraiment pas à ça. » Dit-il en se grattant le crane. En général il se comporte ça lorsqu’il est mal à l’aise, là il ne l’est pas tant que ça mais c’est surement la surprise qui joue pour lui. Il est quand même heureux de la voir mais bon, il est surpris c’est le cas de le dire. Finalement il retrouva l’usage de la parole pour répondre à sa question quant au fait qu’il n’est normalement pas là pour travailler. « Officiellement je ne suis pas de service aujourd’hui. Je commence demain, je suis là uniquement pour visiter et faire mes marques avant de pouvoir complètement faire mes preuves demain matin ! » Le faisant alors passer pour un mec sérieux et surtout, fou de son travail puisqu’il vient là de lui-même sans même être payé alors qu’il aurait pu profiter de cette dernière journée de liberté au niveau professionnel pour faire un tas de choses comme faire le tour de la ville qu’il ne connait pas du tout par exemple mais non, il est là. Elle l’a toujours connu comme étant accroc au fait de vouloir bien faire son travail et sauver des vies. Leur vie à Haïti était tout de même différente, que ce soit les lieux pour sauver des vies ou bien même le fait que toutes les procédures la bas étaient différentes et pour cause, Haïti venait à peine de se remettre d’un séisme alors les liens pour soigner ce n’était pas une priorité, tant qu’ils pouvaient le faire. En tout cas il l’était à l’étranger alors autant dire qu’à domicile – même s’il vient d’emménager  c’est quand même pareil – il l’est tout autant. « Du coup on m’a dit que tu étais là et que j’ai besoin de toi pour me faire faire le tour donc me voilà ! » dit-il finalement en regardant autour de lui, réalisant enfin qu’il se trouvait devant la crèche pour la trouver elle alors forcément il ne comprend pas mais ce n’est pas pour autant que tout est clair dans son esprit et qu’il a mis tous les éléments les uns avec les autres, comprenant alors que oui elle était là dans une crèche, que c’est dans son emploi du temps limite et donc par conséquent qu’elle a un enfant ici. Non ça ne lui vint même pas à l’esprit. Finalement ils se sont éloignés de l’endroit, marchant alors doucement dans les couloirs, croisant alors des futurs collègues à lui qu’il ne pris pas encore le temps de faire connaissance et pourtant il est là pour ça mais il faut croire que se trouver ici avec Marilhea le rend bizarre « Je ne sais pas, ce n’est pas déterminé, le plus longtemps possible j’espère ! » Oui, son départ n’est pas encore programmé sinon il ne comprendrait pas l’intérêt de venir ici pour continuer et surtout finir son internat pour se spécialiser là où il veut, soit traumatologie normalement.

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Marilhéa N. Costa

Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyJeu 5 Mar - 20:39


Tomas & Mari

 

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Ce matin, en me levant, j'étais loin de m'attendre à cela pour le coup! J'étais trés loin de ça pour le coup, tellement loin. Pour le coup, si on m'avait dit que je me retrouverais face à lui, j'aurais simplement dit que cela était impossible ! En même temps, quelles étaient les probabilités que cela se passe ? Impossible, enfin à mon humble avis cela était tout bonnement impossible ! Je n'imaginais pas que j'allais croiser Tomas, le père de mon fils. zut mon fils. Comment j'allais faire ? Il fallait que je reste calme pour qu'il ne sache pas que j'avais pu lui cacher une telle chose. Je le regardais avant de mordre ma lèvre un peu en l'écoutant ! Cela me faisait bizarre de le voir pour le coup, même si j'aimais bien, ça me permettait de le voir un peu, il allait sans doute repartir vite ? J'espérais en fin de compte, car j'aurais du mal à vivre avec lui à mes côtés tout en cachant notre fils à ce dernier. Jace méritait peut être d'avoir un père, mais tout cela n'était pas prévu et maintenant que j'avais caché ma grossesse, ou la naissance du petit .. j'étais perdue. Enfin, pour le moment, il fallait que je sois normale, du moins le plus que je pouvais l'être. " ah oui, ça doit pas être simple ! Mais, depuis tout ce temps qu'as-tu fais ? " Je souriais un peu commençant à marcher un peu plus loin de la crèche, ne sachant pas si l'une des nurses ne sortiraient pas tout en faisant une gaffe ! Il était loin d'être bête et il comprendrait rapidement que Jace était son fils et j'étais loin de désirer cela. " Hum ça doit bien faire depuis ... hum autant presque deux ans .. J'étais à Los Angeles. Mais, mon père et sa femme son mort et j'ai été appelé ici avec mes sœurs pour nous occuper de notre petite soeur .. au final il ne reste plus que moi et ma petite soeur ! " Enfin petite, elle avait dix-huit ans et ça commençait à être dur de gérer tout cela surtout avec Jace, alors si je pouvais continuer d'espérer que Tomas ne reste pas dans les parages cela m'arrangerait amplement. En même temps, cela était compliqué de ne pas lui dire, mais je tenais tellement à lui que j'avais eu du mal à l'oublier surtout avec son enfant dans le ventre ! J'avais hésité plus de mille fois, sans exagération, pour le coup à l'appeler. Mais, voilà. " Moi, non plus ! On me l'aurait dit que je ne l'aurais pas cru .. apparemment le destin nous a réunis. " Disais -je tout en souriant un peu ! Le destin, le karma quelqu'un me jouait un mauvais tour pour le coup ! Enfin avec tout cela, j'avais une grosse chirurgie à prévoir et donc je devais aller enfiler ma blouse ! Pour le coup, et passer voir mes patients , je laisserais sans doute certains petits cas à mes deux internes. " Je vois une prés rentrée ! Mais, pourquoi t'avoir confié à moi ? " On n'était pas au même service. Enfin, je n’allais pas me plaindre, j'étais contente de le croiser, juste un peu paniqué par ce qu'il ne savait pas et que moi je savais .. j'étais un peu bloquée, il ne devait pas voir mon fils qui lui ressemblait beaucoup pour le coup. " Eh bien, je te laisse aller à la cafétéria le temps que j'aille me mettre en tenue ? " Je n’allais pas le faire entrer avec moi dans les vestiaires .. on serait capable de faire une connerie , pas que notre relation de presque deux ans en soit une tout au contraire vu ce que j'avais eu comme petit cadeau grâce à cela. " Eh bien on le fait juste après alors ce petit tours " Enfin, je n’allais pas le faire visiter l'hopital par un interne ou un collègue, on avait sans doute des choses à ce dire, sauf une que je comptais bien garder pour moi pour le coup. Je mordais un peu ma lèvre, car la question qui me brûlait les lèvres avait fini par sortir d'entre mes lèvres. Combien de temps, il comptait rester par ici ? J'avais un peu peur de sa réponse pour le coup, mais bon que pouvais-je y faire ? je ne pouvais pas le faire renvoyer ou autre ? Non. ça pourrait gâcher sa carrière et sa vie , puis il ne méritait pas ça , c'était moi qui avais la détention de la vérité que j'avais décidé de cacher à tous. Mon regard qui se posait dans le sien ,mon cœur qui s'emballait, c'était tellement étrange que j'avais assez de mal à rester souriante tout simplement. Je ne voulais pas paraître bizarre, mais là j'avais l'impression d'être retourné à deux ans en arrière avec le jeune homme. Je tournais la tête un peu pour voir un interne nous regarder. " oui ? " demandais-je. Il me passait un dossier d'un patient qui venait d'être accepté dans mon service. " j’arrive, lancer des tests pour le moment ! " Je reposais mon regard sur tomas. " Ouai, tu vas sans doute repartir .." Je souriais je ne savais pas si la nouvelle me réjouissait ou non ce qui était étrange vu que depuis tout à l'heure je l'espérais . Je marchais avec lui jusqu'à la porte du vestiaire où j'entrais et où j'allais me changer.

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Tomas L. Miller

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyMer 18 Mar - 2:23


Tomas & Mari

 

The past often strikes very hard, but there. Outch.


 
Il est là pour bosser, enfin surtout ici pour visiter les lieux mais non là pour retrouver une ex. Pourtant c’est le cas et Tomas est franchement sur le cul de la voir là. Ce n’est pas pour autant qu’il regrette de voir Marilhea, bien au contraire puisque vu son sourire, apparemment il est ravi. « D’accord je vois, je suis désolé pour ta perte ! » A vrai dire il ne sait pas vraiment quoi dire de plus. En même temps il n’a jamais été vraiment très fort dans ce sujet. C’est pourtant un comble étant donné qu’il doit dans son boulot malheureusement annoncer les pertes aux proches de la victime mais c’est différent. Là il n’a pas le choix, c’est un automatisme même si ça fait toujours un coup à chaque annonce, à chaque larmes qu’ils voient auprès des proches de la personne qu’il a vu, la plupart du temps, mourir sous ses yeux. Mais bon, c’est quand même différent. Là apparemment ça fait un moment, elle s’en est surement remise mais ne pas savoir comment elle le vit… il ne sait pas franchement comment se comporter avec elle. Enfin s’il sait, dire des conneries pour rire et rien d’autre même s’il n’est pas là. « Ça doit être ça, on doit être fait l’un pour l’autre ! » Dit-il avec une certaine ironie. Bien évidement qu’il ne parle pas sérieusement. C’est un mec qui reste logique dans sa tête, il n’y croit pas aux signes et à toutes ses conneries. Ce n’est pas parce qu’il croise quelqu’un sans s’y attendre que c’est l’amour de sa vie. Dans ce cas son facteur c’est l’amour de sa vie puisqu’il le croise souvent. Bon ok ce n’est quand même pas la même chose mais quand même, il ne croit pas aux messages du destin. Il y a certains évènements qui ne s’expliquent pas, il en a vu dans sa carrière, des personnes qui se réveillent après que leur cœur se soit arrêté pendant un long moment mais bon, il reste raisonné la plupart du temps et ne croit pas spécialement aux miracles. Finalement il se mit à rire à sa réflexion. « En gros c’est ça, j’crois que je vais me marier à mon travail un jour, j’passe plus de temps ici qu’ailleurs. Je ne sais pas, ils m’ont dit que tu pourrais me faire faire le tour et me montrer un peu tout. Pourquoi toi exactement ? Je ne sais pas. T’es peut-être la plus douée ici » Dit-il avec son sourire dont il est le seul à avoir le secret. Il dit une nouvelle fois comme s’il plaisante et pourtant ça ne l’étonnerait même pas que ça soit le cas. Après tout ils ont travaillé ensemble. Non non il ne se lance pas des fleurs comme quoi elle est forte parce qu’il lui a montré quelques trucs mais bel et bien parce qu’il l’a vu travaillé et il sait de quoi elle est capable. La médecine là où ils étaient c’était différent mais tout de même, c’est quand même sauver des vies. Du point de vue de Tomas c’est encore plus fort que la médecine moderne dans les pays développés. « La cafétéria c’est par… là ? » Dit-il finalement en lui montrant du doigt un côté, il avait cru la voir en allant ici pour la trouver. Encore une fois il ne capte même pas que c’est bizarre d’être ici pour la trouver elle alors qu’elle n’a pas d’enfant. Mais bon, il faut croire qu’il n’a pas branché tous ses neurones ce matin en se levant alors forcément un café ça ne pourra lui faire que du bien. Finalement ce n’était pas bien loin alors il eut le temps de prendre deux cafés, un pour elle et un pour lui qu’elle arrivait déjà en tenue. « Tiens je t’ai pris un café, on va pouvoir se le faire ce tour oui ! » Dit-il finalement en portant le gobelet en plastique à ses lèvres. C’est sûr que le café ici, même s’il est loin d’être excellent bien au contraire, il est quand même bien meilleur que celui qu’ils avaient tous les deux à Haïti. Ils ont surement beaucoup de choses à se dire, ou pas d’ailleurs puisqu’ils n’ont jamais été du style à se confier l’un à l’autre mais ça lui fait tellement plaisir de voir un visage familier dans cette nouvelle vie qu’il est prêt à se confier sur sa vie depuis la dernière fois qu’ils se sont vus il y a deux ans maintenant plus ou moins. Bon il n’y a pas énormément de choses à dire mais bon, c’est comme ça. « Tu vas les traumatiser tes internes ! » Dit-il finalement avec un léger rire diabolique. Il ne lui parle pas comme s’il était sa collègue alors qu’à chaque fois qu’ils se connaissent ils le sont justement, mais il faudrait peut-être qu’il se comporte comme tel quand même. En tout cas il ne sait pas vraiment comment prendre sa dernière phrase, si elle a hâte qu’il se barre ou non. « J’espère rester ici encore longtemps, si je le peux je le ferais en tout cas. Mais si t’as peur quant à ton copain ou quoi, de revoir un ex, t’inquiètes pas je ne passerais pas pour un ex copain boulet ! » Oui ils sont quand même restés ensembles longtemps mais aujourd’hui c’est censé être fini étant donné qu’ils n’étaient pas censés se revoir. Alors si elle a peur qu’il gâche quoi que ce soit avec un homme, il n’est pas là pour ça, il est avant tout ici pour sa carrière de chirurgien et rien d’autre. Après tout, il ne savait même pas qu’il la verrait ici-même.

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Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyLun 30 Mar - 11:51


Tomas & Mari

 

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Ma vie avait littéralement changé pour le coup. Je n'étais plus simplement un chirurgien, j'étais devenue une grande sœur tout en devenant une maman. J'avais juste pensé à un virus, mais non c'était tout bonnement un bébé. Le fils de Tomas, jamais je n'aurais pensé me retrouver devant mon ex. J'étais mal barrée, surtout s'il était ici pour une durée indéterminée, j'en avais vu des médecins étant restés pendant deux ans alors qu'ils étaient là pour une durée non déterminée. C'était la galère, l'impression qu'une bombe venait de tomber sur moi. Comment étais-je censée faire face à ça, à présent ? Je n'avais pas le choix de lui dire ? Enfin, pour le moment, je me concentrais sur le reste, il n'était pas sur le point de le découvrir. " Merci." Je ne savais jamais quoi répondre quand on me disait ça, tout comme j'avais du mal à dire ce genre de chose aux patients, car chaque perte provoqué des émotions, des douleurs différentes. Je n'aimais pas, mais je n'avais pas le choix, puis à présent c'était presque devenu comme demander l'heure, même si c'était loin d'être le cas pour le coup. Je souriais tout en essayant d'avancer, surtout pour nous éloigner de cette porte qui pour le coup cachait mon plus précieux des secrets. Je ne savais pas comment il le prendrait, non, je ne le savais pas. Je ne savais pas comment il pourrait réagir à cette nouvelle ? Trahison, question. Enfin, le pauvre. Je ne savais pas trop comment agir pour le coup. Je mordais un peu ma lèvre avant de sourire un peu et de l'entendre me dire qu'on était fait l'un pour l'autre. Peut-être. Peut-être pas. Moi, j'avais fini par laisser notre histoire derrière moi, comme on le voulait, même si avouons cela avait été difficile. J’avais des sentiments pour lui et apprendre que je portais son enfant n'aidait pas à avancer tranquillement sur le chemin de ma vie. " Ouai, on devrait avoir mille enfants pour le coup depuis le temps ! " Je lui faisais un clin d'œil, même si pour le coup, je me sentais un peu gauche de parler de gosse avec lui, ouai, car je ne pouvais pas oublier mon enfant ? Non, je ne pouvais pas le faire et encore moins le fait qu'il en était le père ! À moins que les courants d'eau à Haïti étaient bombés de petit têtard prêt à me mettre en cloque, mais bon je n'étais pas assez bête comme dans glee pour croire ça. Bref. Je mordais un peu ma lèvre en souriant. " La plus douée, non sans doute pas. " J'avais toujours été modeste, mais en ce moment, j'étais dans un début de série, n'ayant pas perdu de patient pendant trois mois. Mais, je n'y pensais que le moins souvent, je faisais ma petite vie et j'en profitais. Je le regardais. " Eh bien, je demande à être invitée au mariage avec ton travail ! Ça devrait être épic ! " Je le regardais. Ça pourrait être cool une personne se mariant avec son travail, mais triste à la fois non ? Enfin, j'étais pareille, mais j'avais finalement comprit qu'avec Karma et mon fils tout pouvait être parfait sans être au travail à longueur de journée. Je n'avais pas besoin de mon travail pour être heureuse, même si je m'épanouissais quand je soignais ou sauvais des patients. J'avais toujours envie d'avancer et être heureuse encore plus depuis que ma vie avait pris le sens qu'elle avait actuellement. " Oui c'est bien ça ! " Disais- je en confirmant ses dires pour la cafétéria. Je le laissais partir pour aller me changer, j'avais eu un peu peur qu'il découvre mon petit secret qui était tout simplement lié à lui, mais non, j'avais été maligne donc tout allait bien pour le coup. Je chantonnais tout en m'habillant en ma tenue de médecin. Je regardais un peu les patients que j'avais pour le coup, même si je n'irais pas les voir tous vu que j'avais une grosse opération dans la journée. Je n’avais pas mis long à me changer, car après tout, je n’étais pas là pour être canon dans ma tenue, tout au contraire ! Car me faire draguer était parfois déroutant quand je tentais de leur sauver la vie, mais bon ! Certains faisaient cela pour se rassurer. Je ressortais de la salle alors que je parlais à un interne. " Non, je suis super gentille avec eux !" disais-je alors que ce dernier était plutôt loin maintenant. Je prenais le café qu'il m'avait tendu peu de temps avant pour lequel je l'avais remercié. Il me parlait de copain... si seulement c'était aussi simple! La jalousie mal placé de certains homme me faisaient rire, alors bon. Je mordais un peu ma lèvre avant de secouer la tête, non j'étais célibataire, marié à mon fils, notre fils. Bref. La merde. " Non, non, il n'y a pas de petit copain qui aurait un risque de venir te mettre son point dans la face. " Je rigolais un peu. " On commence ce tour ?" Je commençais à avancer avec lui, présentant les différents lieux.


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Tomas L. Miller

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyMer 22 Avr - 13:31


Tomas & Mari

 

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Tomas ne sait jamais comment se placer vis-à-vis des pertes des autres. Auprès des proches des patients c’est déjà compliqué mais il y parvient mais là par exemple, mis à part lui dire qu’il est désolé pour sa perte, il ne sait pas vraiment quoi dire ou faire. Parfois le silence ça a du bon, après tout quoi qu’il dise ça ne va rien effacer mais bon, il ne s’imagine pas vraiment rester de marbre auprès de Marilhea. Elle n’est pas n’importe quoi après tout alors même s’il est souvent mal à l’aise dans des moments comme celui-ci, il veut montrer même s’il ne le dit pas que si besoin, il est là. Oui si elle veut en parler après tout, elle peut le faire auprès de lui. Il est ce genre de mec, le genre à être présent pour tout le monde s’ils en ont besoin alors forcément Marilhea peut le faire. Ça serait quand même un comble. Ce n’est pas comme s’ils s’étaient quittés en de mauvais termes bien au contraire. En tout cas il lui fit un grand sourire sincère lorsqu’elle le remercia, accentuant alors le fait qu’au besoin il n’est pas très loin. En même temps aujourd’hui ils sont de nouveaux collègues. Alors au besoin elle saura où le trouver après tout. D’ailleurs c’est fou cette coïncidence. Se rencontrer pour une mission humanitaire est une chose mais se recroiser dans un même hôpital pour travailler ensembles. Faut croire que leurs deux destins voulaient qu’ils se retrouvent. Du moins il dit cela en rigolant parce que ce genre de chose, il n’y croit pas du tout. Plaisanter dessus il peut, parler sérieusement, ça c’est une autre histoire. « Ah mais oui, une équipe de foot et les remplaçants sur le banc de touche au moins ! » Dit-il pour plaisanter. Il n’est pas papa, il ne sait pas trop comment s’y prendre avec les enfants sinon il se serait surement tourné vers la pédiatrie. Mais bon, il n’a pas non plus une dent contre eux, il n’a juste jamais été voir s’il était à l’aise avec les enfants, n’en ayant pas. Du moins à sa connaissance en tout cas. « Fais pas ta modeste ! » Dit-il en lui donnant un coup de coude pour la titiller un peu, comme ils en avaient l’habitude autrefois. Le bon vieux temps. Ils se cherchaient tout le temps lorsqu’ils étaient à Haïti pour montrer qui était le meilleur alors pourquoi il ne pourrait pas en faire de même une fois sur le continent ? « Tu pourras même être mon témoin si tu veux, tu sais à quel point j’aime mon travail alors tu pourras nous faire un discours, j’en doute pas ! » Un mariage avec son boulot ça devrait être drôle, enfin surtout bizarre quand même. C’est pire que Sue dans Glee à ce niveau-là. Se marier avec soi-même c’est une chose mais se marier avec son boulot, c’est quand même étrange. Faut croire qu’il est aussi timbré que Sue le petit. Mais bon, s’il est timbré il est aussi très bon médecin, ça rattrape. Partant en direction de la cafeteria pour leur chercher des cafés sans se perdre par miracle, il revint vers elle alors qu’elle se trouvait avec ses internes. « Mouais, laisses moi en douter ! » Dit-il en s’approchant d’elle et en lui passant le café qu’il venait de lui prendre tout en commençant à marcher lentement tout en se renseignant sur sa vie sentimentale l’air de rien. Pas pour lui sauter dessus, pour savoir mais bon il attend quand même la réponse. « Si je souri c’est parce que je ne vais pas me prendre un poing dans la gueule hein, c’est tout ! » Dit-il avec un petit clin d’œil. Du genre crois-moi et si tu me crois pas et bien tant pis. Faudrait sérieusement qu’il arrête de sourire, soit disant parce qu’il ne voulait pas s’en manger une. Mais bon faut quand même avouer que savoir qu’elle n’a pas de petit ami ça le fait sourire. Pourtant l’eau a coulé sous les ponts, il n’y a pas de soucis à se faire à ce niveau-là, il n’est pas non plus là pour elle mais bon, c’est comme ça, c’est naturel. « Yep c’est parti ! » Dit-il pour la suivre pour qu’elle puisse lui faire faire le tour de l’hôpital et qu’il commence déjà à faire ses marques pour demain. Ça serait bête de se perdre en pleine urgence. « C’est sympa ici ? Tu peux tout me dire il ne semble y avoir aucune oreille qui traine ! » Dit-il en plaisantant en regardant autour d’eux. Oui aucune personne qui pourrait mal prendre si elle crache sur l’hôpital ou sur leurs collègues. Faut bien qu’il sache dans quoi il s’embarque même si c’est trop tard pour faire demi-tour. « Tu penses repartir en voyage humanitaire ? » Une question comme une autre, au moins ça lui permet de parler d’autre chose que du boulot et puis aussi parce que lui-même y pense quelque fois alors peut-être que c’est le cas pour elle aussi après tout.

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Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyLun 4 Mai - 10:17


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Je ne savais pas comment expliquer la mort de mes proches à d’autre personne. Puis, quoi que pouvait dire une personne, elle ne parviendrait pas à me réconforter, j’en étais sûre. Le temps avait peut-être coulé sous les ponts, mais la perte de mon père était encore bien présente dans mon esprit, ce qui était logique avec ma petite sœur qui était là. Puis, j’avais dû affronter tellement de chose pour le coup, que c’était assez difficile d’oublier et de tout bonnement avancer. C’était impossible même, je n’y parvenais pas et je n’étais pas sûre de vouloir le faire pour être honnête. Je n’arrivais pas à faire abstraction que mon père était décédé, oui cela faisait un petit moment, mais j’étais comme coincée, je me sentais avec l’envie constante d’être dans mon lit et de pleurer. Mais, j’avais deux soleils qui me donnaient envie de me battre. De me déchainer pour y parvenir ! J’étais prête à énormément pour faire plaisir à ces deux-là. Sans doute pas à affronter le père de mon fils qui était devant moi et cela n’avait pas l’air d’être juste pendant un petit temps. Non, j’allais y avoir droit pendant quelques mois voire des années. Il faudrait sans doute que je lu en parle ? Forcément, surtout si on commençait à parler des gosses qu’on aurait pu avoir avec le temps passé ensemble ! Comment dire que je sentais une énorme boule dans mon ventre pour le coup. Je pinçais mes lèvres avant de sourire. « Totalement ! On pourrait participer à la coupe du monde quand tu veux ! » Lançais je en souriant un peu plus, avant de secouer un eu la tête. Si seulement il savait exactement ce qui s’était passé durant cette absence qu’on avait eu dans la vie de l’autre. Il avait eu un enfant, il n’était pas au courant et la maman c’était forcément moi ! Celle qui en était tombée amoureuse, mais ce n’était pas du tout facile pour elle actuellement d’être face à lui. Elle se sentait mal de lu mentir, mais c’était la bonne solution, il avait sa vie et il l’aimât. Pourtant pourquoi je me sentais mal de lui mentir de la sorte ? Aucune idée. « Je ne fais pas ma modeste ! » Je souriais un peu avant de glisser ma main dans mes cheveux en souriant un peu, me demandant s je ne devais pas lui avouer pour notre enfant, son fils qui était arrivée récemment. Pour le coup, j’étais toujours aussi perdu. Je pinçais mes lèvres entres elles. « Être ton témoin ? Pas sûre ! » Pourtant j’imaginais la scène, tout bêtement. « Je risquerais être jalouse de ce mariage. » Je tirais un peu la langue, je me moquais ou je tentais de lui lancer un petit pic. Aucune idée, pour le coup, je n’étais pas sûre d’être réellement attaché à lui encore, j’avis surtout peur qu’il découvre mon secret. J’avais longuement joué avec ma destinée et pour le coup, j’étais perdue, tout simplement. « Mais, le discourt si j’en fais un ne sera pas cool envers toi ! Tu lapides ton pauvre partenaire dans ce mariage ! » Je rigolais un peu le taquinant à nouveau. « Non, je ne te laisserais pas en douter ! » je souriais alors que je prenais mon café qu’il venait de me tendre, je le regardais l’écoutant alors que tout cela me faisait sourire pour le coup. « J’en doute pas ! Je n’ai pas de petit ami, mais ça ne fait pas de moi quelqu’un d’ouverte à quoi que ce soit ! » Je lui offrais un beau petit clin d’œil, attendant de voir sa réaction. Au final, il était temps de me mettre en route pour que examiner les patients, il allait me suivre durant cette journée, donc pas d’aller et retour pour aller voir mon fils cela était totalement proscrit. Hors de question qu’il me voit avec, j’allais devoir me cacher ou sinon plus simple tout lui dire, mais non. Pas la bonne solution. On marchait, je lisais vite fait mes dossiers, les patients étaient des personnes étant là depuis quelques jours pour la plus tard, aucune entrée pour le moment. Je regardais Tomas. « Franchement on est plutôt pas mal, c’est l’un des meilleurs hôpitaux, tu ne pouvais pas tomber mal, l’ambiance est bonne. » Je lui faisais un petit sourire saluant un médecin qui était plutôt pas mal, il me proposait un café j’acceptais rapidement. « Tu es prêt ? » Demandais-je alors que je souriais. « Je ne peux plus partir en voyage humanitaire, cette vie est malheureusement terminée pour moi. » Lui devait vouloir y retourner. Mais moi j’avais un fils et une petite sœur pour qui je devais être présente. « Et toi ? » demandais je déjà sure de la réponse.
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Tomas L. Miller

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyDim 17 Mai - 17:51


Tomas & Mari

 

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Parler d’autre chose que des choses qui fâchent ou bien qui ne sont pas vraiment agréable à parler, Tomas s’y connait. Là en l’occurrence ils parlent de leurs futurs enfants. Ce sont les signes de la vie, enfin qu’ils peuvent imaginer en rigolant, rien de plus. « Ah bah faudrait qu’on se mette au travail alors, on a de quoi faire avant l’équipe de foot avec notre propre équipe ! » Dit-il avec un clin d’œil. C’est une manière pour lui de dire n’importe quoi et ça aide dans la vie de parler au second degré parfois. Déjà pour lui ça le détend alors qu’il ne cache pas le fait qu’il était quand même assez stressé de son premier jour. Du moins il a de l’appréhension et on peut le comprendre tout de même puisque comme partout il faut s’habituer, tout ne se fait pas en un claquement de doigt. De plus, ça permet de rire, de faire penser à autre chose à la jeune femme alors qu’elle lui a parlé de la mort de son père. Ce n’est pas forcément facile même si ses souvenirs sont bons elle n’était pas si proche que cela ses dernières années, ça ne change rien. Perdre un parent est une période pas facile dans la vie. C’était gagnant-gagnant pour tous les deux en effet. Puis même avant lorsqu’ils se connaissaient à Haïti c’était comme ça, à partir dans certains délires, à s’envoyer des piques tout en respectant l’autre et ce, même si le contexte ne s’y prêtait pas tellement vu la misère qu’ils avaient pu apercevoir. « Ah d’autre, je te connais ! » Encore un clin d’œil. Non mais faudrait qu’il arrête, on dirait limite qu’il s’agit d’un tic nerveux mais non. Enfin il la connait… il la connaissait plutôt mais qu’au présent, leur vie en profondeur, ce n’est pas de ça qu’ils parlaient, et encore lorsqu’ils parlaient parce que le corps l’un de l’autre par contre ils le connaissaient. Ils doivent sans doute s’en souvenir même s’ils ont quand même un minimum changé. Puis repenser à ça après autant de temps, ce n’est pas vraiment la chose la plus approprié. « Ah ouais jalouse ? Jalouse de moi qui épouse mon job ou bien jalouse parce que ce n’est pas toi qui porteras la robe de mariée ? » Bien sûr, ce n’est qu’au second degré qu’il dit cela. Elle est toujours aussi belle, il est peut-être en train de flirter malgré lui avec elle mais ils ont été très clair autrefois dans leur rupture. Chacun leur vie de leur côté même si apparemment leurs vies ne seront plus loin l’une de l’autre. « Oula, j’suis tenté de vraiment me marié, tout ça pour savoir ce que tu aurais à me dire ! » Un discours dans ce genre de mariage, ça doit être marrant à entendre, mais aussi à écrire même si ça ne doit pas être évident. De toute façon la question ne se pose pas, le mariage ce n’est pas pour lui. Mariage ou relation sérieuse, c’est pareil pour lui, dans tous les cas ce n’est pas pour lui. Il n’y arrive jamais vraiment. Pourtant, à la réponse de Marilhea quant au fait qu’elle soit en couple ou non, ça le resta complètement bouche bée. Il ne savait pas quoi dire, vraiment alors il se contenta de sourire en haussant les épaules. Il aurait bien fait une réflexion, lui envoyer une petite pique, lui dire qu’elle disait autre chose autrefois mais bon, c’est sa première journée, il vient de la retrouver, il ne va tout de même pas passer pour un obsédé qui parle de la sorte à sa collègue si jamais quelqu’un l’entend parler. En plus il doit la suivre toute la journée alors autant ne pas placer le moindre malaise. On verra plus tard mais ce n’est pas don genre non plus. Si elle ne montre pas la moindre envie de se faire draguer, il ne va pas faire le mec relou qui ne pense qu’avec son deuxième cerveau placé en bas. « Tant mieux, j’avais peur de passer dans un hôpital avec que des culs coincés, compétiteurs à souhait qu’ils ne pensent qu’à eux. » Compétiteurs pour se lancer des défis et se surpasser pourquoi pas mais pas des personnes qui se font des coups bas. Ce n’est pas son style. « Ouais, tes patients doivent t’attendre » Dit-il en la suivant à la trace dans les couloirs tout en discutant. « Derrière toi ? T’es encore jeune et la vie devant toi, c’était sympa non ? » Il était surpris de sa réponse, elle s’était plu la bas à sauver des personnes dans la misère il le savait. « Je pense ouais, ça me manque parfois. Puis vaut mieux en profiter avant d’avoir la maison, les enfants et le chien ! » Dit-il sans s’imaginer une seule seconde que l’enfant, il l’a dans un sens. Sinon il aurait eu un autre discours. « Mais ce n’est pas pour tout de suite, j’reste ici pour l’instant ! » Combien de temps il ne sait pas, il ne va pas se réengager pour un voyage humanitaire tout de suite mais c’est sûr qu’il y pense. Entendant le bipper de la jeune femme, il se tenait prêt à foncer pour se sentir utile en aidant s’il y avait un problème. « Ca a l’air urgent ! » Commenta-t-il en fronçant les sourcils avant d’effectivement se rendre dans le feu de l’action aux urgences où des patients venaient d’arriver.

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Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyDim 17 Mai - 19:35


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Je rigolais un peu, mais autant dire que je rigolais surtout jaune, vu que l’enfant … on l’avait déjà, sauf que bien entendu l’un d’entre nous n’était pas au courant ! Bien sûr c’était moi la personne qui était au courant de cela et non lui ! Normal c’était moi qui l’avait porté pendant neuf mois et qui l’avait mis au monde. Tomas n’avait jamais été mis au courant, je m’en voulais pour cela, mais je n’avais pas d’autre choix pour le coup, enfin c’était mon humble avis. Et oui, je pouvais avoir faux, je n’avais pas la science infuse ou autre connerie du style un don de voyance. « Ah voilà, pourquoi tu es de retour … pour t’amuser avec moi dans un lit ? » Je faisais la fille faussement choquée, oui, il fallait surtout que je le taquine aussi pour oublier le fait que j’avais porté son enfant et oublié de lui dire. Ouai, dire que j’avais oublié c’était un peu idiot, car c’était bien une chose qu’on avait du mal à oublier. Je n’aurais pas pu oublier ma grossesse, j’avais été grosse, ressemblant trait pour trait à une baleine à mon humble avis. Ce qui était sûr c’était que j’étais sûre de qui était le père ! À Haïti je n’avais couché qu’avec lui, en même temps. Bref, j’allais oublier tout cela, et me concentrer sur le travail espérant que tout allait bien se passer. Du moins, c’était la seule chose que je pouvais faire. Je le regardais secouant la tête. « Non, tu me connaissais ! » Lâchais-je spontanément. Après tout, j’avais changé ? Oui, en même temps c’était un peu logique, vu que j’étais devenue maman et une grande sœur responsable entre temps. Mais, bon il me connaissait encore assez bien en partie, j’en étais plutôt convaincu, c’était vraiment histoire de le taquiner ce petit non. après, tout ça me faisait du bien de le revoir, mais bon je ne savais pas pourquoi je ne l’avais pas appelé après avoir su que j’étais enceinte ? Peut-être parce que je m’étais imaginée qui me retiendrait et compagnie lors de ce moment où l’on dû se quitter ? Sans doute. Puis, j’avais aussi compris qu’il avait des rêves qui n’étaient pas d’avoir une famille ! Comme moi après tout, mais ça m’était tombé dessus comme une merde de mouette. Je devais faire avec et c’était ce que je faisais depuis le temps. Je me débrouillais plutôt bien à mon humble avis. Je passais ma main dans mes cheveux. « Tu connais ma réponse … je suis jalouse de ton boulot... j’aurais voulu la robe et compagnie ! » Disais-je amusée pour le coup, je savais que soit j’étais devenue maman, mais je n’étais pas prête pour le mariage, alors non, je n’étais pas jalouse, loin de là même, mais je voulais l’embêter, c’était comme ça avant entre nous, on se cherchait de toute part et il était vrai que pour le coup, cela faisait un bien énorme de retrouver ce genre de sensation, même si je me sentais mal de lui cacher qu’il avait un fils, notre fils. Enfin, je ne pouvais pas lui balancer ainsi ? Non, impossible. « Oh ouai ? Et moi si je me marie, tu dirais quoi ? » Quoi, j’allais bien attraper la petite perche qu’il venait de me tendre, sans peut être s’en rendre compte ? Après tout, pourquoi je ne le ferais pas. Enfin, je le regardais glissant ma main dans ma blouse tout en souriant amusée par cette situation. Il fallait vraiment que je cesse de parler avec lui, sinon je n’allais jamais me mettre au boulot. Célibataire ou non ? Ce n’était pas très important pour la journée d’aujourd’hui, qu’il sache cela, mais bon, j’y répondais bien volontiers pour le coup après tout ce n’était pas un secret d’état. Même si lui ne connaissait pas les raisons de mon célibat qui n’était pas ici mon boulot, mais bel et bien le fait que j’ai un enfant. Enfin, je le regardais souriant un peu à ses dires. J’étais bien d’accord avec lui, j’aimais bien mon environnement de travail sans compétition et compagnie. Enfin, je le regardais dans les yeux souriant un peu plus. « Ouai, c’est sûr que tu es bien tombé ici en tout cas ! » J’hésitais entre le plaisir de comprendre qu’il comptait peut être resté un moment ici ou le fait qu’il doive repartir ! M’enfin, je n’avais pas à me traumatiser les méninges, ce n’était pas mon choix et peut être même pas le sien dans le fond. Enfin, bref. Je le regardais. « Oui allons y. » Je marchais vers les chambres de mes patients, mais mon bipper commençait à sonner. Autant dire que c’était urgent vu à la fréquence qu’il sonnait. « Ouai, on va y aller. » Je ne répondais pas au fait qu’il devait rester ici, car si je commençais à y penser j’allais perdre pied tout bonnement. « Allez direction les urgences ! » Je parlais à Tomas, mais aussi à mes deux internes qui me collaient comme des canetons. On arrivait aux urgences, c’était un accident de voiture. Je regardais tomas ! « Il va falloir que tu te prennes en main tout seul pour le coup ! » Il savait gérer ! Alors, je pouvais lui laisser des patients, c’était que le fonctionnement de l’endroit qu’il ne savait pas, mais soigner des patients n’étaient pas une chose difficile pour nous vu notre métier.
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Tomas L. Miller

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Tomas avait la sensation qu’ils ne s’étaient quitté que la veille. C’était tellement naturel, du moins de son coté, leurs plaisanteries ou encore les piques qu’ils peuvent s’envoyer. Tant mieux, c’est toujours mieux que s’ils faisaient comme s’ils ne se connaissaient pas. Ça aurait été particulièrement compliqué de travailler ainsi si cela avait été le cas. « Pourquoi je serais venu pour autre chose ? » Demanda-t-il d’un air sérieux alors que bien entendu il plaisante. Tomas est le meilleur en ce qui concerne rester sérieux dans toutes les circonstances et donc là en l’occurrence faire le mec totalement sérieux dans ses propos alors que non ce n’est pas le cas. En même temps non seulement il ne savait pas que Marilhea travaillait ici mais en prime, il n’est pas le genre de mec à déménager en fonction d’une femme avec qui il ne sort pas. Peut-être qu’auparavant il aurait pu s’ils étaient encore ensembles, que leur relation avait pris plus de sérieux mais là non ce n’est pas le cas. « Exact, mais tu n’as pas tant changé que ça depuis le temps j’suis sûr !  » Il n’est bien entendu, sûr de rien. Il n’est pas devin après tout mais il part du principe qu’on ne change pas tant que ça en si peu de temps sauf si bien sur certains éléments nous arrivent et nous change de tout au tout. Est-ce une manière pour Tomas de lui demander indirectement si, mis à part malheureusement la mort de son père dont il est déjà au courant, d’autres éléments ont changé de sa vie. Il ne se doute de rien. Il ne croit de toute manière que ce qu’il voit et tout ce qu’il voit qu’elle est toujours aussi séduisante dans sa blouse de médecin, le reste, il n’en sait rien si on ne lui en parle pas. C’est un médecin après tout, il ne croit qu’aux chiffres, scanners et examens et non à certaines croyances. En tout cas Tomas se mit à rire en l’entendant dire qu’elle serait jalouse pour le mariage. « Je savais bien que t’étais obsédé par moi au point de vouloir m’épouser et tout le bataclan. Tu veux faire de moi un homme au foyer qui s’occupe des gosses et des tâches ménagères pendant que tu sauves des vies, avoues !  » Encore une fois il dit cela sous le ton de la plaisanterie et rien d’autre malgré qu’on puisse imaginer. C’est tout à fait leur style de plaisanter la dessus, s’inventer des vies pour rire. En même temps lors de leurs longues nuit à Haïti il fallait bien s’occuper. « Je me lèverais lorsqu’il faudra empêcher le mariage ! » Dit-il en la regardant avec un sourire. Une fois encore il n’est pas sérieux, il ne veut pas gâcher le bonheur de l’un de ses proches même si c’est sans sa présence à lui. «   J’pense que je serais un peu jaloux ! » Avec toutes les conneries qu’il dit, on peut penser qu’il s’agit encore d’une plaisanterie mais pour une fois c’est bel et bien la vérité et rien d’autre. Bah ouais, la voir avec un autre, ça fait toujours quelque chose aux ex, c’est ainsi mais bon, ils ne sont plus ensembles depuis un moment maintenant alors il n’a rien à dire, puis à penser aussi. Chacun leur vie c’est ainsi et c’est tout à fait normal d’ailleurs. En tout cas ils n’ont pas eu le temps de parler plus que ça après cela, ils devaient se rendre aux urgences Les patients avant tout, leurs conversations ont un gout éphémère à côté des vies à sauver. « T’inquiètes pas je gère !  » Personne ne le connait mais il a cette allure de médecin qui sait ce qu’il fait alors s’il doit donner des ordres il fera tout pour se faire respecter. Et c’est ce qu’il fit d’ailleurs pour sauver une dame qui venait de subir un accident de voiture. Elle en sortait vivante, juste des problèmes à sa jambe mais un chirurgien de ce service pris la patiente en charge. Tomas se retrouva donc à ne rien faire mis à part visiter de lui-même avant de voir Marilhea revenir vers le hall d’entrée, elle aussi semblait être libre. « Ça c’est bien passé ?  » Demanda-t-il simplement mais ça avait l’air d’aller si on en croit les traits de son visage. Quoi qu’avec leur boulot on apprend à rester impassible qu’importe les situations. « Ça te dirait d’aller boire un verre après le boulot ? Enfin je ne sais pas exactement jusqu’à tu bosses ce soir !  » Après tout il n’a rien du stalker obsédé par quelqu’un au point de la suivre à la trace et connaitre toute sa vie sur le bout des doigts. «   En toute amitié !  » Prit-il la peine de rajouter comme pour se rajouter des chances qu’elle accepte si elle ne pense pas que c’est pour la foutre dans son lit et rien d’autre. Ils ont beau avoir déconné sur la sujet depuis qu’ils se sont revus, ce n’est pas pour autant qu’il la prend uniquement pour le cul ou tout ce qui va avec. Bien sûr que non ce n’est pas le cas. Il aimait coucher avec elle, il est même certain que ça serait toujours le cas si jamais ils faisaient encore des folies de leur corps aujourd’hui mais bon il n’y a pas que ça dans la vie et Tomas n’est pas le genre de mec à ne penser qu’avec sa troisième jambe.

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Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyMer 3 Juin - 22:09


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« On ne sait jamais … peut être que tu simulais à chaque fois.. » Je venais rapprocher mes lèvres de son oreille pour murmurer à cette dernière. « Tu jouissais peut être faussement à chaque fois que mes lèvres s’occupaient de toi ! » Je souriais amusée avant de me reculer de lui. Il avait commencé à me taquiner, j’étais loin d’être du style à ne pas répondre tout au contraire, j’aimais répondre avec panache et me lançais dans une petite guerre puérile de blague. Ce n’était jamais rien de méchant, donc je pouvais me le permettre, puis cela me faisait oublier tout le reste, style le fait que j’avais été tout simplement maman depuis mon retour d’Haïti et que je n’avais pas eu le temps ou le courage de le prévenir ! Enfin, pourquoi je l’aurais prévenu ? Moi, j’aurais voulu continuer notre relation, mais c’était seulement dans un seul sens, car lui n’en avait pas vu l’intérêt malheureusement. Je le regardais souriant un peu plus, alors que ma main venait se glisser dans ma chevelure. « Tu le découvriras avec le temps peut être ? » Oui, peut être autant dire que je préférerais qu’il ne sache rien de la nouvelle moi. En même temps cela était totalement logique vu que j’élevais une fille presque majeure et un petit garçon qui se trouvait être le fils de Tomas. Son arrivée allait être compliquée à gérer pour moi, mais je ne ferais rien pour le faire déguerpir ou le faire renvoyer, j’étais loin d’être ainsi, même si cela serait drôlement utile si j’utilisais mes connaissances pour le faire partir. Je ne pouvais nier, que le revoir dans mon champ de vision, me faisait un bien fou, il m’avait manqué, j’en avais juste pas conscience. Enfin, je le regardais parler de ce mariage avec son travail, en même temps qu’importe le médecin, tous serait bon à marier avec leur boulot, oui, autant l’avouer, même moi, je serais bonne à marier avec lui, peut-être moins que d’autre vu que j’étais aussi une maman avec des responsabilités, j’étais seule, alors je devais gérer tout. Enormément de chose reposait sur mes épaules, cela ne m’effrayait en rien, mais j’aurais voulu pouvoir éviter cela, c’était trop demander. Je n’avais pas trouvé de papa pour remplacer Tomas, après tout, personne ne pouvait prendre sa place et je le réalisais que maintenant. Je rigolais un peu plus à ses mots. « Effectivement ! Je ne t’inviterais jamais chez moi, car bien sûr j’ai un autel à ton effigie... et je ne voudrais pas que tu me fasses interner ou autre tu vois ! Je ne veux pas me retrouver avec d’autres personnes aussi dingues moi ! Mais, j’y peux rien tu es juste parfait ! Tu me donnes chaud rien que quand mon regard se pose sur ton regard, tu n’imagines même pas là à quel point je voudrais te faire un... » Je ne pouvais pas dire le mot que je voulais dire, le mot gosse ou bébé, car c’était exactement ça, je lui avais fait un gosse dans le dos, bon sans le vouloir, je n’avais pas tout fait pour tomber enceinte, qu’on soit bien d’accord. Mais, je ne l’avais pas prévenu qu’il allait devenir papa, donc ça revenait pratiquement à la même chose. J’étais paumée, je ne m’attendais pas à le revoir, alors pas du moins avant que mon fils soit plus vieux et ne quémande des réponses sur son pères. Enfin, je ne savais pas comment gérer tout cela, mais j’allais le faire, j’étais un médecin et je pouvais faire beaucoup de chose et gérer très bien les choses. « Ah oui et pourquoi tu te lèverais pour empêcher un homme bien de m’épouser ? » Un sourire était peint sur mes lèvres, alors que je souriais un peu plus. « Oh jaloux, c’est presque mignon venant d’un homme qui ne voulait pas s’engager. » Oui, elle était obligée de sortir cette dernière, il fallait bien que je la place, c’était un peu un reproche, m’enfin. Il était temps pour nous de nous bouger et de visiter mes patients. Je ne m’attendais juste pas à ce que je me retrouve aux urgences à devoir laisser le jeune homme se dépatouiller par lui-même, m’enfin, je savais qu’il pouvait gérer ! On avait tout gérer à Haïti, alors pourquoi cela changerait à présent ? Aucune raison, pour le coup, que cela ne se fasse. Je m’occupais d’un petit patient que quelques années. Il avait une légère commotion à la tête, mais tout irait parfaitement bien pour lui au final, on avait tous assez bien gérer cette urgence, j’allais à l’accueil des urgences pour remplir mes papiers à l’aide de ma tablette, alors que j’entrevue le jeune homme se rapprocher de moi pour me parler. « Oui et pour toi, avec l’équipe et le patient ? » Demandais-je à mon tour après avoir répondu à sa question. Il me proposa d’aller boire un verre, autant dire que j’aurais bel et bien dit oui, mais je devais rentrer m’occuper de mon fils et de ma sœur. « Hum, je ne sais pas, j’ai une sœur dont je dois m’occuper … malgré qu’elle soit âgé … désolée. » Je grimaçais un peu pour le coup, souriant un peu alors que je reprenais ce que je faisais, c’est-à-dire remplir mes papiers.

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Tomas L. Miller

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyDim 14 Juin - 18:28


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Simuler ? Lui ? Ça serait mal le connaitre, surtout lors de leurs parties de jambes en l’air, il n’avait pas de quoi simuler. « J’aurais pu simuler oui… mais tu ne me laissais pas le temps de le faire ! » Bah ouais, elle était bien trop bonne dans ce qu’elle faisait pour qu’il ait eu besoin de simuler quoi que ce soit. Ça serait l’insulter elle et ses performances que de dire le contraire. Même pour l’embêter un petit peu il ne pourrait pas. C’est le genre de chose qu’on ne peut pas dire, il ne veut pas l’offenser voyons. De toute manière il ne serait pas crédible à dire le contraire. Dans un lit dans leurs tentes, ils ne s’ennuyaient pas, bien au contraire même qu’ils ont surement dérangés d’autres volontaires avec leurs bruits suspects. Enfin qu’importe, là n’est pas la question. « Ouais, de toute façon maintenant je suis là, j’peux découvrir ta nouvelle vie maintenant ! » Dit-il avec un sourire. Il ne pensait pas la croiser là, il ne pensait plus la voir du tout d’où le fait qu’ils aient coupé tout contact. La longue distance ce n’est pas vraiment le top, c’est le cas en général pour tout type de relation après tout. C’était donc clair dès le départ qu’ils ne se verraient plus ensuite. Il n’allait de toute manière à Haïti pour tomber amoureux mais pour sauver des vies et aider. Peut-être qu’il avait plus eu des sentiments pour la brune qu’il ne se l’était fixé lui-même mais ils avaient coupé contact en partant à l’aéroport, comme c’était convenu. Enfin maintenant qu’il se trouve dans la même ville ils pourront se revoir. Pas comme avant, ils sont avant tout collègue mais ça fait du bien de voir une petite tête connu puis pas une tête désagréable à regarder au contraire. « Tu voudrais me faire un… ? » Demanda-t-il en arquant un sourcil d’un air amusé alors qu’il se doute bien de quoi elle faisait allusion. Qu’ils fassent un bébé là tout de suite il ne dirait pas non c’est clair même s’il faut éviter de le mettre dans la merde à peine arrivée si jamais ils se font attraper. De toute façon il pense à ça mais là maintenant il n’est pas question qu’il lui saute dessus pour aller faire mumuse dans un placard non plus. Il n’est pas là pour ça, il est là pour faire le tour et puisque le travail a une place importance pour lui il ne veut pas faire n’importe quoi non plus. « N’empêche ça m’étonne même pas. Je t’imagine bien avec des centaines de photos de moi dans ta chambre, tu as pris des photos de moi quand je dormais à Haïti c’est ça ? » Demanda-t-il d’un air sérieux alors qu’il ne l’est pas. Enfin si ça serait véridique il aurait de quoi avoir peur après tout. Mais bon, il ne va pas appeler des hommes en blanc pour venir la chercher. Il comprend qu’on puisse être obsédé par lui. Bon ok, blague à part, il n’est pas comme cela, il s’envoie souvent des fleurs mais la plupart du temps c’est sur le ton de l’humour. Rien d’autre. De toute façon comme autrefois, ils semblent doués en ce qui concernent se lancer des petites phrases à la figure en toute amitié comme avant. « J’suis quelqu’un de très possessive, je ne partage pas. » Dit-il pour s’expliquer avec un clin d’œil. Bien sûr il serait peut-être jaloux au fond de la voir se marier mais ce n’est pas pour autant qu’il s’y opposerait. En tout cas sa pique, il ne l’avait pas cherché. « En même temps on n’allait pas fuir nos vies après Haïti pour se retrouver tels des amants maudits ! » Dit-il avec un petit rire. Il ne va pas s’expliquer sur le sujet non plus, il pensait que c’était la meilleure chose à faire à ce moment-là même si ce n’était pas des plus simples. Ils n’avaient pas le temps d’épiloguer plus longtemps sur le sujet, les vies à sauver n’attendent pas, ni le boulot même si là il est parti aider d’une manière volontaire puisqu’il ne travaille pas encore dans cet hôpital. Mais Tomas est comme ça, il ne sauve personne pour l’argent, c’est sa nature humaine. Sauver les autres, les aider à aller meilleurs, c’est le plus important dans sa vie, comme s’il était né pour ça. Une fois chose faite, il revint vers Marilhea qui elle aussi avait fini mis à part la paperasse habituelle. La seule chose qu’il n’aime pas dans ce métier. Mais bon, ils n’ont pas le choix. « Moi ça va, on a sauvé le patient. J’ai eu du mal à m’imposer enfin ils ont discuté certains de mes ordres mais ils ont bien vu que je savais ce que je faisais. »  Ils sont tombés sur tellement de cas à Haïti qu’ils ont pas mal de connaissance, surtout aux urgences où comme son nom l’indique il faut travailler dans l’urgence et perdre du temps à réfléchir. « Oh je vois, une prochaine fois sinon ? » Tomas eu du mal à montrer qu’il fut déçu de sa réponse même s’il peut la comprendre. Peut-être est-ce qu’aussi ce n’est qu’une excuse qu’elle se donne pour ne pas lui dire directement qu’elle ne veut pas le côtoyer en dehors de ses couloirs. Elle a le droit aussi mais bon Tomas ne put s’empêcher d’être déçu alors qu’il ne devrait pas. « On devrait peut-être reprendre la visite ! » Dit-il simplement, sans sourire ni rien du tout. Les piques envoyées avant lorsqu’ils plaisantaient ont l’air bien loin là tout de suite.

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Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyVen 19 Juin - 8:11


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« Ravie de le savoir alors ! » Je pouvais être une vraie petite coquine, certaine personne le voyait sur mon visage et d’autre me pensait aussi sage qu’un petit ange, alors que je tirais plutôt vers le petit diable quelques fois. Je le regardais tout aussi amusée par la conversation. Une conversation pleinement normale surtout si on regardait autour de nous et compagnie pour le coup, l’hôpital était un bon endroit pour parler de ça, mais peut-être pas sur notre temps de travail, autant dire que cela était bel et bien moyen pour le coup, mais tant pis je n’allais pas changer de sujet d’un coup après tout, puis ce dernier finira par disparaître de lui-même j’en étais sûre. « Ouai, enfin j’espère que tu ne découvriras pas tout ! Imagine tu es déçu par moi ! » Il allait l’être, j’en doutais même pas et cela me dérangeait qu’il puisse m’en vouloir. Après tout, j’’avais gardé secret ma grossesse, la naissance de son fils et ses mois de vies. Je m’en voulais, mais c’était pour moi la meilleure solution pour que Tomas puisse vivre sa vie pleinement. Normalement, j’aurais continué de courir le monde pour donner de mon aide, mais je n’avais pas pu, j’étais enceinte puis j’avais eu droit à la mort de mon père et sa femme qui avait laissé une orpheline et j’étais la seule à pouvoir m’occuper de mes enfants, donc autant dire que je n’allais pas laisser faire cela. J’avais pris la place d’une maman et oublier tomas, enfin autant que je le pouvais, mon fils lui ressemblait, il avait son petit rictus quand il me faisait tourner en bourrique, enfin je ne pouvais pas m’empêcher de voir Tomas dans mon fils, enfin notre fils. C’était bizarre maintenant de me retrouver face à lui, alors que j’avais à quelques mètres de nous mon fils qui m’attendait bien sagement dans les bras d’une nurse. « Tu le sais très bien. » J’en étais sûre que dans sa tête un tas d’idée avait germé avec grand plaisir, alors je n’allais pas lui dire pour qu’il obtienne ce qu’il désire, non ce n’était pas aussi drôle si je faisais ça, je posais mon regard sur lui toujours un peu amusée, même si j’allais me calmer pour ne pas oublier mon travail qui restait la troisième chose la plus importante dans ma vie après mon fils et ma petite sœur. Autant dire que j’avais des plannings et des journées chargées à bloc, mais cela me convenait jusqu’à présent. Je rigolais un peu haussant les épaules et jetant un regard en l’air pour rester assez innocente, même si c’était le cas c’était toujours amusant de jouer verbalement de la sorte. Je mordais un peu ma lèvre. « Oui et quand on était en pleine action aussi … tu n’as jamais remarqué ? » Demandais-je comme si tout ceci était réel. Ce qui n’était pas le cas ce n’était qu’un fantasme ou plutôt un songe inventé de toute pièce par moi. Je le regardais en secouant la tête avant de rire. « Non mais je n’appartiens à personne moi, donc va falloir partager mon bon monsieur ! » Un petit clin d’œil bien placé, je rigolais un peu avant de glisser ma main dans mes cheveux et de rire un peu plus, alors que je posais mon regard sur les personnes derrières nous, ça commençait à bouger, ce qu’on devrait faire rapidement tantôt. « Non, c’est ça. Je savais qu’on ne l’aurait pas fait. » Autant dire qu’il venait de me rassurer sans le savoir, après tout il avait dit lui-même qu’on ne se serait pas retrouver, voilà pourquoi je ne l’avais jamais appelé pour son fils, à quoi bon ? Mise à part à me rendre mal, car il ne serait pas revenu. Oui, ça m’arrangeait de penser ça et d’être tranquille consciemment. Enfin tout cela avait vite fait de partir pour que j’aille tenter de sauver la vie que j’avais entre mes mains, j’étais pas totalement sûre que l’enfant s’en sorte, mais au final mon équipe et moi avions bien bossé, cet accident avait causé des morts sur place et des pertes à l’hôpital, mais on avait un bon pourcentage de vie sauver, c’était comme ça qu’il fallait voir les choses dans le fond. « Ça arrive au petit nouveau qu’il doive faire ses preuves, même avec moi, je ne l’écoute pas toujours, mais je suis souvent le supérieur et j’ai souvent de meilleurs idée. » pas pour me vanter, tout au contraire, mais même mes supérieurs parfois je restais droite face à eux quand je disais blanc et eux noirs. Il me proposa un verre ce que je refusais assez rapidement, car je n’avais personne pour mon fils et je ne savais pas ce que j’allais faire pour mon fils, si j’allais lui dire ou non. Enfin, autant dire que tout cela était compliqué, il avait l’air déçu ou contrarié à présent. « Ça va tomas ? » osais-je demander en souriant un peu, alors que je ne savais même pas comment j’allais gérer cette situation. Autant dire que c’était compliqué. «Oui, vas –y je vais te suivre sur la première et te laisser parler ! » Disais-je commençant à le suivre.

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Tomas L. Miller

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyVen 3 Juil - 0:36


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« Avec plaisir ! » Dit-il avec un petit sourire au coin des lèvres qui ne laisse pas croire qu’il puisse penser à autre chose. Ralala on l’arrête difficilement celui-là mais bon, personne ne s’est plaint jusque-là et c’est tant mieux. En même temps il ne cache pas vraiment son côté coquin. Oui il aime le sexe mais ce n’est pas pour autant que ça fait de lui un pervers tout de même. Quels hommes n’aiment pas le sexe ? Oui, il aime ça alors ça ne fait pas de lui quelqu’un différent des autres, ça le rend juste normal. Enfin qu’importe, même s’il la cherche, il n’est pas non plus ici pour parler de parties de jambes en l’air ou quoi que ce soit dans le genre. Il est là pour travailler mais bon, Tomas ne peut décidément pas s’empêcher d’évoquer le sujet alors qu’il vient à peine de retrouver Marilhea. Faut dire qu’ils ne s’ennuyaient tous les deux. Mais bon, ça serait quand même bête de s’attirer des ennuis en parler de tout cela en plein milieu de couloir alors qu’ils sont censés être ici pour soigner et sauver des patients, ils ne sont pas dans un porno non plus, même s’ils sont loin de se sauter dessus non plus. Non pas qu’il ne le veuille pas mais il reste quelqu’un de civiliser et ils ne sont plus ensembles tous les deux. Elle se dit avoir changé en prime. D’ailleurs sa petite réflexion le fit sourire : « Déçu ? Hum je ne sais pas, tu caches des cadavres dans ton placard ? Tu sais je suis difficilement déçu. Rien ne m’étonne. Sauf si tu es devenue une psychopathe entre temps et que tu souhaites me kidnapper, la par contre je serais déçu ! » Dit-il d’un air sérieux. Sait-on jamais, il devrait peut-être se méfier. Plus sérieusement, il ne pense pas être déçu, du moins c’est ce qu’il pense là tout de suite mais comme elle l’a si bien dit, il ne la connait pas aujourd’hui, ils sont bien loin de leur vie à Haiti qui étaient quand même très différente même si la finalité de leurs travails reste la même, c’est-à-dire sauver des gens. Mais bon, c’est quand même bien différent. Pourtant, le fait de se chercher et de s’envoyer constamment des piques n’a pas changé d’un pays à une autre c’est tant mieux dans un coté, ça leur permet de renouer doucement mais surement. Bien sur les choses sont bien différente, il n’attend rien d’elle mais c’est cool de la voir dans les parages. Prenant un air choqué, il finit par lui répondre la bouche grande ouverte : « Ah aussi ? Non je n’ai jamais remarqué, je pensais à autre chose vois-tu, tu les as encore ? J’veux les voir ! » Dit-il avant d’éclater de rire. Les tarées ça existent mais il ne voit pas vraiment Marilhea l’être à vrai dire. Il l’aurait su non ? Quoi que des fois, on ne sait jamais voyez-vous, les psychopathes n’ont pas toujours l’air de l’être. Non mais il ne veut pas croire qu’elle puisse l’être. « On verra ça ! » Il ne compte pas faire l’ex petit ami qui ne supporte pas de voir une fille voir d’autres mecs, ce n’est pas son genre, c’est pourquoi il a dit cela sur le ton de l’humour tout de même. Déjà qu’il n’est pas lourd lorsqu’il est en couple sur ce plan là, il ne va quand même pas le devenir une fois plus avec cette personne. « Au moins on se comprend ! » Dit-il en un haussement d’épaule avant de s’éloigner avant d’aller s’occuper d’un patient qui a véritablement besoin de lui. Il est bien content qu’elle ait été d’accord avec lui lors de leur rupture, c’était ce qu’il fallait à faire que ce soit pour elle ou pour lui. Au moins elle n’a pas voulu se battre pour une relation à distance vouée à l’échec. Après avoir fait ce qu’il avait à faire, il retira ses gants qu’il jeta à l’endroit prévu pour revenir vers Marilhea de nouveau qui lui demanda des nouvelles de son premier patient. « Ouais, de toute façon ils verront bien à qui ils auront à faire et que tu ne seras pas la meilleure ! » Hop un clin d’œil, le voilà l’esprit de compétition dont ils faisaient déjà preuve autrefois ça ne risque pas de s’arrêter maintenant. Et ce n’est pas pour cela qu’il ne peut pas sympathiser avec l’ « ennemie » puisqu’il lui proposa un verre, ce qu’elle refusa. Merci pour l’égo, ça fait plaisir. « Oui ça va, pourquoi ça n’irait pas ? » Dit-il avec un sourire. Celui-ci ne sonne pas tout à fait faux mais bon, c’est vrai que son égo en a quand même pris un coup. Mais bon, il n’est pas une fillette, il ne va pas se plaindre ni se mettre à chialer parce qu’il s’est pris un râteau. En plus c’était en ami donc ça ne l’est même pas. En tout cas il lui sourit, comme si de rien n’était. « J’voulais juste t’offrir le privilège de boire un coup avec moi, c’est juste dommage pour toi tu comprends ! » Dit-il d’un ton mélodramatique. Commençant à marcher vers un patient venant d’arriver avec Marilhea, il se présenta. « Bonjour, je suis le docteur Miller et voilà le docteur Costa. Qu’est-ce que nous avons ? Toi le mec avec des chaussures bizarre ! » Interrogea-t-il. Il ne connait pas son nom alors faut bien qu’il trouve un moyen de lui parler. En tout cas ça se voyait qu’il s’agissait d’un petit interne, il n’était pas très sûr de lui alors qu’il explique la situation. « On dirait nous au début, quoi que nous on le faisait avec classe ! » Chuchota-t-il à Mari’ tout en discrétion tout en écoutant l’explication de l’interne. Tomas se vanter ? Non jamais voyons.

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Marilhéa N. Costa

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Message(#) Sujet: Re: Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch. Tomas + The past often strikes very hard, but there. Outch.  EmptyJeu 27 Aoû - 12:22


Tomas & Mari

 

The past often strikes very hard, but there. Outch.


 
« Moi cacher des cadavres dans mon placard, tu crois vraiment que c’est mon style. » Je laissais un sourire se poser sur mon visage, alors que je posais mon regard sur lui, avant de glisser ma main dans mes cheveux. « Je ne te crois pas pour le fait que tu serais déçu que je tente de te kidnapper, tu aurais kiffer ça, que j’ai un autel en ton nom avec des photos de toi partout ! Avoues-tu aurais kiffé que je voue un culte ! » Je le connaissais par cœur, mais c’était plus un petit jeu pour le coup, il n’était pas un monstre qui se vénérait et rien que lui. Non, il pouvait paraître égoïste parfois, mais ce n’était que des apparences des paroles qui fallait prendre à la rigolade. Après tout, pourquoi il ferait médecine depuis tant d’année s’il n’était qu’un connard ambulant ? Enfin, bref, pour le moment c’était moi la connasse qui lui avait caché son gosse et je ne savais même pas si j’allais lui dire. En même temps, pourquoi lui dire si en même temps j’espère qu’il reparte bien vite ? Aucune idée. Je ne me laissais pas à imaginer un possible futur ensemble, non, je ne pensais qu’à mon fils et à cette vie que je vivais qui était amplement compliqué pour le coup. Enfin, heureusement le boulot allait nous séparer un peu et surtout me permettre d’oublier mes tracas. Enfin ce tracas qu’était Tomas pour moi. Je n’aimais pas forcément cela, enfin. Je mordais un peu ma lèvre, j’avais fini de me débattre avec mon blessé, j’avais des personnes à former, cela n’était pas toujours très facile de bosser avec, autant dire que c’était comme mon propre enfant que j’essayais d’élever dans la société, mais certains adoraient faire des âneries, mais j’étais comme ça avant, non ? Sans doute, autant dire que je préférais oublier mes propres erreurs, pour ne pas me les rabâcher tous le temps. Le retour auprès de Tomas fût arrivé, je devais le guider, alors que j’aurais pu toujours prendre un de mes internes pour qu’il le fasse à ma place ? Mais, il se poserait des questions et les interrogations ne sont pas réellement cool dans ces moments-là. Je ne m’attendais sans doute pas à finir avec une proposition de boire un verre. Je ne pouvais pas, lui mentir sur mon lieu de travail, pas de problème, mais en privé, cela deviendrait sans doute très compliqué à faire. Je n’avais pas le choix après tout, mais c’était ainsi. Je pinçais ma lèvre en l’écoutant avant de m’en amuser un peu. « Je ne sais pas, ta tête qui a changé d’expression ! » autant être franche après tout. Je le regardais et fronçais un peu les sourcils. « Pour moi ? Non, pour toi, tu ne sortiras pas avec l’une des plus belles femmes de ces lieux, enfin non, la plus belle ! » Je lui faisais un clin d’œil, un collègue à moi, enfin à nous, venait rajouter qu’il confirmait mes dires, autant dire que je partais avec lui dans un éclat de rire. « Merci mon cher ! » Un petit clin d’œil à l’intention de ce jeune homme qui était plutôt vantard et compagnie, tout sauf mon style, mais il était charmant et j’avais d’ors et déjà couché avec lui. Enfin, ce n’était qu’une fois et j’étais bourrée, j’étais un peu mal à cette période. Bref, je me défends moi-même dans mon propre esprit, tout cela reste logique. Je suivais le mouvement laissant même les commandes à Tomas, après tout, il avait les mêmes études et il était aussi performant que moi, que ce soit au travail ou dans un lit. « Bonjour ! » Disais-je à ce patient, laissant l’interne répondre à Miller. « J’ai toujours la classe, toi par contre ! » autant dire que j’allais pas le laisser faire sa petite loi par ici. « Le docteur Miller va vous guider aujourd’hui, moi je vais juste rentrer chez moi ! » Il était l’heure d’aller à la réunion des parents pour moi, enfin celle de ma petite sœur, c’était prévu, donc rien à faire ! Ils étaient tous grand ! « Évitez de tuer des patients ! » Je faisais un clin d’œil à tomas, qui allait sans doute me demander si j’étais sérieuse.
luckyred.
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