Il y a de plus grandes priorités que notre secret ▬ Marilhea

› **inscription** : 17/01/2015

Marilhea & Tomas

Le monde est petit
Cela faisait maintenant des heures que Tomas se trouvait dans le bloc opératoire pour sauver la vie d’un homme qui s’est fait renverser par une voiture. Des heures qu’il travaillait coude à coude avec Marilhea sans que personne ne se doute de ce qu’il se passe véritablement entre les deux chirurgiens. Depuis quelques temps, les deux parents ont commencé à se côtoyer de nouveau mais pour le moment, seuls les deux concernés sont au courant. Ils veulent prendre leur temps et ne veulent pas forcément que leurs collègues ne s’occupent de leurs histoires de famille. La preuve, ils ne savent même pas que Lowan n’est pas seulement l’enfant de leur collègue Marilhea mais il est aussi celui de Tomas qui est arrivé bien plus tard dans leur service. Tomas ne va pas se plaindre. Si cacher le fait qu’il est père est assez compliqué, le secret de sa relation avec Mari’ a quelque chose d’excitant. La preuve, alors qu’il venait de sauver la vie de la victime de la route et qu’ils étaient en train de se laver les mains, fiers de ce qu’ils viennent de faire, seuls Tomas ne put s’empêcher de lui dire ouvertement loin des oreilles un peu trop indiscrètes à leur gout. « T’étais vraiment trop sexy ! » Ca peut paraitre bizarre pour des oreilles de personnes qui ne font pas le même boulot qu’eux. Mais pour Tomas ce n’est pas le cas, il est tombé amoureux de la belle alors qu’ils tentaient de sauver la vie à quelqu’un à Haïti, les mains pleines de sang. En tout cas, alors qu’il se tut en voyant quelqu’un arriver, il se dirigea vers la porte et ne put s’empêcher de glisser à l’oreille de la brune « Je t’attends dans la salle de garde dans cinq minutes ! » Au moins le message est clair. Ce n’est pas bien prudent, ils le savent tous les deux mais encore une fois, cela a quelque chose d’excitant : le risque de se faire prendre par n’importe qui pendant un moment plus que compromettant. Ils font toutefois très attention. Ce n’est pas forcément évident de faire preuve de stratagème lorsqu’ils veulent se voir en privé, lorsqu’ils se font souvent stoppé en pleine action par le bruit de leur biper mais ce n’est pas cela qui va les stopper et les décourager. Surtout dans des moments comme cela où ils ont travaillé pendant des heures collés serrés sans pouvoir se comporter comme s’ils étaient plus que des simples collègues. Allant donc dans la chambre de garde, Tomas eu un sourire satisfait et coquin en entendant la porte s’ouvrir puis se fermer alors que rapidement ses lèvres furent rejointes par celle de la brune. « Enfin seul » Souffla-t-il alors qu’il ne perdit pas une seconde pour venir embrasser la peau de son coup, venant sentir la moindre odeur de sa chérie. Elle le rend complètement fou.

[…]

Peau contre peau, elle le rend encore plus fou alors qu’ils sont tous les deux en train d’atteindre le septième siècle. La température venait de monter d’un cran, il n’y avait pas de doute alors que le jeune Tomas sentait qu’ils allaient toucher les étoiles, seulement alors que leurs respirations étaient saccadées, ils furent coupé net par une voix et un bruit venant toquer à la porte : « Désolé de vous déranger Dr Costa pendant que vous vous reposez après votre intervention mais il est arrivé quelque chose à Lowan ! » Comment passer d’un stade à un autre sans être prévenu. Autant dire que le jeune père se faisait du souci. Qu’importe de se faire choper alors qu’ils étaient en train de faire autre chose qu’une sieste ou encore jouer aux échecs pour faire fonctionner leurs méninges, qu’importe qu’on apprenne que Lowan soit aussi son petit garçon, cela lui passait totalement au-dessus de la porte. « Mon dieu qu’est-ce que… » Ce furent les seuls mots qu’il fut apte de prononcer en regardant Marilhea qui semblait dans le même état que lui, attrapant rapidement leurs vêtements pour filer le plus vite possible. Qu’importe que ce soit leur bosse derrière la porte, qu’importe que leur secret ne fut pas caché longtemps. Il y a des priorités dans la vie et il n’y a pas de doute sur le fait que leur plus grande priorité c’est Lowan.

LUCKYRED

› **inscription** : 17/01/2015

Tomas & Marilhéa

Il y a de plus grandes priorités que notre secret
La tension était palpable dans ce bloc opératoire. J’aimais ce bruit qui faisait monter la tension de toutes les personnes présente dans l’assemblée. Oui, l’homme sous mes mains et celle de mon collègue, amant et père de mon fils était en train de perdre la vie. Un massage cardiaque et surtout son abdomen réparé de son hémorragie on était presque sûrs que ce patient allait pouvoir se réveiller, du moins s’il n’y avait pas de nouvelle complication lors de son passage en soin intensif. Ce n’était pas mon patient, mais celui de Tomas, mais il avait eu besoin de mon aide pour le sauver, seul personne n’aurait pu y arriver avec toutes les choses qui y avait eu à gérer dans son être. Je nettoyais mes mains, alors que j’offrais un sourire à ce beau gosse qui venait de me complimenter, enfin surtout de dire que j’étais sexy. Je mordais un peu ma lèvre juste pour apprécier le moment et les mots de ce dernier. Discrétion. Voilà ce qu’on devait faire de nos journées à l’hôpital durant nos gardes. On pouvait parfaitement faire nos travails tout en s’aimant… enfin je n’étais même pas sûre que c’était de l’amour. Dans mon esprit c’était encore bel et bien compliqué. J’appréciais sa compagnie ce qui était en soit une bonne chose et me précipité avec lui n’était clairement pas une bonne idée ! Il était censé être le plus important pour Lowan et non pour moi. Je ne voulais pas le faire fuir ou autre pour le coup. Enfin, je le regardais puis cessais de le faire presqu’aussitôt que j’entendais la porte s’ouvrir, j’offrais un sourire à l’un de nos collègues qui n’allaient sans doute plus tarder à aller opérer. Alors, que Tomas eut fini, j’écoutais ses mots qu’il venait de balancer dans mon oreille, un sourire aux lèvres, je lui offrais un clin d’œil pour lui dire que j’étais d’accord. Je savais que je pouvais me permettre de m’éclipser quelques minutes surtout si je donnais un peu plus de boulot à mes internes, chose que j’étais en train de faire actuellement après avoir quitté la salle de désinfection. Je savais que de toute façon on pouvait être déranger par nos bips ou encore pour autre chose. On était à l’abri de rien, mais justement c’était encore plus excitant pour autant dire. Une fois les choses dites j’avais rejoint Tomas. Nos lèvres avaient été happé les unes par les autres, mes mains allant chercher à caresser son cou, alors qu’il glissait le long du mien avec ses lèvres … la chaleur commençait à monter ce qui faisait monter ce désir que j’avais pour Tomas. « Chut … de l’action ! » Que je murmurais contre ses lèvres laissant les choses se faire. Mes mains glissaient de toute part sur son corps, il n’y avait pas de minute à perdre …on n’était pas à la maison et donc inutile de prendre ou de perdre du temps. J’enlevais son haut ainsi que le mien venant le faire reculer jusqu’à l’un des lits nous ouvrant parfaitement les bras.

[…]

Quelques minutes de plaisir, tout était allé super rapidement, ma respiration était de plus en plus saccadé alors que mon bassin ne cessait de s’approprier les mouvements de celui de Tomas, mes mains s’emploient avec tendresse pour sa peau la caresser alors que mes ongles s’ancraient de temps à autre dans cette dernière. L’excitation était présente, la buée aurait pu être au rendez-vous si l’endroit y était propice. Je glissais mes lèvres dans son cou venant imposer une petite trace, l’envie du moment. Personne ne serait l’expliquer. Je ne m’attendais juste pas à ce qu’on me stoppe juste avant de pouvoir avoir la jouissance de gémir pour atteindre le septième ciel. Je venais d’avoir mon sang qui avait fait un seul tour dans mes veines. J’avais juste entendu Lowan et pour moi cela voulait tout dire, alors j’avais juste eu le temps de m’habiller que Tomas avait parlé en me regardant. « Habille toi, on va le voir ! » Oui, on. Je m’en fichais totalement que les autres le savait. On en reparlera sans doute par la suite, mais pour le moment on avait amplement besoin de se dépêcher. Tous les deux habillés on arrivait à la salle d’examen où se tenait mon fils, la tête légèrement ensanglanté. « Que s’est-il passé ? » Que je demandais. « Un autre enfant la poussé quand il faisait du toboggan, il est tombé … » Je regardais l’infirmière. « Merci on va s’en occuper. » Disais-je pour que tout le monde parte sauf nous.
LUCKYRED

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Marilhea & Tomas

Le monde est petit
Tomas ne pensait pas agir comme cela en ayant une relation de nouveau avec Marilhea. Ce n’est pas la première fois qu’ils sortent ensembles alors qu’ils bossent mais avant c’était différent. Ils vivaient quasiment dans leurs métiers, là il y a une frontière entre l’hôpital et l’extérieur. Pourtant, il était là en salle de repos à l’attendre pour faire autre chose qu’une sieste. Il aurait très bien pu attendre qu’ils aient tous les deux terminés de travailler pour la journée, attendre de passer la soirée avec elle et attendre que Lowan dorme. Mais bon, l’envie qu’il a pour la demoiselle ne se contrôle pas. Il ne sait pas encore ce qu’ils sont exactement ce qu’ils sont l’un pour l’autre même si Tomas peut quand même dire qu’ils sont ensembles officiellement, enfin officiellement en étant les seuls à le savoir en tout cas. En tout cas il ne se cache jamais pour lui dire lorsque l’envie de ses courbes lui monte à l’esprit, à lui faire quelques propositions alléchantes ou encore à parler en code pour y faire allusion. La preuve que ça a fonctionné aujourd’hui étant donné qu’à peine la brune fut-elle arrivée à son tour qu’ils sont déjà là à s’embrasser de manière passionnée et les mains de Tomas sont déjà à la recherche du corps de la belle nus. « A vos ordres madame » Glissa-t-il alors que leurs lèvres se sont détachées pour qu’ils puissent retirer leurs hauts. Se retrouvant finalement sur le lit, il attira la demoiselle sur lui, ses mains sur ses fesses avant de commencer à retirer leurs vêtements. Pas de temps à perdre, ils doivent retourner bosser, pourtant son corps l’appelle. L’envie de ne faire qu’un avec elle à l’hôpital lui titille l’esprit alors qu’il sent une bosse déjà en train de se former dans son pantalon.

[…]

Le temps, les minutes, lui semblent s’être stoppés alors qu’ils sont vraiment en train de prendre leur pied. Tomas essaye de ne pas faire de bruit. C’est tellement cliché de le faire dans cet endroit, il ne faudrait pas qu’on les choppe si jamais quelqu’un entend des bruits en passant devant la porte. C’est parfois plus facile à dire qu’à faire alors qu’ils bougent leurs bassins à l’unisson. Tomas sent que le moment fatidique approche mais malgré cela, il ne l’atteindra jamais puisque quelqu’un vient les déranger. Il aurait pu râler – en silence puisqu’il ne veut pas non plus trahir leur relation secrète – mais là, être coupé par quelqu’un qui parle de son enfant qui se trouve aux urgences, forcément il y a bien plus important que son petit moment de plaisir écourté. Tomas n’a jamais été dans cette situation, c’est-à-dire en tant que père qui a son enfant qui a une urgence alors forcément, il ne sait pas comment agir. Ce qui est sûr c’est que là, il s’en fiche de se faire prendre puisque Lowan n’est pas supposé être son fils. Il veut être là pour ce dernier, il a sans doute besoin de son père. En tout cas sans dire un mot de plus, il attrapa rapidement ses vêtements pour les enfiler et sans vérifier être bien r’habiller, il sorti de la salle de garde sans faire attention d’être discret ou non. L’important ici c’est d’aller s’assurer que leur fils va bien. Une fois arrivés, il se pencha pour montrer sa présence à son fils, essayant de ne pas faire le papa paniqué mais le médecin qui sait que ça va bien se passer. « Ca va aller mon grand ! » Dit-il avec une voix qui se veut calme et surtout douce pour parler à Lowan alors qu’il commence à l’ausculter avec Marilhea. Finalement, le chef en chirurgie fit interruption pour lui demander discrètement. « Dr Miller, vos internes vous cherche, une intervention vous attend ! » Sans doute est-ce qu’il pense que Marilhea contrôle la situation et qu’elle n’a pas besoin de Tomas, forcément puisqu’il ne sait pas qu’il est quand même le père donc sa présence est ici, non ailleurs. « Je reste, ma place est ici, demandez au Dr Rowling de me remplacer je viendrais plus tard ! » Ce n’est pas son genre de refuser une intervention, surtout si c’est urgent mais là il est préoccupé parce ce qu’il se passe ici, auprès de Marilhea et de Lowan, sa famille. Si le boulot était sa priorité autrefois, c’est loin d’être le cas aujourd’hui. En tout cas le chef n’a pas l’air de bien comprendre alors qu’il ne quitte pas la pièce et que Tomas veut juste s’occuper de son enfant avec sa copine.

LUCKYRED

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Tomas & Marilhéa

Il y a de plus grandes priorités que notre secret
C’était plaisant de le retrouver, mais pour autant cela restait assez étrange pour ma part. J’appréciais de l’avoir à nouveau dans ma vie en sachant que tout était différent. On n’avait pas dit quoi que ce soit sur le fait qu’on soit ensemble ou non. Non, on gardait ça pour nous après tout, personne n’était au courant que Lowan était notre fils à nous deux et non pas que le mien. Notre histoire était assez complexe sans l’être. Notre travail, nos futurs nous avaient séparé et pour autant on se retrouvait à nouveau ce qui était assez sympathique. Je ne pouvais nier que mes sentiments que j’avais avant pour lui étaient de retour, mais je n’en disais rien, car je n’avais jamais cherché à les cacher ou à faire autre chose du style. Alors, il est vrai qu’au vu de cette nouvelle histoire entre nous l’appel du corps de l’autre était assez conséquent. Le voir parler avec une interne en jetant des regards intéressés vers moi par exemple me donnait complétement chaud, j’avais toujours envie d’aller le retrouver. Le plaisir des nouvelles histoires s’offraient à nous, alors que la nôtre n’était pas si récente que cela à vrai dire. Alors le rejoindre n’allait pas me déranger, surtout pas si c’était pour se retrouver, car il faut dire que même si Lowan était jeune, ce dernier prenais beaucoup de notre temps, puis Lowan et tomas avait une relation à construire père/fils, alors il leur faut du temps ensemble ! Enfin, je venais d’arriver et déjà je me retrouvais blottit contre lui, mes lèvres plaqués aux siennes, tentant tout bonnement de faire fuir les paroles inutiles. Ce n’était pas comme si nous avions énormément de temps ensemble. Non, on travaillait, même si tous les deux n’avions plus d’opération au tableau pendant quelques minutes autant dire que cela pouvait vite changer avec les urgences qui tombaient sans prévenir et qui pourraient donc gâcher ce moment qu’on avait pour nous. Mes mains caressent son corps, alors que mes lèvres glisse le long de son cou avec plaisir, et que je sens tout bonnement cette bosse au niveau du sexe de Tomas, je souriais venant croquer sa lèvre avec douceur. « J’ai tellement ... » je l’embrassais « Envie de toi …dès que je te vois ! » Parfois j’avais l’impression d’être une gamine amoureuse et qui faisait l’amour depuis récemment pour qui cela était plaisant ! Pourtant ce n’était pas le cas.

[…]

Il ne s’était pas passé une éternité, j’en étais sûre, pourtant j’avais l’impression que cela avait été tellement plaisant qu’on était enfermé dans cette chambre du personnel depuis des heures. Sauf qu’erreur de ma part cela ne devait faire qu’une trentaine de minute. Je pouvais croire aux talents de Tomas et en son endurance, mais là c’était du rapide et pourtant c’était tout aussi plaisant. Mes mains continuaient de parcourir son corps, alors que mon bassin suivait le sien, donnant parfois le rythme en accélérant les miens. Mes mains venaient trouver les siennes, je me sentais fébrile, mais c’était seulement l’approche de la vague de plaisir finale qui arrivée. Une vague qui me laissait les jambes frivoles, alors que mon regard venait de se glisser dans le sien, je ne m’attendais clairement pas à la suite. Ô non. La fin était passée sous notre nez, vu qu’on s’était vu dérangé par une personne venant me chercher. Salut, nous couchons ensemble ! Bref, mon sang n’avait pas eu le temps de réaliser ce que l’homme en question avait vu, car c’était de Lowan qu’il s’agissait, je m’étais levée et avait carrément ordonné à tomas de me suivre ! Peu importe que personne ne le sache, mais il était son père, alors il avait des raisons de venir ! Bref. « Mais, sa mère s’en occupe ! » J’écoutais cette infirmière lui dire cela et je soufflais un peu, alors que mon regard ne se dépose que sur elle et parfois sur mon fils. Je n’ai qu’une envie qu’elle s’en aille. « Il est son fils aussi … alors allez voir quelqu’un d’autre ! » J’avais parlé assez froidement à cette femme, mais peu importe. Je caressais la joue de mon fils. « Tu vas être un super héros mon grand ! On va te faire une belle cicatrice … ! » Je regardais sa plaie et je sentais mes mains trembler, je suppliais du regard Tomas de lui faire ses points, il ne devait en avoir que trois, quatre, mais c’était au-dessus de moi de le voir ainsi. Je n’avais même pas regardé si la jeune femme était partie, mais je venais de réaliser que si.

LUCKYRED

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Marilhea & Tomas

Le monde est petit
TSe cacher avait un côté excitant mais aussi rajeunissant. Tomas a franchement l’impression de retourner en arrière. Non seulement parce qu’il se comporte tel un jeune adolescent alors qu’il commence à ne plus être si jeune que si, mais aussi parce qu’il a l’impression de revenir dans le passé et recommencer son histoire avec Marilhea, profitant des débuts de relations, des envies qu’ils ont dès qu’ils se croisent. Bien sûr, Tomas ne peut pas oublier qu’ils ont évolué depuis leur histoire passé. Ils ont quand même un fils, il s’est passé pas mal de choses. Mais bon, ils semblent se retrouver tous les deux et ça se passent bien alors c’est tout ce qui compte. Enfin non, le plus important aujourd’hui est un tiers, c’est leur enfant mais retrouver la belle lui fait quand même plaisir. Il ne sait pas ce qu’ils sont vraiment, ils n’en parlent pas aux autres alors ça aide mais bon, les petites parties de 5 à 7 comme à cet instant ou encore leurs regards langoureux qu’ils se lancent quand ils se croisent dans un couloir, ça a un côté pire que plaisant. Il a l’impression d’être en manque constant de la demoiselle à la manière dont il l’embrasse, à quel point il se sent rapidement à l’étroit dans son pantalon de travail. Il ne veut pas perdre une seconde. Leur temps est compté de toute manière il a très envie d’elle. Ses mains le montrent, ses lèvres aussi alors qu’il commence à retirer certains tissus qui les empêchent d’être en total harmonie l’un avec l’autre. « C’est tellement pas raisonnable ! » Dit-il entre deux baisers. Ils sont là pour bosser avant tout et pourtant ils prennent du bon temps dans une salle qui est prévu pour se reposer, pas pour du sport de chambre. Pourtant, il ne semble pas être l’homme le plus raisonnable étant donné qu’après ses paroles, il la fait basculer, se retrouvant sur elle, ses jambes autour de sa taille alors qu’il vient embrasser son cou avec ardeur, ils sont tous prêt de prendre leur pied et même s’ils sont pressés, Tomas ne peut s’empêcher de profiter de chaque caresse, chaque baiser avant de venir ne faire qu’un avec Marilhea…

…

Se retenir de ne pas faire du bruit était trop lui demander, pourtant il essaye de tenir alors que leurs mouvements de corps sont totalement à l’unisson. Ce n’est pas la première fois qu’ils couchent ensemble, que ce soit en général ou même depuis qu’ils se sont remis ensemble mais ils ne sont pas tombés dans une certaine routine. Non au contraire ils prennent véritablement leur pied. Il oublie où il sont, leurs travails mais très vite la réalité est venue montrer son visage alors qu’ils ont du se détacher leur corps l’un de l’autre pour une urgence. Non, ce n’est pas leur métier, ça aurait pu mais là, l’urgence les réclame et leur tient plus à cœur. Savoir son fils aux urgences n’a pas vraiment le même impact que d’apprendre qu’on a besoin de nous pour le travail. La deuxième option est importante c’est vrai mais la famille en premier, surtout Lowan. Tomas sentit quelques regards sur lui, peut-être est-ce que sous la rapidité, il ne s’est pas r’habiller correctement, il n’en sait rien et pour dire vrai il s’en fout. Entourés, Tomas n’avait pas eu le temps de réfléchir à une excuse pour rester auprès de son enfant que Marilhea avait lâché la bombe. Il fallait bien que ça se sache un jour, ce jour est arrivé mais Tomas ne s’occupe même pas de savoir ce qu’ils en pensent alors qu’il est face à Lowan. Il essaye de garder son calme mais Tomas n’a jamais été là pour s’occuper de soigner le moindre rhume, soigner une plaie c’est quand même un cran au-dessus. Mais bon, en tant que bon père de famille il doit garder son calme pour le bien être de sa famille. Comprenant le besoin de Marilhea, il prit sa place pour être face au petit alors qu’il s’adressait à Marilhea. « Je m’en occupe, ne t’inquiète pas ça va aller il n’a pas grand-chose ok ? » Gardant son calme, il voulait calmer tout le monde alors que ses aspects de médecins prenaient le dessus alors qu’il commençait à préparer tout ce dont il a besoin pour soigner cette vilaine plaie. Il ne pouvait pas être mieux entouré, Mari et lui étant de très bons chirurgiens mais aussi des parents alors ils savent s’y prendre pour comprendre les besoins. Détournant le regard il vit qu’ils étaient observés par le chef en chirurgie, l’infirmière à ses côtés qui a dû ouvrir sa bouche mais peu importe, chaque chose en son temps.

LUCKYRED

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Tomas & Marilhéa

Il y a de plus grandes priorités que notre secret
Loin de moi l’idée de retrouver un tel contact physique avec mon ex suite à sa récente arrivée sur mon lieu de travail. Non, je ne m’étais pas imaginé tout cela à vrai dire. Que ce soit le fait de lui dire pour notre fils ou encore de retomber dans ses bras. Pourtant, je les avais connu ses bras. Certes ces derniers étaient plaisants et confortables, mais je connaissais pourtant le jeune homme, je savais comme il était. Il n’était pas méchant, mais pas non plus du style à se poser … peut être que maintenant si ? Mais était-ce ce que je voulais dans le fond ? Je n’en savais rien. Mais, j’aimais le fait de revivre ses premiers instants magiques qui ne faisaient que nous faire vibrer. Je ne devais pas me poser des questions justes profitées de l’instant présent, chose parfois compliqué à faire quand on est une maman. Alors, je laissais mes mains traîner le long de son corps, sentant ses caresses et ses baisers m’émoustiller. Autant dire que ma température venait de monter et cela avait tout avoir avec le fait que j’étais ivre d’envie pour lui. Mon regard croisait le sien de temps à autre, tout en finissant par venir chercher ses lèvres. Parler, ne servirait à rien, car ça ne résumerait clairement pas ce qu’on pouvait ressentir. En tout cas, il était clair que moi, je ne parviendrais pas à le faire. Je ne saurais comment faire pour le faire à vrai dire. Je préférais profiter et me concentrer sur ce plaisir charnelle qui m’attendait avec le père de mon enfant. Les interrogations et tout ce qui pouvait me faire amèrement réfléchir, reviendront à la fin de cette petite pause sexuelle dont j’avais littéralement envie. Ne faire qu’un avec lui allait m’aider à me faire tout oublier, rien que ses mains et ses lèvres seraient parfaitement le faire, mais j’appréciais encore plus qu’on ne fasse plus qu’un, comme si plus rien ne comptait autour de nous. Nos mouvements, nos respirations n’allaient plus tarder à ne faire qu’un ensemble tout comme nos corps.
[…]
Je devais me retenir de gémir, mais parfois certains d’entre eux parvenaient à s’extirper de m’entres lèvres pour aller taquiner l’ouïe de quiconque serait prêt de nous. Je restais contre Tomas, continuant de laisser mon bassin suivre son rythme tout en donnant de temps à autre le rythme que le sien, histoire de ne pas le laisser gérer tout. J’avais toujours aimé gérer la chose aussi, mais c’était un parfait mélange avec Tomas. On laissait l’autre conduire de temps à autre ce qui faisait qu’on était encore plus en phase l’un et l’autre. Je déposais mes mains sur son corps trouvant une prise pour me retenir tout en laissant mes lèvres se déposer sur son épaule pour taire mes gémissements. Glissant totalement, je me laissais aller alors que je commençais à sentir ma respiration se saccader petit à petite. Mais tout cela finissait rapidement pas trouver une fin et non comme je l’aurais espéré. Je me retrouvais à présent toute décoiffé et haletante prêt de mon fils avec le père de ce dernier, mon amant. « J’ai eu peur … » Que je disais à Tomas en l’entendant me dire que tout allait bien, je déposais ma main sur son épaule. Je pouvais avoir l’impression à cet instant que notre histoire ne s’était jamais terminé, comme si l’un comme l’autre n’avions pas vécu une année et demi loin l’un de l’autre. Mon regard jonglait entre mon fils et celui qui était le père de Lowan. Je ne m’apercevais même pas de ce qui se passait autour de nous ! C’était notre famille qui comptait pour le moment. Je laissais Tomas recoudre notre fils tout en calinant mon bébé. Il venait de finir, alors jje regardais Tomas soufflant un peu, souriant avant de l’embrasser et de prendre mon petit garçon dans les bras. « ça va aller, papa et maman sont là ! » Que je disais en regardant Lowan qui étit encore tout triste, je lui donnais l’une des sucettes qui se tenaient en pédiatrie. [color:9129=#red]« Il faut qu’on p arle ! » Que venait nous lancer le chef en nous parlant à Tomas et à moi.

LUCKYRED

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Marilhea & Tomas

Le monde est petit
Jusqu’à peu, le travail était le plus important dans la vie de Tomas. Pourtant, en arrivant ici, cela change peu à peu. Maintenant sa priorité reste son fils Lowan et sa relation naissante avec Marilhea aussi. Alors, passer du temps où il est censé bosser pour passer du temps plus qu’intime avec sa douce, ça montre que le boulot n’a plus la même valeur pour Tomas. Ou alors est-ce qu’il pense avec son second cerveau, c’est possible aussi. Mais bon, faut quand même avouer que voir sa copine au travail toute la journée lui fait un petit quelque chose. Il devrait en avoir l’habitude mais non, la preuve vu sa petite invitation qu’il s’est avéré être très excitante au vu de la tournure des évènements. Ça va vite, ce n’est pas pour lui déplaire. Ils ne peuvent pas prendre leur temps puisque des patients peuvent arriver à tout moment même s’ils sont en droit de se reposer. Mais bon, autant dire qu’ils ne vont pas faire une sieste à cet instant et Tomas montra rapidement ses intentions qui semblent être similaires à ceux de Marilhea. Il veut la retrouver, ne faire qu’un avec elle, redécouvrir son corps et encore. Tomas veut avant tout ne pas se prendre la tête, ne pas penser et de toute manière il en est parfaitement incapable. Rien d’autre n’a d’importance qu’eux deux. Très vite leurs blouses de travail n’étaient qu’un lointain souvenir tandis que leur corps se retrouvent, encore. Rapidement, Tomas retrouve Marilhea, après un sourire, un nouveau baiser, il retrouve le plaisir de son corps, le plaisir de cette union, le plaisir de prendre leur pied ensemble, le plaisir de tout ceci avec Marilhea dont les sentiments n’ont jamais été loin depuis qu’ils se sont séparés.

[…]

Il serre les dents pour ne pas faire trop de bruit tandis que leurs corps sont en parfait unisson. Leurs bassins menèrent la danse, Tomas est totalement transporté ailleurs mais très rapidement il est revenu à la réalité. Un dur retour à la réalité étant donné que leur fils a eu un accident, léger certes, mais quand même. Se faire choper aurait été une chose mais là c’est encore plus compliqué à gérer. Le stress et l’envie d’avoir des nouvelles sur le champ. Heureusement, très rapidement ils se retrouvèrent dans la même pièce que Lowan. Il est au moins avec ses parents et ils vont pouvoir gérer cela. Si Tomas a confiance en ses collègues pour les autres patient, quand il s’agit de Lowan, il n’y a que Marilhea et lui dont il veut le confier. « Moi aussi… » Les joies de la paternité, il n’y a pas que le bonheur, il y a aussi les peurs, les doutes et il en apprend tous les jours. Finalement, après s’être calmé et reprit le contrôle de ses mains pour ne pas trembler et risquer de faire quoi que ce soit, Tomas entreprit de recoudre le petit tandis qu’il était rassuré par ses deux parents. Une fois chose faite, Tomas fut soulagé, embrassa Marilhea avant d’embrasser le petit au sommet de son crâne. « T’as été un vrai champion ! » Dit-il, fier de son fils puisqu’il n’a pas fait de caprice, pas comme certains enfants qu’il a aux urgences tous les jours. Très vite, ils furent une nouvelle fois de retour à la réalité par les mots du chef en chirurgie. Génial, comme s’ils avaient besoin de cela. « Maintenant ? C’est si pressé que ça ? » Oui parce que là, il n’a pas vraiment la tête à se faire bassiner par qui que ce soit ni même de parler. Mais bon, au vu de la tête qu’il fait, faut pas trop discuter. « Très bien mais Lowan vient avec nous ! » Inutile de préciser qu’il ne veut pas laisser Lowan et qu’il retourne à la garderie alors qu’il vient de se blesser. « Très bien, dans mon bureau, tout de suite ! » Echangeant un regard avec Marilhea, ils sortirent de la salle pour le suivre dans le bureau alors que quelques collègues les regardaient bizarrement. « Je peux savoir ce qu’il se passe entre vous ? Vous savez qu’on s’intéresse aux vies de nos employés pour ne pas que ça atteigne leurs performances au travail. Alors des confessions à me faire ? » Par où commencer ? De toute façon, ils ne peuvent pas mentir une nouvelle fois et ça n’embête pas tant que ça le jeune papa.

LUCKYRED

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Tomas & Marilhéa

Il y a de plus grandes priorités que notre secret
Quelques minutes que nous ne faisions plus qu’un. C’était un délice que ce soit des préliminaires qui avaient été malgré tout très riche en émotion, j’avais adoré. Je me retrouvais ne faire plus qu’un avec lui, et autant dire que je n’avais clairement pas hâte que cela se termine. Mon corps suivait les mouvements du sien, alors que ma respiration se faisait de plus en plus saccadée. J’éprouvais du plaisir, des vagues de plaisir même. J’appréciais fermant bêtement les yeux en mordillant ma lèvre, alors que je déposais ma main sur l’encadrement du lit pour me retenir, alors que je tentais par la même occasion de taire mes gémissements. Rien de très facile au vu du plaisir ressentit. Mais tout ce petit moment de volupté venait d’être brisé, mais je n’avais pas réfléchit à quoi que ce soit pour rejoindre mon fils. Je donnerais tout pour lui, alors cesser de me cacher dans un vestiaire pour faire l’amour avec celui que j’aimais, aucune importance, j’irais. Mon fils était le plus important pour moi. Être auprès de mon fils qui s’était blessé, était une chose qui me faisait complétement oublier ce que tomas et moi nous cachions aux autres personnes de cet établissement. J’avais juste peur pour mon fils, mais Lowan allait aller bien à présent, mais je continuais de m’inquiéter malgré tout, déposant ma tête contre l’épaule de Tomas je reprenais mon souffle. Non, pas que je ne l’avais pas récupérer depuis notre partie de jambe en l’air que nous n’avions pas fini dans le fond, vu qu’on n’était pas allé jusqu’au bout, même si on s’en approchait pas mal. J’avais laissé Tomas le recoudre, ne me sentant pas de le faire de moi-même, Tomas lui avait l’air d’avoir un peu plus de recule ou alors juste plus de nerf que moi quand il s’agissait de notre fils ? Faudra voir plus tard laquelle de ces deux solutions est la bonne. Je regardais le chef de l’hôpital qui venait de nous parler, autant dire que je ne disais rien, je n’avais pas envie de me prendre la tête, alors quand j’entendis Tomas dire qu’on allait prendre le petit avec nous je glissais ma main dans celle de notre bonhomme qui laissait béante sa seconde main qui se proposa à celle de Tomas. « Très bien ! » Que je relançais en suivant l’homme avec Tomas et Lowan. Je restais silencieuse, mais dans le fond, j’allais parler moi, vu que c’était moi qui avais caché cela à Tomas. Alors on verra. Moi qui visais récemment la place de chef de la chirurgie, autant dire que c’était raté. Je l’écoutais et un sourire venait à se peindre sur mes lèvres. Ses mots qu’il venait de nous lancer était complétement dérisoire à mon humble avis. « Confession ? … non car je ne suis pas dans une église. Vous me connaissez depuis bien longtemps vu que j’ai été interne ici … Mon fils Lowan que vous connaissez est l’enfant de Tomas … » Autant dire que pour être clair, je venais de l’être. Je regardais Tomas puis le chef avant de prendre mon fils dans mes bras. « Jusqu’à présent notre travail a-t-il était bafoué pour vous ? À mon avis non … donc en vrai il n’y a rien à dire à mon avis ! » Que je balançais embrassant la joue de mon fils. * Peut être que vous ne faîtes rien de mal, mais vous le savez Madame Costa qu’il faut signaler chaque relation avec une autre personne dites être votre collègue ! » [/color] Je soufflais. « Ouai, et faut le dire dès que quelqu’un se tape une autre personne comme ça ici ? Non, car si c’est ça … vous allez crouler sous la paperasse. » Je le regardais. « Moi là il est question d’une famille non pas d’une histoire d’un soir ! » Que je rajoutais. Je regardais Tomas me demandant ce qu’il pensait de ce que je pouvais dire … mais pour moi c’était notre famille et pas juste un truc comme ça, même si on n’avait pas précisé ce que pouvait être pour l’autre, trouvant ça assez bête de mettre des mots sur notre relation … mais on dirait qu’on est obligé de le faire pour rassurer certaine personne.
LUCKYRED

› **inscription** : 17/01/2015

Marilhea & Tomas

Le monde est petit
Du plaisir à l’état brut. Tomas comme tout homme qui se respecte ne dirait pas non à une partie de jambe en l’air, qu’importe l’endroit où il peut se trouver. Alors avec Marilhea, c’est un tout autre plaisir. Le faire avec quelqu’un pour qui on a des sentiments est tellement plus fort qu’un coup vite fait bien fait. Ils n’en sont pas à leur première partie de plaisir l’un avec l’autre, après tout Lowan ne serait pas de ce monde sinon, et leur alchimie se récent aussi bien dans leurs discussions que dans leurs rapports physiques. Ils sont en parfaite harmonie alors que leurs corps prennent possession de l’autre pour une danse collée serrée dans ce lit de salle de repos. Pas la première fois qu’ils le font après une opération, sans doute non plus la dernière mais que ce soit ici ou ailleurs dans un lieu tout autre, ça ne change pas le plaisir que Tomas prend lorsqu’il ne fait qu’un avec Marilhea. Pourtant, pas le temps de finir ce qu’ils avaient commencé, à peine le temps de se r’habiller pour paraitre décent. Quand ça touche Lowan c’est tout autre. Il est leur priorité numéro une et le sera sans doute toujours, c’est ainsi. Tomas n’a même pas à se plaindre de ne pas avoir atteint l’apothéose, il n’y pense plus. Toutes ses pensées sont concentrées sur leur fils, un point c’est tout. Qu’importe les dires de leur chef. Tomas vient à peine de recoudre son fils, c’est pas évident psychologiquement alors il a autre chose à faire que d’avoir la fameuse conversation avec leur chef. Mais bon, quand on n’a pas le choix, on a pas le choix. Attrapant la main de son fils pour le suivre, il croise le regard de sa belle à différente surprise et ça le réconfortante dans une chose : qu’importe ce que le chef en chirurgie dira, ça ne changera rien en leur relation. Tomas était prêt à parler, à prendre la défense de leur histoire mais il laissa Marilhea faire alors qu’elle lui dit carte sur table que Lowan est leur enfant à eux deux. « S’il n’y avait pas eu cet accident, si Lowan ne serait pas venu aux urgences, vous ne l’aurez même pas su. Alors est-ce que ça change nos compétences ? Est-ce que ça choque quelqu’un ici ? » Bien entendu, le mot ‘choque’ est assez fort. Qui pourrait être choqué de les savoir ensemble ? Ils n’ont tué personne. Tomas eu un rire nerveux en entendant ses propos et encore une fois, Marilhea prit les devant pour se défendre et de la voir ainsi, il la trouve de plus en plus belle. Encore plus lorsqu’il entendit le mot famille et que leur relation est sérieuse. Ils n’en ont jamais parlé, ils n’en avaient pas besoin. Bien sûr que ça fait plaisir d’entendre ce genre de propos mais il est clair qu’il aurait préféré les entendre dans d’autres circonstances. Néanmoins, ce n’est pas pour autant qu’il ne va assumer. C’est sa famille, son fils, la femme qu’il aime alors il s’en contre fiche du regard des autres. Ça lui semble tellement dérisoire par rapport à cette petite famille qu’il ne connaissait pourtant pas l’existence il y a quelques mois à peine. Ne voulant pas laisser Marilhea seule à défendre leur couple, Tomas prit ses propres responsabilités. « Ecoutez, notre histoire c’est du solide et ça ne touche pas notre travail ici. Regardez les dernières opérations qu’on a faites ensemble. Est-ce qu’il y a eu des erreurs médicales parce qu’on était déconcentré ? Non ! On forme une bonne équipe et tout ce qui vous regarde c’est sur le plan médical, c’est tout ! » Oui, on peut dire qu’ils forment une bonne équipe sur le plan privé et professionnel mais pour leur vie privé, ça ne regarde personne. « Il aurait fallu m’en parler avant Mr Miller » Il n’a pas envie que ça retombe sur Marilhea encore une fois parce qu’elle lui a caché sa grossesse alors cette fois, il prit les devants « Vous m’avez embauchés pour mes compétences, pas pour mes relations à l’hopital ! » Et il ne changera pas de discours là-dessus. « Maintenant, est-ce qu’on pourrait profiter qu’on ait pas besoin de nous pour qu’on s’occupe de notre fils qui a eu un accident ? » Le ton qu’il emploi ne va surement pas plaire puisqu’il est assez dur mais il s’en fiche encore une fois. Sans trop attendre, il prit Marilhea par la taille alors que celle-ci tient Lowan dans ses bras pour que la famille aille se mettre ailleurs. Qu’importe qu’on les juge car ils s’affichent désormais. « Ça va ? » Peut-être que ça a été dur pour la demoiselle cette confrontation. Tomas lui, trouve leur couple encore plus fort.

LUCKYRED

› **inscription** : 17/01/2015

Tomas & Marilhéa

Il y a de plus grandes priorités que notre secret
D’un moment inouïe et plein de plaisir, j’étais passée à un moment horrible et effrayant. J’avais eu peur pour mon fils. Autant dire que cela n’était pas une chose que j’appréciais tout au contraire. J’avais eu peur pour mon fils, Lowan quand j’avais fini par entendre qu’il avait un problème. Alors laisser ma petite partie de jambe en l’air avec Tomas, ce n’était pas un problème. Laissant derrière nous notre petit plaisir d’adulte, on rejoignait notre fils. C’était étrange de ne pas être la seule à m’occuper de mon fils, mais autant dire que j’étais plutôt heureuse de ne pas être seule, d’avoir son père à mes côtés. Je regardais mon fils mordant ma lèvre, alors que Tomas le recousait des quelques petits point dont il avait besoin tout en faisant abstraction du monde autour de nous. Personne n’était plus important que nous. Nous trois et rien d’autre ne pourrait me faire oublier cela. C’était un fait. Une fois ce petit bobo arrangé et l’inquiétude passée, je ne pensais pas entendre la voix de mon supérieur, le chef de la chirurgie. Je le regardais puis ce dernier se déposait sur Tomas puis sur Lowan. Laissant mon fils aux mains d’une des infirmières, je suivais le chef avec Tomas, côte à côte. Non, je n’avais pas peur, car d’un côté je m’en fichais. Je savais que les relations n’étaient pas les biens vu par ici, mais cela arrivait et ce n’était pas clairement la première fois. Sans doute que nous étions cependant les premiers à être surpris sur le fait d’être en train de coucher ensemble ? Sans doute. Mais, peu importe dans le fond. Je n’avais rien à dire, car autant dire que Tomas parlait et que le chef aussi écoutait le discourt presque passionné du jeune homme. Mon regard croisait parfois le sien, quand il lâchait celui l’homme étant notre supérieur du regard. Je souriais, mordant un peu plus ma lèvre et souriant. J’avais déjà parlé alors je pouvais le laisser parler. On pensait la même chose pour le coup, je ne pouvais pas le nier. J’étais d’accord avec Tomas. On n’était pas juste là pour baiser, mais bel et bien pour sauver des vies et notre relation dépassait bien d’autres relations. Nous avions un enfant, nous étions ensemble. Oui, nous étions en couple. Autant dire que je ne pouvais pas nier que mes anciens sentiments qui n’étaient jamais partis étaient de nouveau là. Et autant dire que j’appréciais de retrouver Tomas. La vie était différente là où nous étions auparavant au tout début de notre relation qui avait eu un terme rapide et sans vraiment le vouloir. Après tout on l’avait fait pour la carrière de l’autre. Moi je devais rentrer et lui son rêve était de continuer. Alors forcément, fallait carrément qu’on le dise c’était différent. « Non, c’est vrai ce n’est pas une chose qui va changer votre travaille. Je le sais, mais j’aurais voulu être tenu au courant … pour par exemple empêcher que vous ayez des missions ensembles en dehors de l’hôpital et que cela cause un orphelin … vous comprenez ? » Je hochais la tête. Oui, bon pour ce point il n’avait pas tort. Mais fallait pas oublier que dans le fond ce renouveau était justement nouveau, donc tout récent. On n’allait pas le prévenir le jour même dans le jacuzzi qu’on était ensemble ? Cela aurait étrange dans une telle situation. Enfin, on pouvait enfin partir de son bureau. Récupérant notre enfant, je marchais côte à côte avec Tomas, on affichait notre relation peu importe. Je regardais Tomas et souriais, j’étais peut être un peu fermée depuis notre sortie du bureau. « Oui ça va et toi ? » Que je demandais alors qu’on arrivait à la sortie de l’hôpital pour aller rejoindre ma voiture, vu qu’on était venu à une seule voiture. Montant tous les trois dans la voiture, je regardais Tomas qui s’était mis au volant. « On fait quoi maintenant ? » Que je demandais venant placer ma main sur son genou avec un petit sourire tendre accroché à mes lèvres.
LUCKYRED

› **inscription** : 17/01/2015

Marilhea & Tomas

Le monde est petit
Avec son travail, Tomas doit toujours être sur le qui-vive, étant donné qu’aux urgences, rares sont les interventions dont on vous prévient quelques minutes à l’avance. Pourtant tout ce qu’il se passe en ce moment, il n’était pas prêt. Faire l’amour avec sa copine est une chose mais être appelé pour une urgence quant à son fils puis se faire remonter les bretelles par son supérieur, c’en est tout une autre. Passer de situations à l’opposé total n’est pas vraiment une chose facile, faut prendre sur lui. Son travail quotidien devrait l’aider à relativiser, à prendre un peu de recul sur la situation mais faut croire que le travail et le personnel sont deux choses totalement à l’opposé. Il ne se comporte pas de la même manière et mise à part ça, heureusement d’ailleurs. Le bien être de Lowan passe avant tout, ce n’est même pas une question à se poser, sa relation avec Marilhea qui renait de ses cendres fait également parties des choses les plus importantes. Depuis son arrivé ici et surtout dans cette petite famille, Tomas a changé l’ordre de ses priorités et c’est tant mieux, le travail est bien loin derrière. Chose qu’il n’aurait pas pu faire de lui-même pour d’autres situations. Alors faire face à son patron, quitte à perdre des avantages ou quoi que ce soit ne lui fait pas peur. De toute façon que risquent-ils tous les deux ? Ils n’ont pas fautés, ils n’ont pas mis de patients en danger pour des galipettes ou parce qu’ils avaient la tête ailleurs. Non, ils ont fait leur travail parfaitement bien quand on voit le nombre de blessés qu’ils ont sauvé l’un avec l’autre et mis le perso de côté dans ces moments-là. S’ils leur arrivent donc des blâmes ils pourraient se plaindre car même si leur chef souhaite savoir les relations au sein de l’hôpital, ce n’est pas pour autant qu’il est en droit de faire quoi que ce soit en entendant ceci. « Je comprends votre point de vu mais on veut vraiment faire la distinction entre le travail et notre famille ! » Bon faut juste oublier qu’ils étaient en train de s’envoyer en l’air dans la salle de repos. Le saluant, ils sortirent du bureau sous certains regards mais il s’en fiche. Il aurait pu lui prendre la main devant tout pour les faire taire ou encore l’embrasser en public mais ça serait rentrer dans leur jeu. « Oui ça va, je pensais que ça se passerait plus mal ! » Il doit bien l’avouer mais bon, tant mieux. Ils ont dit ce qu’ils avaient à dire et puis c’est chose faire aujourd’hui, plus de mensonge. Une fois arrivée à la voiture, Tomas se place devant le volant pendant que Mari’ attache le petit dans son siège auto. « Je pensais qu’on pourrait aller manger une glace pour réconforter ce petit bonhomme qui a été très courageux » Dit-il en se tournant vers Lowan qui semblait tout content en entendant cela. « Puis après rentrer chez moi pour passer le reste de la journée en famille, rien que nous trois ! » Dit-il cette fois en regardant la brune, tout en venant caresser tendrement son menton, voulant l’embrasser mais devant leur fils ils ne le font pas. « Tu en penses quoi ? » Chez lui comme chez elle, ils se sentent comme chez soi alors même s’ils ne vivent pas ensemble, ils ont l’embarras du choix, surtout depuis que Lowan a sa propre chambre chez Tomas. Attendant sa réponse, Tomas s’attacha puis démarra le moteur pour partir en direction du parc o il y a un très bon marchand de glace et ils sont tous les trois venus plusieurs fois, en famille, pour d’agréables moments à passer ensemble, unis, en famille et ça, c’est le plus beau.

LUCKYRED

› **inscription** : 17/01/2015

Tomas & Marilhéa

Il y a de plus grandes priorités que notre secret
Tout quitter pour mon fils ? Cela était naturel, que ce soit durant un moment charnel avec Tomas, autant dire que je n’en avais rien à faire. Mais, tout allait bien pour mon fils, notre fils. J’étais plutôt contente pour le coup que mon fils n’allait avoir qu’une cicatrice suite aux points fait par son père. Non, je n’étais clairement pas d’humeur à me prendre la tête avec le chef de la chirurgie pour le coup, mais que pouvais-je faire ? Je n’avais pas le choix, alors j’avais suivi le mouvement laissant la conversation se faire tout en m’y attelant et laissant Tomas dire ce qu’on pensait, car ses dires étaient bel et bien ce que je pensais. Ce n’était pas important avec qui je couchais tant que je continuais de faire mon travail comme j’étais censée le faire, mais cela n’était pas toujours au coup de tous, mais c’était ainsi. J’en connaissais du monde en couple ou encore ayant des relations charnels au sein de l’hôpital, que pouvais-je y faire tout comme la personne s’étant retrouvé devant nous : rien. C’était la vie et personne n’allait pouvoir changer le fait que coucher avec qui on voulait était une chose que personne pourrait nous enlever et encore moins à Tomas et moi. On avait été ensemble bien avant qu’on travaille tous les deux ici, certes on n’était plus ensemble quand il est revenu dans ma vie, mais cela c’était fait et je n’avais pas envie de changer cela. Enfin à présent, j’étais avec ma famille dans l’idée de renter à la maison. « Il n’avait pas le choix … il en pouvait rien faire, nous sommes adultes et on fait ce qu’on veut surtout que nous l’avons lui en commun ! » que je disais en regardant la tête de mon fils qui marchait à nos côtés. Nous étions à présent dans la voiture et je regardais Tomas, me demandant ce que nous pouvions faire pour le coup. Je le regardais tout en laissant quelques petits regards sur mon fils, assez heureuse que ce dernier soit avec nous. Je finissais par écouter la réponse de Tomas laissant un petit sourire sur mes lèvres et se fixer à mon visage, alors que j’entendais les sirènes des camions de pompier et des ambulances arriver devant la porte des urgences, parfois les urgences me manquaient, mais avec mon fils pas le choix que de faire de la chirurgie en étage. Enfin. Je n’eus pas à répondre vu que Lowan commençait déjà à s’agiter de cette idée et à être heureux pour le coup. Je souriais en voyant que mon fils allait bien, je me méfiais du fait qu’il soit fatigué et tout jusqu’à s’endormir, on n’avait pas fait de scan, je n’avais pas voulu faire de zèle pour mon fils, mais j’aurais peut-être dû. Je le regardais déballer la suite de ses idées pour notre programme en famille, je souriais à sa petite caresse déposant ma main sur sa jambe hochant un peu la tête avec l’envie de l’embrasser, mais Lowan était là, alors je n’en fis rien. Je souriais simplement. « J’en pense que tu as de parfaites idées … on pourrait finir ce qu’on n’a pas pu finir tout à l’heure ! » annonçais-je avec un petit sourire. Nous arrivions assez rapidement au centre-ville pour aller prendre une glace, bon le temps n’était pas génial, mais ce n’était pas grave. Les glaces toute l’année ne me gênaient pas vraiment. Je souriais en descendant de la voiture et récupérant notre fils alors que Tomas nous ouvrait la porte du glacier. « Merci monsieur ! » On commandait nos glaces, Lowan avait rapidement fini la sienne jusqu’à s’en geler le cerveau comme il disait, je le laissais par la suite aller jouer dans les jeux pour enfant.
LUCKYRED

› **inscription** : 17/01/2015

Marilhea & Tomas

Le monde est petit
Si leur relation n’avait rien changé quant à leurs compétences à Haïti, il ne voit pas trop pourquoi ça serait le cas aujourd’hui. D’ailleurs lors de leur rencontre, on peut limite parier sur le fait qu’il n’essayait pas de se perfectionné durant les opérations pour l’impressionner alors ça avait été bénéfique, pas le contraire. Ils ont eu des pertes c’est vrai mais jamais ça n’avait été dû à leurs compétences et fort heureusement. Alors Tomas ne supporterait pas qu’on les juge ainsi, sans savoir, sans même avoir pris le temps de les voir à l’œuvre avec en tête le fait qu’ils soient ensemble. Ils sont toujours les mêmes, qu’ils couchent ou non ensemble, qu’ils soient ensembles en dehors de l’hôpital n’entravent en rien aux chirurgiens qu’ils sont aujourd’hui. Tomas fut donc heureux de constater que le chef ne leur en tenait pas vraiment rigueur après les différents discours qu’ils ont pu tenir. « C’est vrai mais je m’attendais à tous, quand les gens veulent être chiant ils ne se privent pas ! » Mais heureusement le responsable de chirurgie est quelqu’un de bien mais bon, on ne sait jamais. « C’est le plus important ! » Dit-il en parlant bien évidemment de leur fils qui est quand même la priorité et c’est bien normal puisqu’il est leur enfant. Démarrant la voiture en direction du parc pour un petit moment en famille, il ne put s’empêcher de répondre l’air de rien. « Ouh, j’ai hâte » Toujours le sourire aux lèvres alors qu’ils furent rapidement dans le parc où ils ont pu la prendre la fameuse glace avant que Lowan ne parte un peu plus loin pour jouer. Le surveillant pour être certain qu’il est bien en forme après le petit incident dont il a été victime tout à l’heure, il peut quand même discuter avec sa chérie en même temps. « Je crois que je ne pourrais pas être plus heureux qu’à cet instant ! » Ce sont des petits instants sans importance pour certains mais pour Tomas ce n’est pas le cas. Non pour lui ce sont les petits instants comme ça, en compagnie de sa petite famille qu’il affectionne temps. Parfois, pas besoin de plus pour être heureux. « Manquera plus que de vivre ensemble et on sera une famille comme les autres ! » Même si ressembler aux autres ne l’intéresse pas forcément puisqu’il préfère quand même être unique, être une vraie famille même s’ils le sont déjà l’intéresse quand même faut l’avouer. On pourrait croire que cette phrase dite sous la spontanéité est une proposition d’emménager chez elle ou chez lui mais non. Ce n’est pas une demande, un constat. Peut-être que les choses vont trop vites maintenant mais les choses se feront quand elles se feront. Inutile de tout précipiter et peut-être mal faire les choses. Ils vivront peut-être ensemble au grand bonheur de leur fils qui aura ses deux parents à la maison constamment ce qui est limite le cas, peut-être pas, ils verront. Ils n’ont pas le droit de faire la moindre erreur étant donné qu’ils ont un fils alors ils ne doivent pas sauter la moindre étape si ça peut se retourner contre eux. En tout cas, ils ont tous les deux pu profiter de quelques instants ensembles avant que Lowan n’arrive en courant, réclamant un câlin groupé avec ses parents. Il ne faisait pas bien chaud, c’est pourquoi l’instant au parc fut de courte durée et ils ont pu rentrer se mettre au chaud tous les trois, comme une vraie famille ce qu’ils sont.

FIN

LUCKYRED

**Contenu sponsorisé**

» absence de Marilhea N. Costa, du 03/07 au 28/08

Il y a de plus grandes priorités que notre secret ▬ Marilhea

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