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 Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre"

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Message(#) Sujet: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 21:51

Enzo Charles Artman
"Le beau est toujours bizarre"
prénom(s) et nom Enzo Charles Artman surnoms Son ex femme l’appelait « Mon poète ». Cela sonne un peu étrange à ses oreilles aujourd’hui âge 29 ans depuis le 30 juin nationalité américaine orientation sexuelle Hétérosexelle. Amoureux des femmes, des formes, de leurs délicieuses odeurs, de leurs cheveux de soie statut civil En instance de divorce. Père d’un petit Ulysse et d’une petite Alaska emploi/études Doctorat de Littérature. Maitre de Conférence en littérature étrangère plus particulièrement de littérature française. Rentier. situation financière Très confortable. avatar Chris Evans crédit Blondie.

~ question une
à quoi ressemblait ta vie au lycée?

Il avance lentement dans les couloirs du Lycée Internationale de Boston. Hélène, une jeune Française aux cheveux bruns et aux grands yeux verts passe près de lui. Sur ses lèvres charnues se dessine un large sourire. Doux. Coquin. Enzo comprenait pourquoi Pâris avait mis en péril toute une nation pour un sourire d’Hélène… Dans son sillage elle laisse une forte odeur de vanille Bourbon. Personne d’autre ne la sent, mais lui il connaît par cœur ce parfum. Il respire chacune des petites particules suspendues dans l’air. Son image s’efface. La fragrance se volatilise. Son cœur se fend. Il n’a hâte que d’une chose : la revoir, la retrouver. Sa tendre Hélène. Son amour. Sa petite amie depuis plus d’un an. Dehors, l’érable de l’entrée est rougi par l’automne. Arbre de feu brulant dans la grisaille de l’automne du Massachusetts. Le temps passe vite. C’est déjà la dernière année du lycée. Il allait passer son diplôme et même obtenir son baccalauréat français.

La cloche résonne. Il s’engouffre dans la salle de classe.

Autour de lui il n’y a que des filles, ou presque. Les stéréotypes persistent et se reproduisent à l’infini : science pour les garçons, littérature pour les filles. Cela n’a jamais gêné Enzo d’être entouré de femmes. Au contraire. Aucun garçon du lycée n’est autant amoureux de leur beauté. Ce grand garçon blond aux yeux bleus ne laisse pas ses camarades de classe indifférentes. « C’est que tu as à la fois le physique et l’intellect. » Lui avait dit un jour Hester Hawthorne, sa meilleure amie. Elle avait été prénommée ainsi en hommage au personnage du roman The Scarlet Letter de Nathaniel Hawthorne, son ancêtre. Il est vrai que depuis sa plus tendre enfance, Enzo avait trois passions : les livres, les femmes, et le hockey.

Comme un peu partout dans les écoles américaines, les sportifs sont les garçons les plus populaires et les pompons girls, les filles les plus belles. Le lycée international de Boston n’échappe pas à cette règle et les épaules carrées d’Enzo font rêver quelques donzelles. Il est donc un jeune homme populaire, mais il reste discret. Au cours de ces derniers mois, ses yeux n’ont regardé que dans une seule direction : les grands yeux verts d’Hélène. Certaines filles ont bien tenté leur chance et même certains garçons l’ont fait également… Pourtant il n’a pas toujours été ainsi. Non. Bien avant de trouver l’amour, ce garçon n’était pas si différent de ceux de son âge. Il aimait les femmes après tout… Alors, au tout début du lycée, il n’avait pas été très cordial avec un certain nombre d’entre elles. Comme avec Jane quelque rang devant lui. Elle lui en avait tenu rigueur. Il ne pouvait pas lui en vouloir. N’avait-il pas couché avec sa meilleure amie alors qu’il était ensemble. « Tu es un véritable paradoxe » lui avait un jour dit Hester. « Tu es si romantique et pourtant, parfois, tu agis comme un vrai connard ! »

À la fin de l’année, lorsque d’un commun d’accord Hélène et lui avaient rompu pour s’adonner pleinement à leur nouvelle vie de diplômé, il lui avait répondu : « Je dois être comme Baudelaire. Peu importe la douceur de l’amour, le charme physique des femmes que j’aime finit par éveiller en moi une sorte de spleen… Alors je cherche de nouveau la douceur, l’évasion du début et je bois cette femme jusqu’à la lie. Je la possède et la dépossède de toute sa fraicheur, de toute son âme, de toute sa beauté jusqu’à la vidé de son essence originelle. Le vide ne m’intéresse pas, alors quand elle est vide, je la laisse et je recommence. C’est un cercle vicieux dans lequel pour l’instant je me complais. » Hester acquiesce. « Un jour, tu trouveras une femme qui te rendra malheureux, non quand tu es avec elle, mais quand elle sera loin de toi. Tu t’étoufferas dans ton spleen dans ton baudelairisme. À ce moment-là, j’espère que tu feras le bon choix. » Il ne dit rien. Au fond, il sait qu’elle a raison.

Ses yeux se posent alors sur ses parents qui lui font des grands signes. Ils sont fiers de lui, mais il voit l’espace d’un instant la désapprobation du père. Comment ne pas le décevoir même un peu ? Ce petit enfant de banquier, fils d’un banquier, voulait également engendrer un banquier. C’est ainsi que vont les affaires. Les Artman ne sont pas des petites gens sans le sou. Leur nom de famille ne figure pas aux côtés de leur cousin Goldman. Ils sont issus d’une branche moins riche. Un peu plus désargentée. Mais qu’est-ce qu’être moins riche quand on possède des parts chez Goldman Sachs ? Son cousin Marcus lui le sait, et le lui fait ressentir. Mais Enzo n’est pas intéressé par l’argent. Il est intéressé par la beauté. Par l’art. C’est certainement un trait de famille et c’est pour cela qu’il vient de la branche Artman et pas des Goldman. L’art face à l’or. L’or face à l’art. Une éternelle querelle de famille. Il ne veut plus en entendre parler.

Il n’est pas premier de sa promo. Il n’est que deuxième. Hester le surpasse de quelques points. Il imagine sa vie de dandy sans argent, son avenir tout tracé : à la rentrée il sera au Boston College et il étudiera la littérature étrangère et tout particulièrement, la littérature française. Certes, l’or du père paiera encore cette Université privée. L’argent du père restera toujours là en cas de besoin. L’argent du père entretiendra son dandysme. Mais ce n’est qu’un moyen, par le but du voyage.  

~ question deux
es-tu heureux présentement?

« Je crois que d’avoir fait mon doctorat sur Baudelaire et Poe ne m’a pas aidé à bâtir mon bonheur. » Disait-il souvent à Hester au téléphone. « Tu étais déjà comme ça avant Enzo. Tu as toujours ressenti une sorte de spleen. Depuis aussi longtemps que je te connaisse. Tu passes de l’optimisme au découragement en moins de temps qu’il n’en faut pour dire spleen, justement ».  Répondit-elle. « Arrête de te torturer avec des petites choses. Profite de l’amour des tiens, sans chercher à les vampiriser… Je dois te laisser, j’ai une réunion. Et n’oublie pas de me faire parvenir ton manuscrit ! »
Il savait qu’elle avait raison, mais il ne pouvait s’empêcher d’être angoissé et de se poser des questions existentielles. À cet instant précis, il n’était pas heureux. Il lui manquait des choses dans sa vie. Non. Il lui manquait quelqu’un.

Il doutait. Il était de mauvaise humeur. Il avait peur de se lancer. Il avait peur de tout plaquer pour recommencer sa vie. Tout était nouveau. Il voulait être heureux. Enfin, à 29 ans, avant l’âge charnière de 30 ans, il avait décidé  de se lancer dans la vie, la vraie. Il avait décidé d’être heureux.

~ question trois
où te vois-tu dans dix ans?

Il ne sait pas. Pour l’instant, il veut retrouver le bonheur. Il ne sait que trop bien que tout s’effrite dans la vie. Alors l’avenir... Il en a un peu peur. Ensuite. Cela dépend du sujet.
Dans dix ans, il se voit écrivain. Il enseigne de temps en temps à la fac, mais passe le plus clair de son temps à écrire ce qui lui passe par la tête. Il se voit entouré de ses enfants.
Ulysse a 15 ans, il connaît ses premiers déboires amoureux.
Alaska a peine 10 ans et il l’a connaît … Oui c’est ça. Elle l’appelle Papa. Elle sourit. Elle le regarde avec les grands yeux céruléens de sa mère et lui dit : « Je t’aime Papa ».  
Et elle ... elle lui sourit tendrement. Le spleen n’est jamais plus revenu dans sa vie.

le questionnaire (pour la répartition des groupes) :

hors-jeu
citation
prénom/pseudo Nana âge 23 ans pays écrire ici. présence régulière comment tu as connu le forum Par la pub de Charlotte pour son scenario personnage inventé/scénario scenario autre chose à ajouter? Oui !! Que la paix du seigneur soit avec vous a partir d'aujourd'hui ...  :evil:



Dernière édition par Enzo C. Artman le Jeu 2 Juil - 23:17, édité 3 fois
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 21:51


   Les Fleurs du mal
   “Faut-il qu'un homme soit tombé bas pour se croire heureux.”

   

Du 30 Juin 1986.

C’est en ce jour d’été que naquit Enzo Charles Artman, premier fils de Caroline Elisabeth Kennedy et de Charles Edward Artman. Né à Boston c’est aussi dans cette ville qu’Enzo a grandit et a été scolarisé. La famille Artman n’était pas de simple petit gens. Branche de la famille Goldman, fondateur de la fameuse banque Goldman-Sachs, les Artman n’ont pas besoin de travailler pour vivre. C’est un peu la même chose du côté des Kennedy d’ailleurs. Pourtant, la finance et la politique sont des activités sacrées dans la famille. Une anecdote raconte qu’au début du XXe siècle un de fils « héritier » préféra se consacrer à l’art. La famille se moqua tellement de lui qu’on le surnomma Artman. Lui ne faisait pas de l’or disait-on. Il fait de l’art. Blessé dans son orgueil et en même temps très fière de sa passion pour l’art, il changea de nom de famille. C’est ainsi que les deux familles devinrent rivales avant de comprendre que l’art et la finance faisaient aussi bon ménage. Le patrimoine vaut aussi de l’or.

Fils ainé de trois enfants, comme son aïeux il se détourna rapidement des chiffres et de la Bourse. Lui, ce qui l’intéressé c’était les livres, les mots, les vers, les rimes. Lui, il aimait l’art et la littérature. Le fait que Peter, son frère cadet, s’intéresse de près à la finance et à l’argent permis à Enzo de s’émanciper du métier de banquier auquel son père le destinait. « Heureusement que ton frère pourra gérer ton patrimoine Enzo, car tu aurais pu finir comme ton cher Baudelaire : sans un sou, malade et endetté jusqu’au cou. » lui avait-il dit un jour.

L’enfance d’Enzo ne fut pas malheureuse, mais cet enfant était mélancolique. Ses grands yeux bleus traduisaient à la fois l’émerveillement et la souffrance. « Tu es une vieille âme » lui avait un jour dit sa mère. Sa scolarité fut parfaite. Il fréquenta les écoles privés, participa au bals des débutantes de sa sœur Victoria, fréquenta la haute société de Boston. Il avait rencontré beaucoup de gens, mais peu restèrent aussi longtemps dans sa vie qu’Hester Hawthorne, descendante du célèbre Nathaniel Hawthorne. Elle était et restera pour toujours sa meilleure amie. De cette époque, il garde peu d’ami de sexe masculin.

De 2004 à 2012. De Boston à l’Ontario en passant par Paris

Cette époque fut florissante sur le plan intellectuel et sentimental. Enzo était un amoureux des femmes et l’université lui permis de comprendre toute la beauté et le mal qu’évoquait son auteur préféré, Charles Baudelaire, dans ses poèmes. Inscrit au Boston College, une université privé (une des meilleures universités américaines), il y suivit ses 5 premières années d’études de littérature anglais et étrangère. Doué et passionné par ce qu’il faisait, il poussa jusqu’au doctorat. A ce moment là, il décida de déménager. De voir du pays. Il avait beaucoup voyagé avec ses parents avant l’université, mais il voulait vivre ailleurs. Boston n’était plus assez beau à ses yeux. Alors il chercha une université intéressée par sa thèse et atterrie en Ontario. Lorsqu’il arriva au Canada il se rappela les vers du poème "Le Canada" d’Octave Crémazie :

« Il est sous le soleil une terre bénie,
Où le ciel a versé ses dons les plus brillants,
Où, répondant ses biens la nature agrandie
A ses vastes forêts mêle ses lacs géants.
»

Il effectua sa thèse sur la traduction française des textes d’Edgard Allan Poe par Charles Baudelaire. Pendant cette période il vécu quelques temps à Paris. C’est lors de sa première semaine à Paris, lors de sa première année de Doctorat qu’il rencontra Cassandre.

Divine créature à la peau dorée, elle lui fit pensée à la « mulâtresse » de Baudelaire à ceci près qu’elle était vraiment belle. Il n’aurait jamais pu parler d’elle en des termes négatifs. Elle était trop parfaite. La vanille bourbon de son parfum lui rappela celui d’Hélène, sa petit-amie du lycée. Mais sur elle, la vanille se cristallisait pour devenir une senteur envoutante. Elle était farouche, indépendante, passionnée. Il se souvenait encore de ce baiser échanger juste avant que les portes du métro à Saint-Michel ne se referment. Il se souvenait encore de la douceur de sa peau sous ses doigts. Et puis il rentra en Ontario, elle reprit le cours de sa vie. Tant de passion. Tant d’amour en si peu de temps … Il aurait du le savoir, ça ne pouvait pas tenir.

Ils s’appelaient presque tous les soirs. Journaliste pour un grand journal, elle avait elle aussi la passion des mots et de lettres. L’amour la rendit folle. L’amour le rendit fou. Elle plaqua tout. : « Je peux faire du journalisme partout. » avait-elle dit. « Et puis, j’ai toujours voulu vivre au Canada ». Quelque mois plus tard ils se marièrent.

Jeune marié. Il était heureux. Cassandre venait de lui annoncer une bonne nouvelle. « Nous allons être parents » dit-elle radieuse. Neuf mois plus tard, en 2010, de son ventre rebondi sortie Ulysse. C’est à cet instant qu’il comprit  que la beauté de la vie n’était rien face à la mort. Tout semblait parfait. Pour la première fois de sa vie, le spleen avait disparut de manière durable. Et puis, la routine s’installa. Il ne sentait plus le parfum de Cassandre. Il s’y était habitué.

En 2012, il soutint sa thèse et obtint une chaire à l’Université. Cassandre et lui avaient des métiers prenant qui les passionnés. Tout deux étaient également passionnés par leur fils de 4 ans, si bien qu’ils s’oublièrent dans toute cette histoire. Le spleen revint. Il ne ressentait plus l’exaltation. Il ne ressentait plus l’euphorie des premiers instants. Il tentait de la boire de nouveau. De plongeait son regard dans ses deux grandes pupilles d’ébènes afin d’y voir l’avenir. Ho Cassandre ! Dit moi que notre foyer ne brûlera. Dit moi que notre Troie survivra au temps et aux guerres. Mais ses yeux ne répondaient plus rien. Ils étaient vides et lorsqu’ils lui répondaient il ne croyait pas ce qu'ils disaient. Lorsque que son regard lui disait : « Ne t’en fait pas mon amour, Troie ne brûlera pas ! » Il n’arrivait pas à la croire. Maudite malédiction ! Maudite Malédiction qui t’a fait si belle ! C'est elle qui a causé ta perte.

Et comme Baudelaire s’éloigna de Jeanne, lui s’éloigna de sa femme.

Les jours se succédèrent et furent tous les mêmes.

Septembre 2013

« De ses cheveux élastiques et lourds,
Vivant sachet, encensoir de l’alcôve,
Une senteur montait, sauvage et fauve,

Et des habits, mousseline ou velours,
Tout imprégnés de sa jeunesse pure,
Se dégageait un parfum de fourrure.
» déclama-t-il un jour en la classe.

« Quelqu’un peut-il m’étudier ces vers du poème de Baudelaire ». Lasse, il releva les yeux vers l’assistance. Hier soir, il s’était disputé avec Cassandre, il n’avait pas dormis de la nuit. Ulysse était dans sa période de cauchemar et refusait et dormir dans son lit, mais le garnement se levait à 5h du matin. Il était exténué. Le mois de novembre allait être long.  

Il scruta un a un les visages. Certains somnolé. D’autres attendaient que le temps passe. Et c’est là qu’il la vit réellement pour la première fois. Pourtant, il lui avait déjà parlé. Il avait échangé ensemble autour d’un café et sur son roman préféré après une réunion de rentrée. « Charlotte ». C’était son nom. Il se souvenait encore du speech qu’il lui avait fait sur son roman français préféré. « Je suis un très grand fan de poésie française particulièrement de Baudelaire. Je pense en faite que j’aime toute la littérature du XIXe siècle français. Mon roman préféré est Nana d’Emile Zola. Cette mise en scène de ce qu’on appelé autrefois des déviances féminines … et bien, je trouve cela beau et à la fois horrible. De toute façon, la figure de la femme dans la littérature française de cette époque m’intéresse tout particulièrement. »

Le poème s’intitulait "le Fantôme", mais cette jeune femme était une apparition. Qu’elle était belle. Qu’elle était pleine de fraicheur. Pourquoi ne l'avait-il pas remarqué avant ? Ses yeux céruléens étaient une invitation au voyage. Il aurait voulu s’y noyer. Il l’interrogea. Il ne sait plus ce qu’elle avait répondu, le débat était lancé entre les étudiants sur l’interprétation des vers. Il fit parfois quelques interventions  et poursuivit la lecture juste après. Il ne pouvait s’empêcher de relever le regard vers cette déesse.

A la fin du cours, elle s’approcha. Elle lui posa une question. Il ne sait plus comment, il ne sait plus pourquoi. Elle revint souvent à la fin des cours en classe, puis dans son bureau. Ils finirent par aller boire un café. Et puis un soir, tard, elle frappa à la porte de son bureau. « Entrée. » dit-il simplement. Lorsque sa voix raisonna dans la pièce, il releva immédiatement le yeux et se redressa. « Ho ! Charlotte ... » bafouilla-t-il. Elle avait un tel effet sur lui que la voir s’en s’y attendre l’avait déconcerté. Elle referma la porte. Elle lui posa une question. Là encore, il ne se souvient plus ce qu’elle lui avait demandé …

Mais ce soir là, il se sentit de nouveau vivre. L’extase entra de nouveau dans sa vie. Ce soir là, en rentrant chez lui, il arrivait encore à sentir le goût de ses lèvres sur les siennes. Oui, il voulait la boire elle aussi jusqu’à la lie.

Alors, il se mit à jouer à un jeu dangereux. Que ne donnait-il pas pour pouvoir glissé sa main dans ses cheveux ? Il aurait vendu son âme pour que le temps s’arrête lorsqu’il était avec elle.

C’était de l’insouciance. Une histoire presque banale. Un professeur. Une étudiante. Être avec elle donnés l’impression d’aller aux Champs Elysées. La quitter revenait à se précipiter en Enfer. Mais il ne pouvait pas lui donner plus. Non, c’est vrai. Il était lâche. Il était installé. C’était facile de tout avoir. Et puis, elle partie. Loin. Trop Loin. C’était aussi pour cela qu’il l’aimait. Car oui, il arrivait enfin à ce le dire : il est amoureux de cette fille. Non, de cette femme. « Je t’aime » lui avait elle dit avant de partir. Les mots se bousculèrent dans sa tête. Au fond, il avait envie de le lui crier : « Je t’aime aussi. Charlotte. Ma Charlotte. Couvre moi de tes baisers jusqu’à la fin de temps. Quand tes lèvres caressent ma peau plus rien n‘existe à par la beauté. A part ta beauté. » Aucun mot ne sorti pourtant de sa bouche. Il la fixa. Caressa sa joue, puis s’en alla. Cassandre l’attendait pour un diner avec ses collègues … Ulysse attendait que son père lui lise une histoire pour pouvoir s’endormir. Lorsqu’il apprit qu’elle n’était plus là, que ses yeux ne se poseraient plus jamais sur elle, le spleen regagna du terrain. Les choses s’envenimèrent avec Cassandre. Il lui reprochait d’être la cause de son malheur. Car oui, il était malheureux.

Ce n’était pourtant pas de sa faute. Elle l’avait aimé. Elle l’avait suivit. Elle lui avait donné de belles années. Mais la beauté, non pas la sienne, mais celle de leur amour s’était flétrie. Et dieu seul savait à quel point il avait aimé sa « mulâtresse ». Dieu seul savait qu’elle était toujours sa « Vénus noire », l’incarnation de la sensualité. Mais il avait besoin d’une Mme Sabatier. L’amour devait se maintenir en dehors de la chair. Il était à la recherche d’un autre Idéal.

Septembre 2014

Père pour la deuxième fois, il n’a pourtant pas vu sa fille naître. Cassandre se doutait de quelque chose. Cachoteries. Mensonges. Colères. Leur quotidien était de plus en plus insupportable. Plus il passait du temps loin d’elle, mieux il se portait. Pourtant, quand elle le touchait son corps se réveillait encore. Saloperie. Il se sentait faible. Si seulement il était moins lâche. Il se couchait alors près d’elle dans le lit. La chair effaçait pendant un instant le spleen de sa vie… Lorsque l’acte bestial se terminait dans un râle, lorsqu’il se couchait près du corps nue de sa femme, c'était son cœur et non son animalité qui se mettait à parler…

Chaque mois, depuis qu’il lui avait dit qu’il était le père d’une petite Alaska, il lui envoyait des chèques. Il n’avait jamais vu sa fille. Peut-être n’était elle même pas la sienne. Mais ce n’était pas grave au fond. Cela lui permettait d’être toujours connecté à elle. A chaque chèque qu’il envoyait à Charlotte pour leur fille, il lui glissait un mot. Ce n’était pas grande chose. Rien de personnelle. Ou presque. Quelques vers de poète français.

"Garde l’amour qui m’enivre,
L’amour qui nous fait rêver ;
Garde l’espoir qui fait vivre ;
Garde la foi qui délivre,
La foi qui nous doit sauver.
"

Mars 2015

Au moment où il su qu'elle était revenue,  même pour un court instant, son monde s’effondra pour de bon. Elle était là. Il le savait. Juste le fait de la savoir ici lui fait mal. Près de lui.

Pas de long mot. Pas de long discours. « Tu me manques » lui écrit-il. Elle ne répondit pas. Il crut devenir fou. Ce soir là, ce fut un zombie azimuté qui rentra au foyer. « Cassandre… Nous devons parler. » Il vit dans ses yeux noirs qu’elle savait. C’est fini, mais elle ne l’accepte pas … Peut-importe, la décision d’Enzo était prise.

Fin juin, elle répondit finalement à son message. « Tu me manques aussi ». Il avait déjà prévu de partir. Il était en train de mettre ses affaires en ordre : avocat, nouvelle maison, nouveau job …

Juillet 2015

«Tu reviens quand Papa ? » La voix d’Ulysse, son fils de 5 ans écorchait ses oreilles. Ce n’était pas tant le son que le ton. Comment expliquer à un enfant de cinq ans que son père va vivre à plusieurs milliers de kilomètre de lui ? « Bientôt. » Mensonge éhonté. Mensonge nécessaire. Son cœur est coupé en deux. Non. En quatre. Quatre parties bien distinctes pour quatre personnes bien particulières. « Maman veut te parler. Je te la passe » dit la petite voix enfantine au bout du fil. Enzo ne répondit rien. Le doux son de la voix de Cassandre se fit entendre. Le ton était tout aussi insupportable. C’était un savant mélange de colère, de tristesse, de désespoir. « Ne lui ment pas... Dit moi quand tu auras trouvé un lieu ou vivre… C’est les vacances, alors … Ulysse pourra venir te voir et vous pourrez passé du temps ensemble cet été. » Elle semblait exténuée. Il lui répond d’une voix monocorde : « Merci Cassandre. » Silence. « Reviens » dit-elle. « Reviens. Je t’aime toujours. Je te pardonne. Recommençons tout à zéro. » Elle sanglote. Renifle. « Non. » dit-il simplement. Il n’a jamais été autant avare en mot. Lui le grand prof’ de lettres qui pourrait discourir sur Baudelaire et Zola pendant cinq heures d’affilés. « Je t’appelle quand j’atterris. Au revoir Cassandre. » Il raccroche. « Au revoir Cassandre » murmura-t-il encore. « Bonjour Charlotte … Voudras-tu encore de moi malgré tout ça ? Je te le dirais cette fois. Je te le dirais que je t’aime. Ma Charlotte… Couvre moi de tes baisers jusqu’à la fin de temps. Ma peau à trop souffert de ne plus sentir tes baisers… »


Dernière édition par Enzo C. Artman le Jeu 2 Juil - 23:25, édité 5 fois
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 21:56

Amen ! *pourlapaixduseigneur*

Bienvenue parmi nouuus, tu vas faire des heureuses avec cet avatar :mdr:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 22:04

Julian T. Seyton a écrit:
tu vas faire des heureuses avec cet avatar :mdr:
pas touche, il est à moi. :mad: :mad:

ok, rien que le début de ta fiche, je suis amoureuse, j'ai même envie de relire. :faint: c'est terrible comme ton écriture est merveilleuse. :eyes:
bref, je ne saurais quoi dire d'autre mais pour le moment, c'est tellement super. :omg3: :omg3:


dose d'amour:

bienvenue ici et encore merci d'avoir choisi mon enzo. :heart:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 22:09

Bienvenue par ici ! :cute:
Sur ce, je vais aller baver devant Chris Evans :bave:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 22:21

bienvenue chez toi :love:
très bon choix de scénario & d'avatar :heart4:

je vais suivre May-Line et aller baver :mdr:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 22:28

Merci à tous pour l'accueil :eyes4:

Julian : Amen !  :pray:

Charlotte : Hoooo merci ... J'espère que tout te conviendra. J'ai posté le premier jet de l'histoire ... Je pense qu'il doit y avoir quelques fautes, mais là je ne vois plus rien avec la fatigue :sad:

May-Line/Sloan : *leur tend une bassine. Faites attention a ne pas trop vous déshydrater. Avec la canicule d'un côté, El niño de l'autre et tout... Ca peut être dangereux. face

EDIT : Du coup, je pense avoir terminé. J'aimerais juste avoir l'avis de Charlotte au cas ou il faut modifier des petites choses.
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 22:39

durant ma lecture, j'ai vu quelques fautes mais c'pas important. :eyes:
non, clairement, tu as parfaitement cerné ce que j'imaginais pour enzo. et puis les vers que tu as utilisé sont vraiment beaux, tellement bien placés, je vais les garder sous le coude. et tu m'as donné envie de lire nana, qui m'attends depuis trop longtemps. :eyes2: enfin bref, c'est un réel plaisir de te lire. alors bien sûr, je valide, j'approuve. MERCI. :heart: :heart:
t'es géniale. :faint:
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Abigail Woods

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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 22:41

ah, ce scénario de fou. :pray: (et puis je crois que je vais aller rejoindre mes vdds pour baver un peu  :mdr:  )

bref, bienvenuuuue! :heart2: je m'occupe de ta validation dans quelques minutes. :eyes:
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N. Jamie Reid

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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 23:03

Bienvenue par ici ! :3
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 23:12

Félicitations, tu es officiellement validé(e) !
comme tu écris bien.  :faint:  :faint: j'adore ta plume et comment tu as développé le personnage, on en oublie les fautes  :laugh:  (mais bon, tu as écrit tout ça en si peu de temps que c'est compréhensible) bref, j'ai très hâte de lire vos rps à toi & charlotte!

Selon le questionnaire, tu te retrouves dans le groupe Seize the day, mais Looking forward arrive très près et je me demande lequel des deux correspond le mieux à Enzo.  :**: À ton avis?
Tu peux désormais te rendre dans la catégorie Gestion du personnage pour faire les diverses demandes, tu peux aussi recenser ton personnage, ou bien rechercher des liens. Ensuite, tu peux aussi aller créer un ou plusieurs scénarios ou des bandes. 50 points t'ont été ajoutés pour ta validation, tu retrouveras d'ailleurs plus d'informations sur le système de points à cet endroit. Enfin, pour faciliter ton intégration, n'hésites pas à participer à la loterie des rps.

Bref, tout le staff te souhaite la bienvenue sur Feels Like Tonight ! :hula:
(je laisse ta fiche ici encore un peu, que les autres aient le temps de te souhaiter la bienvenue  :coeur2: )
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 23:28

Merciii :eyes:

De mon côté, je trouve que Looking forward lui correspond assez bien. Mais après je m'en remets à votre jugement :)


Dernière édition par Enzo C. Artman le Jeu 2 Juil - 23:30, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyJeu 2 Juil - 23:28

excellent choix de scénario :omg1:
bienvenue parmi nous et puis chris :bave: :heart:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyVen 3 Juil - 6:36

Merci Astrid.

C'est vrai que Chris n'est pas mal. En faite, j'ai déjà mon fan club !
*note les noms des membres pour aller leur demander des liens*
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyVen 3 Juil - 10:55

Bienvenue parmi nous ! :heart2:
Tu as fait un très bon choix de scénario :pray: :heart:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyVen 3 Juil - 11:51

bienvenue par ici :heart: excellent choix de scénario, et d'avatar, évidemment ( :faint: ) j'ai adoré lire ta fiche, tu as un très beau style, et puis tourner l'histoire autour de Baudelaire, quelle belle idée :eyes:
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Azel Novak

Azel Novak
lost souls in revelry

inscription : 24/06/2013
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statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour.
quartier : fairmount district.
occupation : couturière à hazelnut.

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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyVen 3 Juil - 12:36

aaaah :eyes: ça s'est de la longue fiche :omg2: je la lirais à l'occasion, parce qu'en plus avec ce que les filles ont dit, ça donne trop envie ! et puis enzo, quoi :faint: tellement bon choix de scénario :eyes2: il nous faudra à tout prix un lien avec ma azel, d'ailleurs :heart4: (bff de charlotte oblige :hehe2:) bienvenue officiellement parmi nous, j'espère que tu te plairas sur flt :coeur2: (et il me taaaarde de lire vos rps :**:)

et je t'ajoute à looking forward, du coup, et déplace ta fiche ! :han3:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" EmptyVen 3 Juil - 12:46

Merci à vous deux. :**:

Azel : Bien sûr qu'on aura un lien !! :youpi2:

Pour le RP, c'est déjà lancé chez Charlotte :smile:
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Message(#) Sujet: Re: Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Enzo C. Artman - "Le beau est toujours bizarre" Empty

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