IT'S THE HISTORY OF THE LIFE
J'ai décidé d'être heureux car c'est bon pour la santé. -Voltaire.

You? My family? We are so much alike not nevertheless
Je tcheka ma bande de pote avant de franchir cette prote blanche envahit d'un gazon vert pur, l'herbe coupée exactement de la même hauteur.
-Allez, bonne chance frère, on se voit demain ! Seuls mes frères, enfin ma bande de pote savait ce qui se passait derrière cette porte quand je la franchissais. La première fois que je leur ai dit que mon gros bleu sur la joue gauche m'avait été donné par mon père ils ont tous allucinés. Bah oui, demande aux gens du quartier comment sont les Klein, ils vous répondront qu'ils sont parfait, super gentil, non-égoïste, enfin toutes les qualités possible. Bah je peux vous en assurez le contraire.
Je rentra en faisant attention où je mettais les pieds sur ce parquet verni.
- THOMAS ! Et je recevais une claque. Je serra mes poings, je me demande ce qui me retenait de pas la frapper. Peut-être parce que, c'est elle qui m'a mit au monde, malheureusement.
-J'ai fais quoi encore? Dis-je d'une voix tremblante par la rage.
-Monte dans ta chambre, je ne veux plus te voir ! Et c'est à cette heure là que tu rentres ?! Mais qu'Est-ce que j'ai fais au Bon Dieu pour mériter un enfant pareil ! Evidement, je n'ai pas eu la réponse à ma question, je l'aurai jamais eu. Je monta dans ma chambre, faisant pas de bruit dans le premier étage car le bureau de mon père se trouva dans celui-ci. Je rentra dans ma chambre, et comme d'habitude dans un désordre pas possible. Je prépara un cahier, ouvert sur mon bureau ainsi que ma trousse déjà ouverte. J'appela ma petite amie pour lui dire que se n'est plus possible entre nous car je l'aime plus. Enfin, le pipo de tout les mecs, en vrai, j'en avait juste marre de sa tête et je voulais passer à une autre fille. Elle pleura au téléphone, mais perso, je m'en les battais. Je coupa net le téléphone et m'installa sur mon bureau à pas de course, prenant un stylo dans ma trouve, déjà préparé. J'ai entendu mon père sortir de son bureau. Il tapa à ma porte et il entra. Je faisais genre que je travaillais. Le "bonjour" était remplacé par:
-Mais c'est quoi ce bordel ici ?! Putain, Thomas, bouge tes fesses de c'te chaise et dépêche toi à me la ranger Il me prit par les cheveux et me balança à terre. Enfaite, je crois que, le Thomas que j'étais n'était juste qu'une simple personne à leur yeux pour qu'ils se défoulent sur moi. Je pris tout mon temps pour ramasser mes affaires. Oui, j'étais un rebelle, puis un bad boy est courageux, fort envers tout le monde. Il me donna un coup de pied au cul, violant qui m'éjecta à terre.
-Bon, Thomas je vais te le dire gentiment. Tu vas te dépêcher à la ranger ta putain de chambre sinon tu vois la ceinture que je porte ? Je te la fou sur le visage. Ta compris mon fils? Je resta sans émotion. Je l'ai écouté du coup, car c'est bon, si c'est pour avoir des traces rouges sur mon corps alors que je pourrai baiser à tout moment, c'est pas la peine. Je l'ai rangé. Je déteste quand c'est tout rangé, je trouve ça vraiment stressant.
-Thomas ! On mange Je descendis les escaliers direct pour pas me recevoir une claque pour avoir attardé le diner. Une salade était dans mon assiette. Je pris n'importe qu'elle fourchette et couteau qui était à mes côtés.
-T'en veux une Thomas ? C'est la fourchette la plus près de l'assiette qui faut prendre tu le sais me gueula dessus mon père. Je pris la fourchette appropriée, et faisais comme si je n'avais rien entendu. Tout le long du repas, ils ne m'adressaient même pas la parole, remarque, j'en avais l'habitude. Je commença mon plat chaud, par chance, c'était mon plat préféré alors je commença à me recourber vers mon assiette et a manger avec de grandes bouchées. Ma mère me regarda glacialement et mon père tapa son poing sur la table, se leva et me prit par l'oreille et me jeta en direction de l'escalier
-Va dans ta chambre, tu ne mangeras que demain au petit déjeuner. Allez, va-t'en

If we would have told me would have me not believed
Elle était bien là, elle m'avait bien parlé, cette jeune femme. Cette jeune femme que j'ai juste pensé comme une proie parmi tant d'autres. On était dans une course de moto. Ca faisait deux ans que j'en faisais grâce à un pote et j'etais vraiment bon. Elle m'avait proposé de faire une couse dans un des sentiers perdus des Etats-Unis. J'avais bien sûr dit oui. Je savais que j'allais la battre en deux, deux. On commença et je fus rapidement devant avec pas mal d'avance. Elle, elle était dernière, je l'avais perdu de vue, alors je ralentissais un peu, quand d'un coup elle déboula devant moi. Je fus surpris et à la fois intéressé par cette course peu commune. Ma seule chance de gagner maintenant ? La doubler juste avant la fin. Mais elle avait eu un si bon stratagème et je n'y suis pas arrivé. Je m'arrêta et rigola de surprise, retira mon casque et regarda la jeune femme. Je ne savais pas qu'une si belle jeune femme pouvait être bonne à ses courses Elle recracha immédiatement son sourire et s'approcha de moi. Je rêve où tu me drague là ? Ah ! Une fille difficile ! J'aime ça, c'est un bon défis. Puis je sais pas pourquoi, mais quelques choses en elle me donna envie de garder contact avec. Et si je te draguais, ça te ferai quoi ? Elle reprit son sourire et on parta faire un tour en moto avec de sacrés fous-rires.
Avancement de 3 ans plus tard
Laisse-moi Thomas ! T'es bien comme les autres ! Et moi qui pensait que tu étais différent.. Enfin comme ami Elle pleura. J'avais tellement envie de l'a prendre dans mes bras. J'approcha mon bras droit vers elle en disant son nom d'une petite voix. Non ! Me touche plus ! Je comprend sa réaction. Enfaite, on était le soir, minuit je dirai, il y avait une fête puis j'ai parlé avec un pote et je lui ai dit que je m'éclatait juste avec cette Tessa. Elle est partie en pleure, je l'avais entendu mais j'ai pas eu le temps de dire que ça, c'était du passé, que je m'y attachais vraiment, que je pensais tout le temps à elle, que la seule envie que j'avais tout le temps c'était de la voir. Laisse-moi au moins te parler, Tessa Elle me réponda pas et se contenta d'essuyer ses larmes.
Ouais, ouais au début je t'ai prise pour une proie parmi tant d'autre, que tes premières paroles m'ont fait savoir que tu étais une fille difficile. Ouais à cette époque là j'étais le premier des salauds. Mais j'ai changé, tu m'as changé Tessa. Je t'aurai jamais fait la surprise pour ton anniversaire de t'offrir un saut en parachute, ce don tu as toujours rêvé. Je serai jamais resté sur le seuil de ta porte, un temps de pluie, pour pouvoir te parler après notre première embrouille qui m'a beaucoup chagriner. Je posa ma main sur sa joue en la caressant du pouce. Elle leva sa tête, ses yeux imbibés de larme de s'essuya grâce à mon pouce. Tu m'as changé Tessa, t'es devenue la seule à mes yeux, je t'aime. Et plus que de l'amitié J'ai pas attendu sa réponse, même si elle a commencé à me la dire, je l'avais coupé en l'embrassant. C'était comme un vrai film américain: il pleuvait, on était mouillé, mais on s'en foutait. On s'embrassa pendant un long moment.
4 ans plus tards
Voilà, toujours ensemble, pour le meilleur & pour le pire. On c'est jamais s'éparé depuis notre premier baiser. Enfin si, mais à la minute qui suivait on s'embrassa langoureusement. On avait notre appart, bien tranquille. Il manquait plus qu'un gosse pour la famille parfaite. Mais, quelques choses la chagrinait de plus en plus. Ce qui me chagrina moi aussi, imagine c'est de ma faute encore? Putain mais Tessa qu'Est-ce qu'il y a depuis pas mal de temps là ? On était ensemble sur le canapé, et bizarrement elle ne souri pas. C'est comme ça que je sais qu'elle n'est pas bien. Mais rien, c'est bon soule moi pas ! En se rongeant les ongles, énervée devant la télé. Tu sais quoi ? Je peux être patient mais y'a des limites et oui, je me suis vexé et je me suis braqué. C'est bon faut pas de prendre pour un con. C'est bon. T'sais quoi ? Ca fait trois mois que j'essaye de savoir ce que t'a et tu me dis rien ? Allez salut Je me leva, énervé, les poings serrés et je m'élança dans la chambre en sortant une valise. Quand je suis énervé, sachez que je suis capable de tout. Thomas ? Tu fais quoi ? Elle avait peur, elle me suivait en attendant ma réponse, elle allait même pleurer, elle me tapota le dos, en tremblant en attendant la réponse. Arrête putain ! Tu vois pas ? Je me casse, car si tu me le dis pas, ça veut tout dire Tenant son poignet pour qu'elle arrête de me toucher, je la regarda énervé. Elle respira fort. Limite les yeux aux larmes, ayant peur que je me casse d'ici. C'est à dire ? Me réponda-elle, la voix tremblante. Je lâcha son bras. Je sais très bien que c'est de ma faute Je sauta dans mes bras, en pleurant. Je pense que ses nerfs avaient craqués ce jour-là. Mais non, mon amour. Pas du tout, je veux pas que tu partes, j'ai tellement peur. C'est juste que.. Ma famille, White Oak Station me manque, beaucoup, mais vraiment Je la comprend maintenant. Son père, sa mère et elle était vraiment très proche et étaient vraiment fusionnelle. Mais Tessa, tu sais très bien que je l'aurai pas pris mal ça, si tu veux allez là-bas mais on y va. Y'a pas de soucis. Je te suivrai jusqu'au bout du monde
1 an plus tard
Monsieur Klein ? J'étais avec des potes, on était dans un bar, à White Oak Station. Oui parce que nous avons déménagé dans le pays natal de Tessa. Je flippais, un numéro très connu et généralement pas pour de bonnes nouvelles, mes potes avaient vu qui m'avait appelé, il me disait tous d'aller dehors. J'y suis allé. Oui ? La voix stressante. C'est l'hôpital de White Oak Station, votre femme est en mauvais état. Je raccrocha et sprinta dans la rue. Je m'arrêta dans une route et fis arrêtée une voiture. A l'hôpital s'il vus plait Arrivé, je le paye, enfin je savais même pas si c'était un taxis enfaite. Mais il a tellement flippé qu'il m'y a emmené direct. Puis je m'en fou. On me donna sa chambre, je courra la voir, les yeux en larme, je pria discrètement pour pas qu'elle quitte ce monde trop vite. Le docteur sort de sa chambre. Monsieur Klein ? Je vais pas vous mentir. Elle est dans un comas profond. C'est pas sur qu'elle s'en sorte. Elle est arrivée dans ce comas car elle a eu un accident de voiture Je déboula dans sa chambre et ses parents étaient en larmes, me faisant un gros câlin. Je me posa vers le lit, prenant la main de Tessa, pendant que ses parents s'éclipsaient. Tessa.. Tessa part pas, j'ai besoins de toi, de ton amour, de ton aide, de ta protection, t'es ma vie Tessa. Tu le sais très bien. Part pas maintenant s'il te plait.. C'est trop tôt.. Mon amour que j'aime tant

On est le 5 avril et me voilà, devant son cercueil. Magnifique, comme elle. Ici, je sais qu'elle pourra bien s'y reposer. Il y a une semaine, lundi soir même, à 23h35, je me réveilla, à côté d'elle, sur son lit, en stressant: la machine ne repéra plus les battements de son cœur. Ils ont prit beaucoup de temps, essayer de la réanimer. Mais en vain. Je m'en suis jamais remis. Je m'en remet toujours pas. Mais j'espère vraiment pouvoir tourner la page. Mais je préviens ma futur femme que j'irai tout les mercredis soir (le jour où on s'est mis ensemble) j'irai la voir un moment.

I did not know that a work could give me the luck to start a new life
Il était dix heure. Je suis arrivé en retard au travail. Remarque c'est pas bien grave, vu que je travaille tout seul, je n'en veux qu'à moi même. D'ailleurs j'en ai un peu marre d'en vouloir qu'à moi même. J'ai envie de compagnie, puis pour le travail qui devient de plus en plus accentué. C'est vrai, depuis quelques temps, mon travail et ma réputation à fait effet à Oak. Je m'installe sur le bureau, je pose mes affaire et j'allume l'ordinateur pour terminer quelques retouches sur l'un des photos d'une cliente qu'elle a adoré. Le problème c'est que ces petites retouches sont très longues et j'avance pas bien vite. J'ai l'impression de ramer. Entre: shooting, se rendre sur les lieux, utiliser son atout informatique pour retoucher des photos, les photos qu'on doit rendre aux clients à une date précise qui des fois, est une journée avec beaucoup de rendez-vous, de shoot enfin j'en passe. C'est décidé, dans une semaine je vais recruter une assistante, c'est devenue plus possible.
Une semaine plus tard
Ca fait une heure que les filles ou les hommes défilent et je vois aucuns ou aucunes faire des preuves dans mon atelier. Je me ronge les ongles de peur, je commence à croire que je ne trouverai pas un ou une assistante et j'en ai pourtant bien même beaucoup besoin. Quelqu'un toqua à la porte. Je savais pas que j'allais retrouvé le sourire quand cette fille ouvra la porte. Elle était naturelle, rayonnante, respirant la joie de vivre. C'est un bon début. Je lui proposa de s'assoir et on parla pendant bien une bonne heure. Enfaite, on a plus rigoler que parler de parler de son expérience. Mh, je sais c'est pas bien pro pour un photographe qui était bien déterminé à trouver une assistante. Mais résultat du but: je l'ai bien trouvé et j'ai directement dit aux autres qui attendaient de repartir chez eux car je l'ai bien trouvé, cette fille.
Et maintenant ? Elle occupe le deuxième bureau qui m'attendait qu'elle, elle occupe une grande partie de mon atelier, occupe une grande partie la cause de mon nouveau sourire. Je peux pas m'empêcher de la voir même les dimanches, je trouve toujours un bon prétexte pour la retrouver et j'essaye de la garder un maximum dans ma vue.. Même si elle est en couple. Mais je m'en tape enfaite.

Bienvenue parmi nous Une nouvelle fois, merci de tenter mon scénario
J'aime ce début de présentation. J'ai hâte de lire la suite, et puis si jamais tu as d'autres questions en tête, n'hésite pas à venir me les poser

avalance de smileys:

Nina Plae a écrit:

voilà, je le savais !
je ne te le fais pas dire  parce que, gosling aussi, quand même

Aimée Nolin a écrit:

bienvenue parmi nous !  
bonne chance pour la suiiiite !

Charlotte Salinger a écrit:

t'es beau toi.  
bienvenue parmi nous  

Louys Keegan a écrit:

Bienvenue

Magdalena Everdeen a écrit:

Bienvenue parmi nous Une nouvelle fois, merci de tenter mon scénario
J'aime beaucoup ce début de présentation. J'ai hâte de lire la suite, et puis si jamais tu as d'autres questions en tête, n'hésite pas à venir me les poser

avalance de smileys: