#0301 ϟ finding.

Sa maison n'avait jamais été aussi bordélique. Il s'en foutait, il l'avait entièrement acheter, payer, elle était a lui. Il ne recevais jamais de visite, donc pourquoi s'en soucier. Jusqu'à aujourd'hui. Il c'était ouvert une bière. Tout fraiche, sortit du frigo. Il se sentait bien. Seul. Sans un bruit. Seul les sifflement aigus des oiseaux qui planait au dessus de son jardin le sortait de sa profonde torpeur. Il s'approcha de sa table basse, dans le salon. Il était 14h. Il n'avait pas manger, et n'était pas non plus habillé. Une part de pizza ornait la table basse, des capsules de bière, et un cendrier remplie de cigarette. Ca puait le tabac froid. Il s'en alluma une. Sur cette table, un bouquin. Freud. Il le choppa, s'assit confortablement sur son fauteuil préféré. Et l'ouvris. Quand un couinement ce fit entendre. Edgard, le chiot husky qu'il avait receuillis, la remis portion plutôt. Il lui mordillais la jambe. Logan le hissa sur ses genoux. La petit boule remuait dans tout les sens. Il s'amusa a lui enfoncer des doigts dans la bouche, et dans les oreilles. La petit bête se figea a chaque pression inconnue. Un vrai gamin, au lieu de lire, Logan se plongea dans la contemplation de ce corps mouvant dans l'atmosphère.

FINDING.
Je sortais du car, enfin. Cette chaleur oppressante avait fais de moi un être mou et je me sentais à présent flasque. Je descendis à bon pas, et pris un petit sentier ornée de grands champs de blés. Ma tante m'avait fait requête d'annoncer à mes proches le décès de ma grand mère. C'était une grande dame, on aurait pue l'appeler "mamie", car elle en avait le coeur. Mais certains principes de la famille voulait que l'on l'appelle "grand-mère". Passons. Elle était morte, et pendant c'est 3 ans d'agonie, elle n'avait reçus pas plus de 5 visites. Le temps manquait pour eux, les visites n'étaient soit-disant pas facile à caler. -je parle ici de ma famille- Mais croyait le ou non, c'est excuses étaient toutes fausses, crédule et immature. Tandis que moi, l'esprit tranquille, je continuais ma marche avec la bénédiction de ma grand-mère. ϟ  Dans la famille nous avions toujours été extrêmement conditionnés. C'était une forme d'atavisme centré sur l'égoïsme, l'orgeuil, le mensonge et sans oublier les principes qui étaient sacrés. En réalité, personne n'avait jamais manifesté la colère envers ce culte inculte. -ici, je mens- car finalement, il y en avait bien un. Et je m’apprêtais à marcher sur son paillasson Bob l'éponge.
J’hésitais, mon palpitant au maximum. Je crue pendant un instant être intimidée par mon propre cousin. Ce petit bâtard égocentrique, qui malgré tout, avait un énorme coeur -et un putain de charisme-. Pourquoi éprouver de l'appréhension. J'ouvris la porte sans même prendre la peine de sonner et encore moins de toquer. Cela aurait risqué de me salir les mains. Je me contenta alors de taper sur un vieux meuble pour indiquer ma présence. C'était une baraque chaleureuse.. Carrément sale, portant une odeur de vieux frigo et de tabac froid. J'avançais dans cette maison, dont les retrouvailles étaient plus qu'hostile. - Hey, logan ? c'est nora..

La petite chose se débattait et pestait contre toute les forces du monde. Le petit loup chien ce mit a grogner avec hardeur, essayant de mordre les bouts de doigts que lui lançait de plus en plus violemment Logan. Un sourire sadique illumina son visage. Il trouvait sa drôle de le voir aussi bête. Quand le chien se stoppa net et ne réagis plus. Il bondit des genoux de Logan, maladroitement, il se heurta au sol, tombant. Logan l'observa partir en courant en aboiement, qui ressemblait plus a un cris d'oisillon. Il entendit un bruit. Un bruit sourd. Comme quelqu'un qui toquais. Une voix. De femme. La petite chose canine dérapa sur le parquet lustré. Un hurlant. Logan se leva soupirant. « Hey, Logan ? c'est Nora. » C'qui celle là. Une nana avec qui il avait coucher qui était venue pour lui hurler son amour et les souvenirs ardents de cette nuit torride. Il était en caleçon. Torse nue. Pas le genre de caleçon qui colle. Celui de vieux, large. A rayures bleu ciel s’alliant avec l’alliage subtile de ses yeux. Ressemblant a un caleçon de piscine que mettait les jeunes avant, aujourd'hui c'est plutôt démodé. Un peu dans ce style là. Mais plus long. Il arriva dans l'entrée de son humble demeure. C'était une femme, qui était entré. Edgard trouvait réconfort au creux de ses jambes, aboiement encore doucement et lui sautant dessus. C'était une jeune fille blonde, d'environ 25 ans, des yeux profonds. Elle semblait innocente. Une vrai bonne élève. Elle lui fit pensé a son ex-femme. Il ne se souvenait pas avoir coucher avec elle. Pourtant il aurait aimer. Faire comme si il l'a reconnaissait ? Mais si ils ne c'était en vérité jamais rencontré. Il aurait put lui sortir une vieille phrase du style : A qui ais-je l'honneur ? ou encore, Qui est tu ? Mais elle risquerais de se fâcher et de partir. Son cerveau se brouillait, tout était autrefois si limpide et voila qu'elle arriva pour foutre sa merde de cul. Sous l'effet de l'angoisse il lâcha somptueusement, clope au bec, s'adossant contre le mur blanc crème, le visage neutre. « Ouai. » Sa voix suave avait résonner partout. Il se trouvais en caleçon sexy, maintenant il eut peur d'avoir une érection matinale. Il relâcha sa fumer lourdement. Il mit ses lunettes qu'il avait ramasser au passage. Il leva un sourcil, pour lui dire de répondre.

Il s'approcha, en caleçon.. Laid, moche. Rayure bleu, -je vomis intérieurement- je supplias dieu de le faire brûler, au bûcher, comme convenu. C'était l'erreur à ne pas commettre. Il semblait mou, comme sortit du sommeil, avec ce "ouai" de je-m’en-foutiste. S'adossant sur le mur avec un air sexy, il souleva un sourcil, c'est alors que je baissa mon regard avant de voir une boule poilue et douce. Un rat. Un hamster. Ah non un chien, un chien qui me lécher la jambe avec assistance. Je l'écarta d'un petit geste avant d'avancer dans le couloir pour ouvrir le frigo et lâcher brièvement - Mamie est morte, et ton frère à eu un gosse. Réellement, je n'avais fait qu'ignorait la scène qui venait de se produire. Je m'installa dans le canapé et l'observa. M'avait-il allumer ou était-ce la routine quotidienne que de s’exhibait en caleçon devant sa cousine que l'on n'as pas vue depuis 8 ans. Non, je ne pense pas. Enfaite je n'en sais rien, et je suis bouleversé. A vrai dire, je n'ai pas eu beaucoup l'occasion de me retrouver en réel inimité avec un homme. Et ici, avec mon cousin.-je parle d'intimité, pas de choses sexuel- Je n'avais eu que 6 copains depuis le lycée, et tous avaient finit avec une trace rouge sur la face. Passons. Je ne voulais pas rougir, alors je faisais semblant d'observer la maison et de soulever quelques vieux magazines posé sur une table basse.  

Edgard c'était pris un gros vent dans la gueule. Il couina doucement. Lançant un regard attristé à Logan, qui haussa les épaules comme pour compatir a sa douleur. Ah Edgard... Les femmes, toutes pareilles. La femelle blonde, passa a coter de lui, droite, sur d'elle. Elle se dirigea vers la cuisine. Elle ouvrit le frigo, mais ne pris rien. Elle observait autour d'elle, le désordre ambiant. Ça n'avais de rien de normal comme situation. Rien d’approbativement normal. Cette nana c'était carrément incrusté. Mais apparemment elle semblait le connaitre mieux que ce qu'il le pensait. « Mamie est morte, et ton frère à eu un gosse. » Il choppa Edgard dans les bras. Elle c'était assise, penaude sur le canapé. Entre deux miettes. En sentait son effluve qui avait envahit la pièce, un prénom lui reviens. Dora. Non Nora. Nora Burton. Ça cousine, qu'il n'avait pas vue depuis 5 ans. Au dernier repas de famille conviviale. Elle avait un parfum nacré et ponctué d'un touche de sucré. Comment oublié une senteur aussi subtile et efficace. Il s'approcha, clope au bec, soulevant la tête en marchant pour que les cendres ne tombe pas avant d'avoir atteint le centre de la pièce, où ce trouvait la table basse et le cendrier. Il posa le chien sur les genoux de sa cousine intrépide. S'empara de sa cigarette pour laisser tomber les cendres à leurs places. Nora avait Edgard sur les genoux. Il se laissa tomber dans son fauteuil. « Je savais pour le gosse, mais pas pour la vieille. » Il se frotta un œil. Le chiot aboya sagement sur les genoux de Nora. Ce qui était bien avec cette partit de sa famille, c'était la partit, révélation du monde. Il y a eut cette envie de s'échapper. Il se rappela que Nora avait fais un semblant de fugue étant plus jeune, un élan de témérité prépubère. C'était audacieux de sa part. Il n'y avait pas de, ça fais longtemps, tu deviens quoi, ta quelqu'un dans ta vie, tes seul, tu bosses où. Juste les faits. Ce qui en fais quelque chose de gratifiant.

Il mit le chiot sur mes genoux, je l’allongea avec prudence. J'observais les faits et gestes de mon cousin, toujours en caleçon. Il fumait avec lenteur et précision. Je commençais à tousser et à être gêner par cette fumée qui se diffusait à foison dans la pièce. « Je savais pour le gosse, mais pas pour la vieille. » Dit-il. Clairement, je n’apprécia pas comment il parla de grand-mère. Elle m'avait apprit beaucoup de choses cette mémé, et c'était sûrement grâce à elle que ma mère régulait ses sauts d'humeur de mère austère, autocrates et légèrement égoïste en y réfléchissant bien. J'allais lui annoncer que c'était sa mère, soit ma tante, qui m'avait chargé de lui faire part de l'information. Mais je m'arrêta avant de sortir un seul mot et continua sur ma lancée. - C'est dommage, je comptais sur toi pour me léguer tes poumons. Mais maintenant, c'est vraiment inutile de compter là dessus. dis-je sérieusement avec un sourire taquin. Enfaite, vous-voulez savoir ? Je ne rigolais pas. J'aurais pue lui jeter Edgar sur la gueule pour qu'il arrête de fumer, car cette fumée me consumer doucement. Je l'aurais même insulté et frappé fort. Je bouillonnais et pourtant rester calme. Mon inconscient pensée, sans même que je ne m'en rende compte. Et celu-ci me disait de claquer cette abrutit qui avait oublié la situation dans laquelle j'été avec ma santé de péripatéticienne de 80 ans, lévrier, mangue. Je pensais sans penser. Troublée, je stopa toutes réfléxion susceptible de me faire péter un oinj.  

Elle coucha le louveteau doucement. Elle semblait si froide. Elle lorgna Logan avec insistance. Qu'est ce qu'elle avait a le regarder ainsi. C'était le caleçon ? Était ce ces lunettes ? Assis, avachi sur son fauteuil du dix neuvième siècle, style à la française. Il fuma longuement, envoyant la fumée dans l'air, déjà nauséabond. La jeune femme lança d'un air taquin et dédaigneux a la fois. Un sourire aux lèvres. Discret néanmoins. « C'est dommage, je comptais sur toi pour me léguer tes poumons. Mais maintenant, c'est vraiment inutile de compter là dessus. » Hein. Que dalle. Elle dit quoi elle. Pourquoi elle veut des poumons. Il resta là. Sans comprendre, respirant lentement a travers sa cigarette a demis consumer. Il lança. [color:5ad8=#deeppink]« Tu a qu'a prendre ceux de la vieille. » Merde. Erreur. Problème. Cette fille, Nora, elle n'avait le droit de voir personne, ni de jouer avec les autres, elle ne faisait que de lire toute seul dans son coin, surveiller par cette nounou dans le jardin d'enfant. Il avait fais une gaffe. Cette nana avait la mucoviscidose. Elle pouvait crever du jour au lendemain. Il compris sa gaffe. Il se leva. Elle était en robe bleu marine. Elle s'accordait tout a fait avec la couleur amer de son teint froissé. Entre temps, le temps c'était couvert, les nuages recouvrait le jardins de Logan autre fois recouvert par un soleil luisant. Il se dirigea donc vers son porte manteau. Il choppa son vieux blouson, style cascadeur. Il fit un échange, il choppa le chien, qu'il pris dans ses bras, clope au bec, et posa le blouson sur les genoux de Nora. « Aller viens. » On va prendre l'air, j'temmène au vent. Il sortit par la grande verrière. Sous l’abri en bois. C'était une maison rustique. Ici la cigarette ne sentirais pas. Ca lui fera s'ahéré les poumons. Puis merde, il voulait pas qu'elle crève chez lui. Elle peut crever ailleurs, mais pas chez lui, et pas a cause de lui.

Il continuait à cracher sa fumée . « Tu a qu'a prendre ceux de la vieille. » Mon visage perdu tout signe d'amusement après ses paroles. Aucune subtilité, et même pas de respect. Du moins, c'est ce qu'il laissait paraître. Logan me lança un manteau, un manteau cascadeur. On aller donc prendre l'air. Et pourtant, le soleil avait disparus depuis une dizaine de minutes et de somptueux et énorme nuage avait fais du soleil un nomade de passage. Le grand air. Le vrai air. Le vent fouettant mon visage. Il lâcha un bref « Aller viens. » Je poussa sur mes jambes pour me lever. Difficilement, l'effort était considérable. Ce qui rendait l'effort aussi dur était l'effet du tabac qui m'avait littéralement imbibé les poumons. Je réussis à me lever et à marcher jusqu'à une grande verrière. - ... Je ne pouvais rien dire, tenter en bien d'effacer la gaffe qu'il venait de commettre n'aurait servit à rien, car de toute manière peu m'importait, même si cela était blessant.  

Il respira une grande bouffé d'air frais. Mais la fumée qui c'était entassé dans ses poumons lui manqua de s'étouffé. Le goût chocolat de la cigarette avait imbibé ses lèvres d'une manière peu commune. La cigarette noir, tomba au sol. Les étincelles de cendre j'aillire, en s'écrasant sur le sol, il observa sa cigarette déchu. Tomber. Puis il l'écrasa avec son pied, imaginant que c'était une colonie de fourmis. Immonde et répugnante créature. Il pris tellement soin de bien l'écraser pour qu'elle ne soit plus, qu'il se surpris lui même. Au fond avait-il autant insisté sur ce geste comme pour ce punir d'avoir été aussi ignorant face à la souffrance d'une autre personne. Malheureusement, ça, il n'était pas capable de s'en rendre compte lui même. Pour lui le fait d'écraser cette cigarette, montrais son profond mutisme et son énervement permanent face au présent. Il n'y avait que de l'herbe dans son jardin. Et un siège a balancier. Mais au milieu un puits, comblé, en son centre, il y avait un fourré immense de Blue Daisy. Les fleurs préférés de Logan. De grosse pâquerette Bleu, qui fleurissent quand bon leurs sembles. Elle semblait faire tache au milieu de cette herbe. Au fond du jardin, il y avait un Cerisier, qui faisait de l'ombre au balancier. Il posa ses mains sur la palissade en bois blanc, juste devant lui, sous le porche. Il observa l'horizon. Sa maison était sur une colline, plus en hauteur. « Tu te souviens de ces fleurs? » Edgard les rejoignis, il se mit a courir, en descendant les escaliers, il trébucha et s’exposa littéralement la gueule sur le sol. Mais il se releva comme si de rien n'était. L'inconscience de l'enfance. Bien sur que non. Elle ne s'en souviendrais pas. Elle avait 6 ans, lui 11 à l'époque. Logan avait une mémoire extraordinaire capable de ce souvenir du moindre détail après un travaille certain. Elle était tomber en jouant a chat. Ils s'étaient cacher. A l'époque Logan ne jouait pas avec les autres, mais Nora l'avait obliger a jouer. Et ils étaient cacher dans un poulailler. En sortant en courant, elle avait trébucher. Elle ne put se relever, elle avait du mal a respiré. La propriété de ses parents, faisait près de deux hectares. Logan courut pour chercher de l'aide. Mais en chemin. Il trouva une fleur, bleu, une pâquerette bleu. Au lieu de ramené un adulte, il ramena cette fleur. Il lui donna. Logan était déjà très intelligent. Il connaissait sa cousine, et comprenait qu'elle souffrais de ne pouvoir sortir. Et si c'est parents avait appris cette incident, elle aurait surement été privé de sortis pendant un moment. Au lieu de ramené un adulte cupide, Logan avait ramené une fleur. Un simple fleur. Elle avait dut avoir tellement d'incident dans sa vie, qu'elle ne devait plus ce souvenir. Il repris, ce mordant les lèvres de s'être rappeler un souvenir pareil. De l'enfance qu'il n'avait pas eut. « Pourquoi tu es venue jusqu’ici pour me dire ça? » Il réfléchit. Il se frotta le visage. Il n'avait pas froid, torse nue, dehors. Se frottant les yeux longuement en soupira. « Me dis pas qu'il y a une histoire d'héritage.. » Il lui lança un regard.

Il avait enfin éteint sa cigarette. Les derniers blocs de fumée venait se dispersée dans l'air atrophié de ce jardin prosaïque. Je croisais mes bras tout en m'appuyant sur un mur et j'observais avec calme la verdure qui ornait un somptueux puits planté au milieu de cet espace floral, où fleurissait d'étincelante pâquerette bleu. « Tu te souviens de ces fleurs? » En réalité, je n'en avis aucun souvenir mais la peur de le blesser s’engouffrait. Mentir aurait été mal-honnête alors j'optais pour une réponse mi-vrai. Car finalement, elle m'était familière, même si le souvenir était très vague, je me souviens de leurs exquise différence. La couleur bleue les différenciaient des pâquerettes ordinaires. Je ne savais où et comment je les avaient rencontrés. Mes prunelles se mêlés à leur charme, et je me mis à rêver. Le rat arriva, provoquant un bruit sourd, il tomba au sol avant de se relever incognito. Passons. « Vaguement. » dis-je en souriant. Ces blablah me faisait perdre de vue mon objectif. Mais Logan me rappela à l'ordre. « Pourquoi tu es venue jusqu’ici pour me dire ça? » J'entra dans la maison prendre mon sac et en sortit quelques dossiers après l'avoir retourné. Je remis les clefs et tout le bazar qui y résidait. A peine revenu il me lança un regard. « Me dis pas qu'il y a une histoire d'héritage.. » Je soupirais, et lui tendis le dossier tout en gardant une feuille sous la main qui s'intitulait « partage des biens commun » Je commença une lecture à voix hautes.

« Je soussigné M/Mme Sophia Grayson exerçant la profession d'ancienne couturière, demeurant à Sidney, née le 18 mai à Sidney, veuf :
prends les dispositions testamentaires suivantes :
J'institue pour mes légataires universels :
- Mme Nora Burton, Fille de Marie Grayson et petite fille de Sophia Grayson.
- M Logan Burton Jr. Fils de Annie Grayson et petit fils de Sophia Grayson,
conjointement entre eux.
Je lègue indépendamment la moitié de ma fortune à chacun d'entre eux à part égales et à dispositif judiciaire.
A toi, Logan, je te lègues ma bibliothèque personnel où tu trouveras un bon nombre de livres officiel non répertorié, j’espère que tu en feras bon usage.
Je te lègues aussi mon second laboratoire de mutation florale se situant à la même adresse que celui de chimie médicale. Je n'ai jamais réussie à faire pousser les blue orchidées, j’espère que tu trouveras la clef de cette énigme.
A toi, Nora, je te lègues mes années de dur labeur à travers mes notes de réflexion pour créer un vaccin et une thèse plausible contre la Mucoviscidose, avec ceci, bien entendue, tu auras accès à mon labo personnel se trouvant à Londres, rue oxford 0668.
J’espère que ces biens seront utilisés avec sagesse et précaution.
En cas de pré décès de l'un d'eux, leurs enfants recueilleront ce legs en ses lieu et place suivant les règles de la représentation ; à défaut de descendants, la part du légataire décédé accroîtra aux survivants.

Fait et écrit entièrement de ma main le 18 juin 2013.
Sophia Grayson. »