Cassiel Austin-Martinez
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prénom(s) et nom › Cassiel Austin-Martinez. Cela fait tout de même six ans qu’il ne se présente plus avec le nom de famille de sa mère, Austin, mais bien uniquement avec celui de son beau-père, Martinez. N’allez pas croire qu’il s’agit là d’une mésentente quelconque avec la matriarche, ce n’est qu’une question de pratique. Cassiel n’aime pas les noms à rallonge. surnoms › Cass’couille, Cass’bonbon, Cass’social… Avec un nom pareil, les surnoms ne manquent pas. âge › Né un douze janvier, il y a de ça vingt-huit ans. Et n’allez surtout pas lui dire qu’il frôle la trentaine, à moins de vouloir dire bonjour à l’asphalte d’un trottoir. nationalité › Américaine. orientation sexuelle › Physiquement parlant, Cassiel se fiche pas mal du genre de ses partenaires. Homme, femme, trans’, il s’en bas les steaks comme de son premier rouleau de papier toilette. statut civil › Divorcé depuis deux ans. Il garde néanmoins une très bonne affinité avec son ex-femme, bien obligé qu’il est puisque leur union a créé une petite guerrière qui préfère se la jouer chevalier plutôt que princesse en détresse. En d’autres termes, Cassiel est un père célibataire à temps partiel qui papillonne à droite et à gauche. Vive la garde alternée. emploi/études › Cassiel est tatoueur, pierceur et artiste de rue à ses temps perdues. Il ne compte plus les fois où il s’est posé en plein milieu d’un marché random pour griffonner les passants. L’art est quelque chose qui s’entretient. situation financière › Relativement bonne. Il ne roule pas sur l’or, mais il a reprit le salon de son ancien patron et a réussi à faire perdurer sa bonne réputation. avatar › Dawid Auguscik. crédit › Image recoupée par mes soins, crédit des avatars sur mon profil ~.

~ question une
à quoi ressemblait ta vie au lycée?
À un sacré bordel quand j’y repense. Je faisais partie de cette bande de nerd à lunette que l’on regarde d’un oeil un brin moqueur lorsqu’ils sont en plein débat sur la dernière sortie Comics. J’y ai passé de belles années avec mon groupe de pote, même si les grosses soirées en mode projet X, c’était pas vraiment notre came. Non, nous, on était cloîtré dans le petit salon de Peter Coolson, à boire des bières et refaire le monde à grand renfort de rire et de connerie. J’étais pas spécialement mauvais en classe, mais ce n’était clairement pas pour moi. J’ai toujours eu un problème avec l’autorité - pas avec ma mère cela dit, je tiens encore à vivre quelques années. Autant dire que j’étais pas le plus studieux de l’école.  

~ question deux
es-tu heureux présentement?
Oui. Plutôt rapide comme réponse hein ? En vérité, j’ai toujours pris la vie comme elle me venait. La naissance de la petite, mes amitiés volages ou mon incapacité chronique à rester avec la même personne plus de deux jours, tout cela ne m’a jamais vraiment pesé sur les épaules. Sans doute grâce à ma mère, avec qui j’entretiens toujours une relation très intime. Ou grâce à mon beau-père, pour qui j’ai un respect incroyable. Et puis j’ai beau pesté contre toutes les conneries qu’elle enchaîne, ma petite guerrière égaille les moments les plus sombres de ma vie. Je ne suis pas vraiment à plaindre quand on y réfléchit.

~ question trois
où te vois-tu dans dix ans?
Très certainement en train de faire manger le trottoir à celui ou celle qui osera poser ses mains sur ma fille. En dehors de ça, j’espère pouvoir agrandir le salon de tatouage. C’est qu’on commence à s’y sentir un peu à l’étroit, avec tout ce monde qui grouille à l’intérieur. Pourquoi pas embaucher plus de personnel, aussi. J’aimerais bien former un jeune tatoueur en herbe, ça me ferait sacrément marrer d’échanger les rôles et de devenir le tortionnaire plutôt que le petit apprenti fragile. Oh, et acheter une baraque reste une option intéressante, mais pour cela, il faut être deux à payer...