~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE?
Au lycée, c’était assez banale. J’avais de bon résultat scolaire. Je n’étais ni populaire, ni la rusée. J’étais juste une simple fille normale, qui avec sa bande de copine, qui avait la chance de n’être ni catalogué de bizarre ou autre. Puis, j’ai aussi eu ma première histoire d’amour, il était un sportif, quelqu’un de vraiment génial. On est resté pendant trois ans ensembles, mais les chemins se séparent à la fin, on a juste gardé contact, pendant de long mois avant de s’ignorer. Dans l’ensemble, mes années lycées étaient vraiment bien, j’en garde quand même un bon souvenir. Et ça me manque par moment.

   ~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT?
Pour tout avouer, je suis heureuse. J’ai une situation professionnelle stable, être infirmière, c’est garanti à vie, à moins que je fasse une faute grave. Je m’entends mieux avec ma mère, malgré qu’avec mon père s’est tendue depuis qu’il a trompé cette dernière avec sa secrétaire, mais cela commence lentement à s’arranger. Je ne lui pardonnerais jamais, mais il est l’homme de ma vie, donc il restera toujours dans mon cœur. Puis, je suis toujours autant proche de mes amis, du moins ceux qui ne m’ont pas laissé tomber. Tant que j’ai Leyla, ma meilleure amie, rien n’est plus importante que son amitié. En rien, j’aimerais la gâcher, puis bien évidemment, certaines personnes me manquent, mais je fais avec.

   ~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS?
Dans dix ans, je me vois certainement en couple que ce soit avec une fille ou un garçon, je n’en ai aucune idée. Peut-être bien enceinte ou avec deux enfants. Toujours en train d’exercé le métier d’infirmière. Puis enfin, être épanouie dans ma vie de femme, dans ma vie tout simplement. Etre heureuse, pouvoir m’assumer pleinement. Et surtout connaitre peut-être d’autre horizon, j’en ai vraiment aucune idée. Je suis attaché à cette ville, donc je ne pense pas la quitter, mais qui sait ce qu’il se passera, on ne peut jamais prévoir.

PRÉNOM ET/OU PSEUDO: save heart (ophélie) ÂGE: bientôt vingt ans. LOCALISATION: france PRÉSENCE: le plus souvent possible, mais je me connecterais tous les jours, à par exception. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? bazzart + ma petite juju AUTRE CHOSE À AJOUTER?

Elle me manque tellement, c’est atroce. Ce n’est pas par vague, c’est tout le temps, sans répit. Perdre à être cher peut complètement te changer. C’est vrai que tu n’aurais jamais cru possible de la perdre le jour de ton anniversaire. Ce jour-là, il faisait gris, il pleuvait à White Oak Station. Et t’es parents avait décidé d’annuler la journée au parc avec tous tes amis pour le faire à la maison. T’étais toute excitée d’avoir dix ans. Tu passais aux deux chiffres et pour une petite fille de ton âge, c’était tellement méga super bien. Tu faisais à présent partie des grandes. Vous vous s’amusiez comme des petits fous. Ta mère t’avait demandé de surveiller ta petite sœur de cinq ans pendant quelque instant sauf qu’à ce moment-là, un de tes copains venait de casser un vase. Allant vers lui, pour l’engueuler. Tu n’avais même pas fais attention à ta petite sœur qui était sortie de la maison et qui se dirigeait vers la route pour attraper son ballon rose. Et tout à coup, t’entendis un grincement de pneu, avant d’entendre un gros boom. Tu sorties en courant, voyant ta petite sœur par terre avec une mare de sang. Des perles salées commençaient à couler le long de tes joues. L’ambulance était arrivée quelque minute après, mais c’était déjà trop tard. On l’avait perdu. Tu t’en étais tellement voulu que tu ne voulais même plus sortir de chez moi. T’avais tué ta petite sœur. Tu n’avais pas tenu m’a promesse de la surveiller. Tout était de ta faute. Même si tes parents disaient le contraire. T’étais un monstre, Tu te détestais tellement.

Les années passèrent, tu t’étais renfermé sur toi-même, n’arrivant pas à accorder ta confiance rapidement. C’était tellement venu une habitude de rester toute seule au collège. Tu n’arrivais pas à aller mieux. Jusqu’à que tu fasses la rencontres de Leyla. En sortant de cours, tu l’avais bousculé. Maladroite comme tu étais, pour te faire pardonner. Tu lui offris un chocolat. Elle l’accepta, puis vous aviez commencé à parler, comme-ci que vous vous connaissiez depuis toujours. Une belle amitié qui venait de naître. T’avait redonné confiance en toi. Tu t’ouvrais de plus en plus aux autres. Malgré que chez toi, tout n’allait pas aussi bien que tu l’espérais. Tes parents se déchiraient un peu plus chaque jour. Jusqu’au jour que ta mère à retrouver ton père avec sa secrétaire dans son lit. C’était la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Elle a demandé le divorce suite à cela. Malheureusement, vous vous n’entendiez pas superbement bien. Elle rejetait toute la faute sur toi. Puis, tu détestais ton père, de t’avoir laissé seule.

Cependant tout changea au lycée. Ta mère commençait à prendre confiance qu’elle te faisait souffrir en agissant de la sorte. Elle décida d’aller consulter un psychologue. Alors que toi, t’essayait au maximum de bien bosser, pour qu’elle soit fière de toi. Toutefois, tes années lycées étaient vraiment fantastique. Tu avais ton groupe d’amis. Ta meilleure amie représentait énormément pour toi, c’était la personne la plus importante, même jusqu’à ce jour. Puis, tu eu ta première histoire d’amour. Il était sportif, une personne assez populaire, mais il était tombé sous ton charme. Vous êtes resté trois ans ensembles. Une histoire d’amour qui a tout pour durer. Sauf que la fin du lycée s’annonçait, vous devez faire des choix. Tu as voulu devenir infirmière. Lui, voulait aller dans une fac, beaucoup plus réputé. Vous commencez à vous éloigner. Puis à la remise des prix, vous aviez décidé de mettre à terme à votre histoire. La première fois de ta vie, que tu te sentais complètement dépassé par les événements. Tu eus ta première blessure au cœur, ton premier chagrin d’amour. Mais tu avais ta meilleure amie, qui t’a soutenue, sans elle, tu n’étais vraiment rien. Fallait l’avouer, tu l’as remercierais jamais assez d’avoir été là pour toi. Et vice versa, bien évidemment.

Maintenant, tu es infirmière. Tu as un métier stable, une situation correcte. Malgré tout, il te manquait quelque chose, l’amour. Tu ne mentirais pas en disant, que tu aimerais ressentir de nouveau cela. Tu as eu des histoires, tu t’es mêmes découverte une attirance pour les filles. Chose qui était inconcevable au début, mais plus les années passèrent, plus tu te rendais compte, que c’était évident. Tu eus même ta première histoire d’amour avec une fille. Tu crois bien, qu’elle a été la seule, qui a pu te faire ressentir tant de sentiment, en espace de quelque mois. Tu étais heureuse. Vivante avec elle. Mais tu jour au lendemain, elle t’a quitté sans explication. C’était dur, mais tu as fait avec. Tu n’allais pas t’effondrer une seconde fois, pour une personne qui n’en valait pas la peine. Tu avais muris, compris que la vie était ainsi. Sauf que tu ne t’attendais certainement pas à apprendre que Leyla soit enceinte. Cela t’avais fait un choc, tu ne savais même pas quoi lui dire. Elle s’était effondrée et tu avais du mal à consoler les gens. Tu ne trouvais jamais les mots pour ce genre de situation. Mais ce que tu ne t’attendais certainement pas, c’est qu’elle t’embrasse. Tu étais tellement surprise sur le moment, que tu n’avais pas réagi. Mais quelque semaine plus tard, tu lui avais demandé, pourquoi elle avait fait cela. Tu ne t’attendais certainement pas à ce qu’elle te dise, qu’elle en avait envie. Et tu penses qu’après, tu ne t’es pas contrôler, tu l’as embrassé. Elle a prolongé le baiser, tout en commençant à te déshabillait, tu faisais de même. Vous êtes vites retrouvé sur son lit, en tenue d’Eve. Tu n’as jamais regretté, elle aussi. A présent, vous étiez amante. Partageant de bon moment d’amitié, voire plus. Ce n’est pas de l’amour, juste une grande attirance, affection que tu avais pour elle. Tu ne sais pas ce que l’avenir te réserve, tu préfères vivre au jour le jour, sans jamais te soucier du lendemain.