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| | when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn | |
| Auteur | Message |
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| (#) Sujet: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Sam 21 Mar - 21:13 | |
| Finn Marlow when I leave you will finally understand, why storms are named after people PRÉNOM(S) ET NOM: Finley Bentley-Marlow (on va laisser le deuxième prénom de côté parce qu’il est encore plus ridicule que le reste.) SURNOMS: Finn, ou Marlow. ÂGE: 21 ans. NATIONALITÉ: Canadien, bien que sa mère soit britannique. ORIENTATION SEXUELLE: Homosexuel, mais ne l’a pas encore découvert. STATUT CIVIL: célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: techniques du cinéma et de dramaturgie. SITUATION FINANCIÈRE: confortable, car il est issu d’une famille très aisée, au patrimoine de laquelle vient encore s’ajouter l’assurance-vie de sa mère, qui a été versée à son nom et pas à celui de son père. AVATAR: harry styles. CRÉDIT: anaëlle. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? On ne le croirait jamais, mais quand Finn était gamin, il était rondouillard ; certes, la puberté et le trouble alimentaire qui a suivi l’annonce de la maladie de sa mère, puis sa mort, ont eu raison de son embonpoint (même s’il a toujours tendance à attraper des poignées d’amour quand il se gâte un peu trop à table), mais au lycée, il était encore dodu et cela lui a longtemps valu les moqueries de ses camarades les plus populaires. Malgré tout, il avait un petit groupe d’amis – pour la plupart des inadaptés sociaux comme lui – et dans l’ensemble, il s’en est bien sorti. Il n’a jamais été parmi les premiers de la classe, mais ses résultats étaient honorables.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Finn va mieux. Il n’est pas encore au maximum de ses capacités, et sa joie de vivre reste fragile, mais il se sent mieux, apprécie davantage la vie et ses petites merveilles insignifiantes. Est-il heureux ? Ce serait peut-être exagéré de dire que oui. Pour être plus juste, disons plutôt qu’au moins, il n’est pas malheureux, et qu’il arrive à s’enthousiasmer pour les petites choses.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? En voilà, une bonne question. Finn a toujours essayé de ne pas penser à l’avenir, notamment parce que ça ne servait à rien, vu que son père a déjà pour lui une route toute tracée. S’il avait son mot à dire, cependant, il aimerait être acteur – comédien, plutôt, au théâtre – ou caméraman, ou bien responsable des décors ou de l’éclairage pour une compagnie de représentation quelconque. Dans le pire des cas, il ne détesterait pas être prof d’arts plastiques non plus. Pour la répartition des groupes Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff. Pour indiquez votre réponse, il suffit d'ajouter checked juste après name="question" correspondant à votre réponse (n'hésitez pas à nous faire signe si vous avez de la difficulté). Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener: |
Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir : |
hors-jeu PRÉNOM ET/OU PSEUDO: ArmedVenus. ÂGE: 22. PAYS: Allemagne. PRÉSENCE: 4/7. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? PRD. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? scénario de Nahuel. AUTRE CHOSE À AJOUTER? écrire ici. |
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| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Sam 21 Mar - 21:14 | |
| Do not fall in love with people like me. I will take you to museums, and parks, and monuments, and kiss you in every beautiful place, so that you can never go back to them without tasting me like blood in your mouth. I will destroy you in the most beautiful way possible. And when I leave you will finally understand, why storms are named after people. Ce doit être un sentiment étrange d’avoir l’impression de se faire de l’argent sur le dos de la planète. Cela n’a pas l’air de chagriner Mark Marlow, cependant, exécutif haut-placé et actionnaire au sein d’une des compagnies de pétrole et de gaz naturel les plus importantes du pays. L’Alberta, après tout, est après l’Arabie Saoudite la plus grande réserve naturelle de pétrole au monde et nombreux sont les hommes qui ont fait leur fortune grâce à l’extraction et au raffinement des ressources naturelles exceptionnelles de la région. Les Marlow ne sont pas en reste, bien que Mark et Amelia aient choisi de s’établir dans un havre de verdure, loin des bulldozers et des puits, à White Oak Station. La petite ville est pleine de charme, l’endroit idéal pour élever leur petit garçon, Finley. Finn a douze ans quand on détecte le cancer de sa mère ; il ne l’apprendra pas, cependant, avant quatre ans. Quand son père lui apprend qu’il commencera l’école en septembre à Harrow School, l’un des plus prestigieux pensionnats pour garçons du Royaume-Uni, alma mater, entre autres, de Winston Churchill ou de Lord Byron, Finn ne comprend pas. La vérité, c’est que sa mère ne veut pas confronter son enfant à cela, à la chimiothérapie, aux crises, aux vertiges. Amelia est forte, pleine d’espoir, une battante qui ne doute pas une seule seconde de pouvoir vaincre le cancer, à seulement trente-huit ans. Elle ne veut pas imposer la maladie à son fils, trop jeune encore, trop innocent, avec ses joues rondes, ses boucles brunes, ses lèvres rouges, pour découvrir l’abominable vérité sur sa maladie. Elle veut qu’il profite de son enfance, et comme elle le dit à Mark, une fêlure dans la voix : « Ce n’est pas la peine de l’inquiéter pour si peu, ce sera vite parti. »
Finn déteste l’Angleterre, les premiers mois, et ce n’est pas simplement parce que le temps maussade se répercute sur son humeur ou parce qu’on l’oblige à porter ce stupide canotier dès qu’il met le nez dehors. Ils sont nombreux à singer son accent, à le tourmenter chaque fois qu’il pleure dans son dortoir parce que sa famille lui manque. L’école est un monument du patrimoine, plusieurs bâtiments de brique rouge éparpillés dans un écrin de parcs, chacun d’entre eux parcouru de courants d’air, et si Finn n’avait pas ses livres de Harry Potter pour lui tenir compagnie et le convaincre que les écoles anglaises en vieille pierre ne sont sans doute pas si mal, toute chose considérée, il serait probablement très malheureux. Mais la rencontre avec Alistair, Bellamy, Angus et Delaney, alors qu’ils sont en cours de littérature, rend les choses plus supportables. Eux non plus n’ont rien des étudiants les plus populaires de l’école – à part Angus, peut-être – mais à leur contact, Finn s’extériorise. Harrow offre à ses élèves la possibilité d’intégrer un club d’arts dramatiques, et le théâtre est définitivement quelque chose qui plaît à Finn. Il aime le challenge qu’est apprendre un texte, s’approprier un personnage, il aime même le stress et l’adrénaline qui montent dans son estomac jusqu’à sa poitrine quand il s’apprête à déclamer sa tirade, il aime, enfin, le sentiment de soulagement semblable à une vague qui le submerge quand il retourne derrière le rideau avec l’impression d’avoir réussi. C’est plus que la scène qu’il aime, cependant. Il aime aussi les coulisses, travailler sur les éclairages et le son, donner des conseils à ses camarades – surtout à Angus qui, s’il est très bon en cricket, n’apprécie pas le théâtre au même titre que ses autres amis et qui a besoin de davantage d’instructions et d’encouragements pour vraiment se sentir à sa place sur ses planches. Il aime bien peindre les décors, aussi, s’amuser à créer un arbre en papier-mâché. Il adore le papier-mâché, même si beaucoup de ses camarades froncent le nez en le voyant mettre les mains dans la colle et manipuler du papier journal gluant.
Finn n’est pas idiot. Lorsqu’il découvre la maladie de sa mère, impossible à cacher alors qu’il atteint l’âge de quinze ans, à cause de sa peau translucide comme du papier-calque prêt à craquer, de ses cheveux fins qui tombent par poignées, de son visage tiré et un peu cireux, de ses cernes sous des yeux verts qui ressemblent un peu aux siens, il tempête, crise, hurle, pleure pour ne pas retourner en Angleterre. Rien n’y fait, cependant, pour convaincre Mark de le laisser rester au Canada, de tout simplement l’inscrire au lycée du coin plutôt que de l’envoyer à des milliers de kilomètres dans une école qu’il paie plus de 45 000$ par an. A Londres, Finn se renferme, mange moins, dort mal. Ses notes ne baissent pas, et il continue à aller au théâtre, mais les textes qu’il choisit d’interpréter sont toujours issus de tragédies classiques ou de pièces nihilistes et en cours, il se fait discret, se contentant de prendre des notes en silence, la tête baissée, ne prend plus la parole pour donner une réponse ou poser une question.
C’est la rencontre avec Quinnie qui l’empêche de sombrer. Les écoles les plus huppées de Londres ont toutes un programme philanthropique, que ce soit du volontariat, une fondation ou une association caritative quelconque. Harrow n’est pas en reste. Après avoir appris la maladie de sa mère, Finley participe au programme, et assiste toutes les semaines la Patient’s Association Charity au Northwick Park Hospital. Quinn est lycéenne à la North London Collegiate School pour filles, une institution prestigieuse de la capitale, et Finn pense qu’elle aussi est là pour l’association quand il la croise pour la première fois dans les locaux de l’hôpital. En réalité, elle est ici pour son grand-père, qui est en soins palliatifs. Quinn, cependant – ou Quinnie, comme Finn l’appellera plus tard – ne se laisse pas abattre. Elle a cette force qui lui permet de relativiser, elle explique à Finn que son grand-père est heureux, qu’il a eu une belle vie et qu’elle préfère qu’il parte plus tôt plutôt que de lutter contre la maladie ou de subir l’acharnement thérapeutique cher à certains médecins. Alzheimer. Finn n’aurait jamais cru que la maladie serait aussi cruelle. Mais plus que la mémoire, comme il l’avait toujours cru, la maladie touche toutes les fonctions cognitives, le langage, mais aussi la mobilité. Son grand-père, explique Quinnie, est complètement dépendant du personnel hospitalier, ne peut plus communiquer, ni même se nourrir seul. Être bénévole pour une association hospitalière n’est pas facile. Certains jours, Finn s’occupe d’enfants venus rendre visite à leur grand frère opéré de l’appendicite ou de parents qui ont passé la nuit à l’hôpital après que l’accident de voiture – heureusement mineur – de leur fille. Ces jours-là sont faciles, et Finn les chérit. D’autres jours, un patient apprend qu’il est atteint de leucémie, un adolescent décède d’un coma éthylique.
Quinnie et Finn continuent de se voir même après la mort de son grand-père. Quinn, pour une raison mystérieuse, aime l’hôpital. Elle a l’intention de devenir médecin plus tard, de trouver un remède au SIDA, au cancer. Finley lui parle de sa mère, et Quinn écoute en silence, lui tendant un muffin acheté au Costa Coffee. Avec sa chemise bleue claire, sa jupe sous le genou et son pull d’un brun rougeâtre, elle est très jolie, songe Finley. C’est Angus qui lui a fait la réflexion un jour. Finn n’y a jamais vraiment songé. Elle a de beaux yeux, c’est vrai, des sourcils sombres bien dessinés qui font ressortir la couleur vert d’eau de ses iris, elle est fine comme un roseau avec un visage en forme de cœur, pâle et tacheté de taches de rousseur qui contrastent avec ses cheveux bruns. Mais il n’a jamais vraiment pensé à elle de cette manière, peu importe combien de fois Alistair le siffle quand il reçoit un SMS de la jeune fille ou quand il ouvre une notification Instagram. C’est sa ferveur, cependant, qui le convainc d’accorder une chance aux études de médecine. Mark a toujours eu de grandes idées de carrière pour lui, le voyant déjà associé dans un grand cabinet d’avocats ou chirurgien reconnu pour une clinique privée. Sa mère a un grand sourire aux lèvres quand il leur annonce qu’il a été reçu à Oxford, et rien que pour cela, cela vaut la peine, aux yeux de Finley, d’avoir postulé. Il leur explique qu’il a postulé à d’autres grandes écoles, plus proches, mais Amelia est fière, encourage son fils à continuer dans cette voie, son pays natal. Lui et Quinn vivent ensemble, une colocation joyeuse dans un joli duplex du centre-ville d’Oxford. C’est Quinn qui a acheté l’appartement et qui l’héberge contre un loyer – la famille Huntington est à la tête d’une compagnie d’immobilier et ses parents préfèreraient se faire hara-kiri plutôt que de louer un appartement à leur fille quand l’investissement est beaucoup plus facile. La médecine ne fascine pas Finn, évidemment, ce n’est pas sa voie, mais Quinnie est l’une des meilleures étudiantes de leur promotion et c’est grâce à elle qu’il se retrouve.
L’état de sa mère s’aggrave brusquement en février. Elle a eu plusieurs mois de répit, une rémission qui donnait espoir aux médecins mais une nouvelle tumeur maligne a commencé à se développer, proche du cerveau cette fois, inopérable. Le cancer est entré dans sa phase terminale. Amelia souhaite l’euthanasie, légale dans l’Etat de Washington où elle est actuellement hospitalisée et où elle s’est fait admettre avec l’objectif de mourir dignement.
Finley est dans le premier avion pour le Canada quand son père lui apprend la nouvelle. Amelia, émaciée, affaiblie par la chimiothérapie, meurt par suicide médicalement assisté un mois et demi plus tard, non sans avoir dit à son fils, assis à côté d’elle : « It’s all going to be okay. »
Finn n’embrasse Quinn qu’une seule fois, de retour au Royaume-Uni, le soir où il lui annonce qu’il déménage. Il lui explique qu’il repart, qu’il ne peut plus rester en Angleterre. La mort de sa mère l’a frappé comme une massue, lui a fait réaliser que la vie est trop courte pour privilégier un parcours académique à sa famille, pour passer son temps à se plier aux exigences d’un père distant et exigeant ; il est temps pour lui de faire ce qu’il veut vraiment faire, de suivre ses propres aspirations, et de retourner au Canada, pour épauler la seule famille qui lui reste, peu importe à quel point Mark tente de se montrer stoïque dans le deuil. L’étreinte qu’elle lui donne est à lui couper le souffle et le baiser en est la suite logique. Elle est superbe, forte, une brindille entre ses bras, d’une beauté à tomber à la renverse, et pourtant, bizarrement, il n’éprouve rien, un brin de confusion, peut-être un peu de panique. Il se détache d’elle pour plutôt la serrer contre son torse. Si elle est surprise, ou blessée, elle n’en dit rien. C’est sur la joue qu’elle l’embrasse la semaine suivante, à l’aéroport d’Heathrow, avec la promesse de venir le voir un jour ou de l’inviter à passer l’été au Royaume-Uni quand il sera prêt. Il atterrit à l’aéroport international de Vancouver dix heures de vol plus tard.
C’est pour son père que Finn est revenu, son père, très affecté par le décès de son épouse. Son père, furieux contre Finn d’avoir abandonné Oxford, qui lui oppose à chaque protestation qu’il va très bien, qu’il n’a pas besoin d’un gamin pour veiller sur lui. Bien qu’ils vivent dans la même maison, leur relation devient froide, et cela plus encore quand Finn annonce à son père qu’il commencera à étudier en Dramaturgie et en Sciences du Cinéma à la rentrée prochaine. Cela n’empêche pas Finn de comprendre, de lui laisser son espace, du temps pour se remettre, pour l’accueillir à nouveau dans sa vie. Finn comprend.
Ne plus avoir Quinnie dans les pattes est étrange, bien qu’elle prenne souvent l’initiative de l’appeler. C’est à elle qu’il envoie les dessins qu’il envisage de se faire tatouer. Elle comprend pourquoi il veut se faire encrer sur la peau « It’s all going to be okay », une simple phrase qui s’étire au-dessous de sa clavicule, sur son muscle pectoral, à quelques centimètres du cœur. Elle est moins enthousiaste par rapport au tatouage qu’il veut se faire faire sur le biceps, les armoiries royales britanniques mais c’est elle qui poste sur Instagram une contre-proposition, un lit de roses surmonté de la Couronne de Saint-Edouard. Finalement, il se fait faire les deux, en plus de la petite phrase. Elle admet que le résultat est moins pire que ce à quoi elle s’attendait – ce n’est pas l’avis de Mark, qui le traite de « délinquant en devenir. » Finn hausse les épaules et garde deux boutons de sa chemise Chanel ouverte pour que la calligraphie dépasse du col.
La première année à White Oak University lui confirme que c’est bien ici qu’il a sa place, et il chérit toujours la perspective d’une réconciliation avec son père. En regardant son reflet dans le miroir, les empattements noirs sur sa peau pâle, ses yeux si semblables à ceux de sa mère, des cheveux qui ont largement poussé mais qu’il ne veut plus voir trop courts, l’image du crâne de sa mère encore trop fraîche dans sa mémoire, Finn se sent en paix.
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› inscription : 31/01/2015 › autres comptes : n. jamie reid & prince k. benjamin › statut civil : Célibataire. › quartier : downtown area
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› inscription : 16/03/2013 › pseudo : charney (rose) › avatar : melissa benoist. › crédit : charney (ava).
› statut civil : célibataire. › quartier : dans un petit appartement, sur downtown area. › occupation : étudiante en droit, spécialisation en crime familiaux. barmaid au old pub.
| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Sam 21 Mar - 21:26 | |
| bienvenue parmi nous ! j'espère que malgré le départ de Nahuel, tu resteras parmi nous ! |
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| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Sam 21 Mar - 21:30 | |
| Oui, j'avais déjà fini ma fiche et étais en train de tout envoyer quand j'ai vu que Nahuel avait pris la difficile décision de quitter le forum... Je me suis dit que je lui devais au moins de poster ma fiche pour qu'il puisse la lire, vu qu'après tout, c'est son scénario, mais malheureusement, sans lui, je ne pense pas que ça ait beaucoup de sans pour moi de rester sur le forum, vu que je m'étais vraiment inscrite pour le lien |
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kill em with kindness
› inscription : 21/08/2013 › pseudo : shiver./sarah. › crédit : spleen ocean/tumblr.
› statut civil : célibataire. › occupation : serveuse au madison grill & mannequin à ses heures perdues.
| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Sam 21 Mar - 22:12 | |
| bienvenue parmi nous c'est vrai qu'avec le départ de Nahuel, qui était ton lien principal ça peut démoraliser un peu, toutefois, on peut très bien t'aider à trouver des liens , après tout, tu as fais ce personnage à ta sauce et tu peux très bien faire un scénario avec un lien tout aussi intéressant, je crois en toi (bon j'avoue, dire ça c'est un peu bizarre ) en tout cas, je vais vite lire ta fiche et j'espère que malgré tout, tu resteras parmi nous |
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BRAISE MOI
› inscription : 11/08/2014 › pseudo : BIG JET PLANE (lyds) › avatar : holland roden. › autres comptes : babygunalma › crédit : @sweet nothing
› statut civil : saturn boy in the sky. › occupation : law student, stupid lovers in the night.
| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Sam 21 Mar - 22:31 | |
| bienvenue |
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lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
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| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Mar 24 Mar - 14:30 | |
| Après réflexion, je souhaite pas garder vraiment ce personnage, ce serait un peu compliqué sans Nahuel, j'aurais l'impression qu'il y a toujours un cadavre qui flotte au-dessus de la tête de Finn, façon de parler Pour ce qui est du forum, par contre, j'avoue que j'aimerais bien rester Je garderais l'avatar et le pseudo, mais j'ai déjà une histoire en tête (et déjà complètement rédigée pour être parfaitement honnête), j'hésite cependant un petit peu pour la marche à suivre. Je compte garder un personnage homosexuel (à voir ce que ça donne pour les liens un peu intimes, du coup, je sais que ça ne court pas les rues et ça pourrait, à terme, bloquer le personnage) ou peut-être bisexuel/pansexuel, et pourquoi pas créer un scénario homme. Je reposterai une présentation à part pour que vous puissiez me dire ce que vous en pensez |
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kill em with kindness
› inscription : 21/08/2013 › pseudo : shiver./sarah. › crédit : spleen ocean/tumblr.
› statut civil : célibataire. › occupation : serveuse au madison grill & mannequin à ses heures perdues.
| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn Mar 24 Mar - 18:01 | |
| C'est cool que tu décides de rester et c'est tout à fait compréhensible que tu ne veuille pas garder le personnage tel quel. Effectivement, sachant que Harry redevient libre, il est tout à toi, de plus je suis fan de ton pseudo donc je suis contente que tu le gardes , tu peux très bien faire un personnage comme bon te semble, et puis ici on est pas là pour juger, d'ailleurs, plusieurs personnages sont bi ou homo, donc ce n'est pas très problématique , du coup, j'ai vu ce message après avoir poster dans ta nouvelle fiche donc j'ai ma réponse à ma question Pour le coup, j'archive cette fiche |
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| (#) Sujet: Re: when i leave you will finally understand why storms are named after people (+) finn | |
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